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Tout le monde se souvient probablement de l'affaire des gaz de climatisation qui a opposé la France au constructeur Mercedes interdit un temps de vendre ses modèles dans le pays au motif qu'il n'utilisait pas le gaz homologué par l'Europe dans ses véhicules. La justice a certes contraint la France à lever son interdiction de vente mais l'affaire se poursuit. Ainsi, on a appris que la Commission Européenne vient d'ordonner à l'Allemagne de cesser de soutenir Mercedes dans son souhait d'utiliser ce gaz interdit.

On a coupé la tête au vilain petit canard Mia dont la vocation électrique ne l'a pas empêché d'être plumé. Un échec d'autant plus douloureux que des deniers publics y ont été engloutis. On rappellera que la région Poitou-Charentes, sous l'impulsion de sa présidente Ségolène Royal, était entrée dans le capital de cette aventure à hauteur de 11%. Les restes de l'enseigne Mia Electric viennent d'être vendus à l'encan. Et, surprise, on y a appris que le concept allait reprendre vie en Vendée.

Où va Lotus ? Ce n’est pas la première fois que la question se pose. Seulement, cette fois-ci la partie est on ne peut plus sérieuse.

Voici une nouvelle série de brèves à caractère économique.

Fiat Chrysler Automobiles (FCA) et Mitsubishi Motors (MMC) ont annoncé ce vendredi la signature d’une lettre d’intention pour la production en commun de pick-up.

TNS Sofres publie pour la cinquième fois l'étude « les Français et l'automobile » pour le compte du mandataire automobile Aramis Auto. Le constat est clair : oubliez le style, l'équipement, ou bien d'autres critères d'achat, les Français se basent presque systématiquement sur le prix et les consommations.

Pour une fois, nos amis belges ne plaisantent pas : Toyota a dû retirer une publicité mettant en scène des hooligans, s'acharnant sur la carosserie – visiblement solide – de l'une de ses autos.

Renault vient de confirmer la chose : l'usine du Mans de la marque, qui assemble des châssis, s'occupera des dessous de la Nissan Micra afin d'approvisionner les chaînes d'assemblage de Renault Flins. Cela va permettre d'augmenter l'activité de l'usine du Mans de l'ordre de 8 %.

La marque Dacia est née en Roumanie et elle pourrait devenir à terme un des fleurons industriels du Maghreb. Pourquoi ? Parce que pour tenir dans le carcan du low-cost il faut des coûts que l'on qualifiera pudiquement de maîtrisés à tous les niveaux, à commencer par les salaires des effectifs faisant tourner les sites de production. Or, en Roumanie, les coûts salariaux ont bondi de 170% depuis 2008 pour se fixer à une somme faramineuse de 950 euros brut mensuels. C'est évidemment bien plus élevé que ce qui est pratiqué à Tanger qui régale son personnel avec 340 euros.

Chez PSA Peugeot Citroën, on compte désormais trois marques : Citroën et Peugeot bien évidemment mais également DS. Si la différence n’est pas encore très claire entre Citroën et DS, tout devrait changer l’an prochain.