
Voilà qui devrait indirectement alerter une chambre une chambre de commerce de l'Union Européenne qui s'émeut de la procédure des enquêtes en cours menées par l'autorité de la concurrence chinoise. Celle-là même qui fait la chasse aux ententes entre entreprises qui se seraient accordées sur les prix, viciant ainsi le marché et lésant le consommateur. Sur le fond rien à dire. C'est la forme qui pousse à l'acte de contrition limitant l'amende à payer qui interpelle. Un doute que cette sanction de 19 milliards de dollars infligés à une enseigne japonaise ne devrait pas aider à lever.