L'année 2020 sera décidément l'année de toutes les récessions. Le marché automobile, selon les projections, pourrait finir à 1,55 million d'immatriculations, ce qui serait le chiffre le plus bas depuis... 1975 ! Et dans l'industrie, on craint une perte d'emploi équivalente à 60 000 postes.
Porsche annonce le lancement d'un service qui permet de commander en ligne un véhicule neuf ou d'occasion en stock.
Ne pas tomber dans la situation dramatique d'une marque qui est spécialisée dans l'assemblage de produits industriels, mais qui s'est laissée dépasser par l'avancée logicielle : voilà le combat d'Herbert Diess, le patron du groupe Volkswagen, qui ne veut pas que son groupe ne se retrouve dans la situation de Nokia.
Herbert Diess, le patron du groupe Volkswagen, a annoncé qu'il préférerait que ce soit Joe Biden au bureau de la Maison Blanche pour les quatre prochaines années.
Ferrari annonce un bon troisième trimestre malgré une première partie d'année compliquée. Le constructeur est confiant pour la fin d'année, même si l'Italie prépare un nouveau confinement...
Le patron de Tesla a affirmé que sa marque serait passée à deux doigts de la faillite au moment de la progression de la production de la Model 3.
Alors que le marché du neuf est à la baisse depuis août, les ventes de voitures d'occasion continuent de progresser et ont presque rattrapé le retard du premier confinement.
À l'occasion de l'élection présidentielle au pays de l'Oncle Sam, Caradisiac se met à l'heure américaine ces 2 et 3 novembre. On commence cette programmation spéciale par un incontournable coup d'œil sur les chiffres de ventes de ce marché automobile pas comme les autres.
Les ventes de voitures neuves ont baissé de quasiment 10 % en octobre. Cela n'empêche pas Peugeot d'être en hausse. Audi et Opel ont été en forme. En revanche, mauvais mois pour Dacia, Fiat et BMW.
Avec un trafic routier ralenti par le contexte sanitaire, le niveau général des contrôles - et donc des infractions enregistrées - depuis le début de l’année peut difficilement se maintenir. D’autant plus que le matériel utilisé dans certains contrôles, comme pour l'alcoolémie, ne garantissait pas une totale sécurité, tant pour les personnes contrôlées que celles qui opéraient. Le ministère de l'Intérieur assure en avoir pris très tôt conscience et avoir fait le nécessaire pour s'adapter.
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