Quand on prend place à l’intérieur de ses deux compactes, la différence de traitement est flagrante. En matière de présentation, avantage à l’Astra qui reprend la planche de bord de l’Insignia avec un dessin identique notamment pour la console centrale. Mention particulière pour l’ergonomie de la Mégane qui demeure une référence. Impossible de juger de la qualité des matériaux employés puisque la planche de bord de l’Astra que nous avions entre les mains n’était pas définitive. Chaque marque a fait preuve d’imagination pour l’instrumentation. Renault a opté pour un mélange d’analogique et de numérique avec un compteur central particulièrement lisible. Traitement plus traditionnel pour l’Astra avec 4 compteurs dont l’originalité réside dans son éclairage bleuté très plaisant. A noter que celui-ci devient rouge lorsque le mode sport est enclenché. Opel a particulièrement soigné l’ambiance avec des lumières rouges sous le levier de vitesses et sur des portières.
Avec l’accroissement de la longueur mais également de l’empattement (7 cm), il n’est pas étonnant que l’Astra soit plus accueillante que la Mégane qui doit se contenter d’une longueur de 4,30. La Française prend sa revanche en ce qui concerne le volume de chargement avec 405 litres contre 370 pour l’Allemande.
Peu de renseignements sur l’équipement de l’Astra. On sait juste que la gamme se composera de 4 finitions (Essentia, Enjoy, Cosmo et Sport). Dans la dotation de série ou optionnelle, on devrait trouver notamment les projecteurs bixénon à intensité variable ou la lecture des panneaux de signalisation inaugurée sur l’Insignia. Petite déception en revanche : le frein de parking automatique ne devrait pas être de série sur l’entrée de gamme.
Sous le capot, 8 moteurs sont prévus au lancement : 4 essence (100 à 180 ch) et 4 diesel (95 à 160 ch)
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération