La C1 n’est désormais plus proposée qu’avec des motorisations essence, comme sa devancière en fin de carrière. Oublié le diesel pour cette petite citadine, qui dans la plupart des cas, ne parcourait que moins de 10 000 km par an… Mais du coup, la proposition en essence est double. Nous avons d’un côté un 3 cylindres 1.0 de 68 ch, d’origine Toyota, et de l’autre le désormais bien connu bloc PSA EB 3 cylindres également, 1,2 l, de 82 ch dans cette version atmosphérique. Il s’est appelé d’abord VTI, comme le 1.0, puis Puretech.


La C1, et contrairement à sa cousine la 108 qui est vendu presque à égalité entre le 1.0 et le 1.2, se retrouve en annonce essentiellement en 1.0 VTI 68 ch. Ce moteur représente environ 72 % des annonces, sauf chez les collaborateurs, chez qui il représente 50 % de l’offre. Du coup le "gros" 82 ch représente 28 % des annonces. Ceux qui recherchent un peu plus de puissance et de polyvalence auront donc un peu moins de choix.


Les finitions sont au nombre de 6. L’entrée de gamme est la Start, disponible avec le 1.0 68 seulement, et est juste là pour proposer un prix d’appel en neuf de 10 050 €. Suivent les Live, Feel, Feel Edition, Shine et Shine Edition.

Par ailleurs, les versions découvrables Airscape sont disponibles à partir de la finition Feel, soit le 3e niveau.


La finition bas de gamme représente moins de 6 % des annonces, elle est donc sous-représentée, mais aussi sous équipée, ce qui n’en fait pas un bon choix.

Les Live représentent encore moins, étonnamment, avec 4,5 % de l’offre. Cela s’explique par le succès des finitions plus huppées. Les Feel représentent 34 % des annonces, les Feel Edition 15 %, Enfin les Shine représentent 37 % du total et les Shine Edition seulement 3 %.


Les 5 portes représentent les ¾ des propositions, et enfin, si on repart du global, les découvrables Airscape un peu plus d’une voiture sur 5.


Nous allions oublier la possibilité d’opter pour une boîte automatique ETG5 sur le 1.0 68 ch seulement. Cette transmission représente 13 % de l’offre globale environ.


Au final, le choix est donc tout de même assez vaste et assez varié, même s’il se concentre autour des versions les plus huppées, qui sont aussi les plus intéressantes. Au final, tant mieux.