Leurs lignes, incontestablement, qu’il vaut mieux juger sur pièce, cependant. Leurs performances effectives sur leur terrain de jeu de prédilection, le circuit. Encore que… d’un circuit à l’autre le verdict pourra peut-être varier. Chez McLaren, on a désigné le « benchmark », il s’agit du mythique circuit du Nürburgring, en Allemagne. Le constructeur anglais avance ses billes et promet un tour sous la barre des 7 minutes, ce qui est certes impressionnant mais vague en même temps.
Peut-être, pour départager ces deux divas, s’agit-il aussi de mesure l’intérêt suscité par ces deux modèles auprès des acheteurs potentiels. Ferrari, certes, part avec l’avantage de sa notoriété, de son histoire… Et cet avantage semble fonctionner à bloc. Car au petit jeu du « nous, nous avons davantage de demandes d’achat que vous », Ferrari s’est laissé aux confidences. La marque italienne aurait enregistré 1 000 commandes alors que seulement 499 unités de LaFerrari seront produites. Chez McLaren, rappelons-le, on a été plus prudent avec une production encore plus faible (s’agit-il là de l’exclusivité mise en avant par Ron Dennis lors de la présentation de Genève ?), limitée à 375 exemplaires.
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