Le Chinois a le vent en poupe. Mais derrière sa réussite effrontée, du moins sur le papier, et avant son arrivée programmée en Europe, quelle est la véritable stratégie du nouveau constructeur chinois et quelles sont ses chances de réussite ?
Mercedes se serait résolu à installer des moteurs BMW sous le capot de ses modèles d’entrée de gamme plutôt que de concevoir les siens. Certes, ça sera sans doute mieux perçu que de mettre des moteurs de chez Renault ou Geely par les clients !
Un an et demi seulement après la commercialisation de sa première voiture, le constructeur automobile Xiaomi entrevoit déjà le seuil de rentabilité. Il devrait être franchi avant la fin de l’année. Et le constructeur compte arriver en Europe dès 2027.
Sans avoir encore jamais produit une seule voiture en son nom propre, Huawei s’est imposé comme un acteur central sur le marché automobile.
Ford a annoncé lundi son intention d’investir environ 5 milliards de dollars pour relancer son programme de véhicules électriques. Pour cela le constructeur américain n’hésite pas à « révolutionner » son modèle de production industrielle inventé en 1913 par henry Ford.
Après s’être brûlé les ailes en tentant de séduire la clientèle des vraies marques premium, Volkswagen va définitivement abandonner les catégories de voitures les plus luxueuses. Cousin des Porsche Cayenne et Lamborghini Urus, le SUV Touareg va bientôt disparaître.
Comme beaucoup d’autres marques, Jeep a essayé de tirer ses prix vers le haut ces dernières années. Mais compte tenu de la forte baisse de ses volumes, son patron estime qu’il fallait les baisser à nouveau.
Northvolt, le fabricant suédois de batteries vient d’être racheté par une startup américaine. De quoi envisager de nouveau l'émergence d'un champion européen face à la concurrence asiatique ? Bien des questions demeurent encore en suspend.
Si vous pensiez que le changement de patron chez Jaguar était le signe que la marque allait revenir sur sa stratégie 100% électrique tant discutée depuis quelques mois, c’est visiblement raté.
Absent du marché américain et très dépendant des ventes européennes, Renault entend accélérer son internationalisation pour assurer la pérennité et le développement du groupe. Un défi de taille pour François Provost, le nouveau patron du groupe.
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