
La quatrième édition du Baromètre des Villes Cyclables 2025, qui analyse la qualité cyclable des villes de France apporte son lot de surprises, tant bonnes que mauvaises. Voici un bilan des meilleurs et plus mauvais élèves.
La quatrième édition du Baromètre des Villes Cyclables 2025, qui analyse la qualité cyclable des villes de France apporte son lot de surprises, tant bonnes que mauvaises. Voici un bilan des meilleurs et plus mauvais élèves.
Visiblement, les Français sont attachés au vélo, mais ils ne sont que la moitié à l’utiliser régulièrement. Car c’est bien le loisir qui prime, avant l’aspect pratique et économique. Quant à l’écologie ? Ce n’est clairement pas un critère prépondérant.
Une technologie qui permettrait d’éviter les accidents entre cyclistes et voitures sonne comme une excellente idée. Mais ça sonne un peu comme une dystopie orwellienne cette histoire.
Près de 16 millions de Français disent avoir covoituré au moins une fois dans l’année. Avec quel effet pour l'environnement ?
Une grande partie du Sud-est de la France est en alerte de niveau 2 pour pollution à l’ozone, avec la mise en place de restrictions de circulation.
Bonus fiscal, leasing attractif, image verte : le vélo en entreprise n’est plus un gadget écolo pour start-up labélisée Bio. Grâce à des incitations bien ficelées, de plus en plus de boîtes – grandes ou petites – proposent à leurs collaborateurs des vélos de fonction. Moins cher qu’une voiture, plus crédible qu’un baby-foot, le vélo s’impose comme un outil RH… et un levier fiscal. C’est que la RSE n’est pas vraiment faite pour être rentable à la base.
Quand un SUV électrique massif rencontre la légèreté d’un vélo de compétition haut en couleur, ça donne quoi ? Une smart #5 bariolée à la sauce Trek, le tout teinté d’un style Lidl.
Des amendes plus lourdes pour protéger les citoyens d’eux-mêmes ? Telle est la solution du gouvernement pour endiguer un phénomène qu’il ne contrôle décidément pas.
En -300, Archimède a déclaré : « donnez-moi un point fixe et un levier, et je soulèverai la terre ». En 2025, il aurait pu dire : « donnez-moi une trottinette, et je me mangerai la terre ». Et cette vidéo le prouve, non sans une certaine limite.
L’opérateur de taxis à hydrogène Hype abandonne ce type de motorisation en Île-de-France au profit de voitures électriques à batterie. L'entreprise avance deux raisons pour expliquer ce changement de cap : l'inflation tarifaire, due à une situation de quasi-monopole des distributeurs du secteur, et la fragilité de la filière.
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