C'est en lisant Pocketbike Magazine que j'ai découvert cette superbe réalisation d'un réplica de la moto de Valentino Rossi. On doit ce travail à un autre italien : Paolo Tesio (TEX). Agé d'une trentaine d'années, ce designer automobile vit en province de Turin.
Caprice de star ou bon coup de pub, à moins que ce ne soit les deux, voici les bottes avec lesquelles Valentino Rossi a effectué les derniers tests de Sepang. Des appendices confectionnés tout exprès pour l'occasion, puisqu'à exemplaire unique, sur base d'une série proposée au sexe dit faible.
La Suzuki d'Hopkins s'obstinait depuis le début de ces tests à s'ancrer en haut des classements, en y mettant qui plus est la manière avec des chronos non seulement rapides mais constants. Mais la GSV-R ne quittera pas néanmoins le circuit malais avec la satisfaction d'avoir réalisé la passe de trois.
Il pilote une moto, il fait des rallyes et s'amuse parfois avec une Mercedes DTM lorsqu'il n'a pas quelques Formule 1 à cheval cabré à se mettre sous la dent, Valentino Rossi est un phénomène polymorphe dont la force d'attraction l'élève au rang d'icône. Rossi, c'est une légende vivante.
Au regard du calendrier, il est de plus en plus probable que la future Yamaha de Moto GP, par ailleurs toujours appelée M. 1, devra courir sous ses propres couleurs. Et que l'enseigne aux diapasons puise finalement les quelques dix millions d'euros, envolés en fumée avec le départ de son sponsor cigarettier, dans ses caisses.
Pour un petit retour culturel, la société Repsol créée en 1999 est espagnole. Elle fabrique entre autres de l'huile moteur. Elle prête depuis de nombreuses années ses couleurs aux teams moto qui courent en compétition. Ils en ont profité pour faire une publicité avec Valentino Rossi à l'époque où ce dernier était encore chez Honda pour le moto GP.
C'est en décembre dernier que la marque italienne et le pilote ont été reçus au musée d'art moderne de Mart et Trento. C'est en effet la passion de la technologie qui lie Dainese à l'exposition Mitomacchina. Cette dernière a été récemment inaugurée au Musée d'Art Moderne de Rovereto et Trento.
Puisque le lancement de la prochaine saison du Moto GP au Qatar est malheureusement encore trop lointain, il faut prendre son mal en patience. Pour ce faire, voici un illustré exhaustif de l'année 2006. Un tout en images du dernier récital des 990 cc et du premier titre d'un Hayden opiniâtre qui a fait chuter, au propre comme au figuré, l'icône de la catégorie.
Valentino Rossi engrangerait ainsi dans sa besace quelques 23 millions d'Euros à l'année, du moins c'est ce que certains affirment Outre Rhin. Dans l'absolu, ça fait pas mal, surtout lorsque l'on sait que des Hayden, Capirossi ou Pedrosa tournent autour des 3 à 5 millions d'Euros annuels.
Les guenilles meurtries de la défaite de Valence synonymes de dépouilles opimes d'un titre perdu par Valentino Rossi au profit de son rival Nicky Hayden, avaient été mises aux enchères pour une œuvre de bienfaisance. En l'occurrence, le bénéfice de cette vente était destiné au financement nécessaire à la rénovation d'un centre pour enfants malades.
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