C’est un très curieux paradoxe. Alors que les ventes s’effondrent comme jamais, revenant à des scores des années 90, les constructeurs affichent une santé insolente. Pourquoi une telle contradiction ? Parce que la demande étant supérieure à l'offre, c'en est fini des promos à tous crins qui baissaient notoirement les marges des marques.
Le permis à points a fait une entrée fracassante dans le débat pré-présidentielle avec les propos tenus par Eric Zemmour ce dimanche. Mais les propositions "auto" du quasi-candidat peuvent-elles être prises au sérieux?
Pour la première fois, une voiture électrique a pris la première place des ventes en Europe.
Le quasi-candidat à la présidentielle s'est aussi montré favorable à un retour aux 90 km/h.
Renault a déjà enregistré 40 000 commandes pour son SUV coupé.
Comme chacun sait, conduire moins vite permet de consommer moins. Mais combien précisément, personne ne le sait vraiment. C'est justement l'objet de notre test de la semaine, au moment même où les pouvoirs publics connaissent des difficultés à trouver des solutions pour endiguer la flambée des prix à la pompe.
Le constructeur Lynk&Co, cousin de Volvo et filiale de Geely, lance un nouveau modèle de SUV et ambitionne de vendre un million de véhicules dans le monde sur les deux prochaines années. Un exploit uniquement possible grâce au partage des plateformes et technologies avec Volvo.
La crise des semi-conducteurs touche de plein fouet la plupart des constructeurs mondiaux. Pour Renault, la "perte" en 2021 devrait s'élever à 500 000 véhicules.
Si le marché auto souffre, c’est presque uniquement le fait des modèles non électrifiés. La preuve avec les statistiques européennes du troisième trimestre.
Les manifestations se multiplient en Allemagne dans le secteur automobile. Le principal et plus gros syndicat d'Europe, IG Metall, réclame des investissements colossaux de 500 milliards d'euros pour ne pas mettre en péril l'emploi outre-Rhin dans l'auto.
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