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La guerre des prix des voitures électriques qui oppose Tesla et les constructeurs chinois a fait rage jusque chez nous. La situation s'est calmée depuis quelques mois, mais voilà qu'elle reprend dans l'Empire du Milieu et risque de déferler à nouveau sur l'Europe avec un nouvel acteur qui se jette dans la bataille : Volkswagen. Les constructeurs français résisteront-ils ?

Deux tronçons-test de recharge pour poids lourds électriques par induction et par rail conductif vont être expérimentés pendant trois ans, une première mondiale.

En retard sur la conception de sa future plateforme électrique, le constructeur allemand pourrait être contraint de racheter à une marque chinoise sa technologie pour gagner du temps.

Le Président Emmanuel Macron en personne souhaite le retour du Grand Prix de France de Formule 1. Mais pas forcément au Circuit du Castellet.

La crise sanitaire a fondamentalement bousculé nos habitudes de consommation. Dans le secteur automobile, ce changement est d’autant plus frappant. La digitalisation au sein des concessions s’accélère et s’ancre de plus en plus dans le parcours d’achat des consommateurs.

Renault affiche des résultats pour le moins encourageants au premier semestre, dans un contexte qui reste inquiétant pour toute l'industrie automobile.

Après la fondation de Renault Horse, le groupe français progresse sur son alliance avec les Chinois de Geely pour mettre en commun les activités de vente des moteurs thermiques et hybrides. La finalisation est prévue pour le second semestre 2023.

On a l’impression de la connaître depuis des années et pourtant, elle ne roule pas et ne sera pas commercialisée avant un an, minimum, sans même que Renault ne livre une date exacte de lancement. Mais pourquoi cette histoire sans fin qui devrait encore se prolonger ? Réponses.

Le comité interministériel qui s’est tenu aujourd’hui autour des ZFE a sérieusement revu les objectifs initiaux à la baisse. Les vignettes Crit’Air 5 pourront désormais être autorisées jusqu’en 2025, hormis dans les seules villes de Paris, Rouen, Lyon, Marseille et Strasbourg.

Malgré le lancement de deux nouveaux modèles Fiat (la Topolino et la 600), l'italie n'est pas en odeur de sainteté dans le groupe Stellantis. La faute à un gouvernement qui n'aime pas les voitures électriques alors que la galaxie dirigée par Carlos Tavares attend des gages de confiance et des aides sonnantes et trébuchantes pour y déployer une gigafactory.