
Le secteur des transports enregistre en 2024 une baisse de 1,2 % de ses émissions de gaz à effet de serre. Malgré tout, les véhicules demeurent toujours les premiers émetteurs. Le mieux, ennemi du bien ?
Le secteur des transports enregistre en 2024 une baisse de 1,2 % de ses émissions de gaz à effet de serre. Malgré tout, les véhicules demeurent toujours les premiers émetteurs. Le mieux, ennemi du bien ?
Vous avez prévu de passer vos vacances d'été à Ibiza. Il faudra peut-être changer un peu vos plans, car les autorités ont décidé à partir du 1ᵉʳ juin de limiter le nombre de véhicules étrangers sur l'île afin de réduire l'impact de la surfréquentation.
De la fin des ZFE, proposée par le RN et approuvée par LFI, à la reprise du chantier de l'A69, l'"écologie punitive" n'a plus le vent en poupe. Mais ce terme ne cache-t-il pas un argument démagogique ? Un leurre populiste destiné à jouer sur la corde sensible du citoyen automobiliste ?
Une majorité de parlementaires s'est exprimée le 28 mai contre les ZFE, ou plutôt, elle a "approuvé leur interdiction". Si ce rejet n'est pas encore entériné officiellement, car il doit suivre les arcanes administrativo-politiques, les zones à faibles émissions sont désormais dans un état de mort clinique.
Une étude démontre que depuis l'instauration des 50 km/h sur la boucle parisienne, et la mise en place d'une voie de covoiturage, les ralentissements, tous comme le nombre d'accidents, sont en baisse. mais cette enquête réalisée par l'APUR est-elle réellement indépendante ?
57 % des entreprises européennes ne suivent pas les émissions carbone de leurs parcs de véhicules révèle la nouvelle enquête European Fleet Emission Monitor (EFEM) publiée par Alphabet mobilités.
L'annonce paraît invraisemblable, et pourtant cela n’a rien d’une plaisanterie. L’Agence de protection de l’environnement américaine souhait en limiter son développement.
L'INFO DU JOUR. Dans une interview croisée accordée au Figaro, les patrons des groupes Renault et Stellantis plaident pour une simplification des règles du marché européen, seul moyen selon eux de renouer avec une automobile "populaire". Si rien n’est fait, ils redoutent à l’inverse une division de moitié du marché européen à l’horizon 2035.
Suppression du bonus, accentuation du malus, modification des avantages en nature, taxe incitative, la politique yoyo de l’exécutif en faveur du verdissement des flottes donne le tournis à ses gestionnaires. Entretien avec Olivier Loghrieb, gestionnaire de flotte du groupe La Centrale.
Voilà encore un nouveau sondage qui illustre l’aversion des Français pour ces zones tracées en ville où la circulation exclut les voitures les moins récentes. Près de 8 Français sur 10 disent ne plus vouloir entendre parler de ce dispositif.
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