Le mois de novembre se termine positivement avec une hausse de 6 % des transactions, et près de 450 000 autos ont changé de propriétaire. Ce sont surtout les modèles les plus récents qui alimentent le marché.
Stupeur en Allemagne : depuis lundi, l'État n'octroie plus aucun bonus pour l'achat d'une voiture électrique. En cause, une rigueur budgétaire inconnue chez nous, mais aussi une affaire qui met en lumière les difficultés des VE Outre-Rhin et partout dans le monde.
Le patron d'Alfa Romeo promet des "dizaines de millions de profits" pour la marque en 2023. Le groupe Stellantis aurait donc déjà réussi à la faire redevenir rentable après des années difficiles.
Depuis ce lundi, les automobilistes allemands désireux d’acquérir un véhicule électrique ne profitent plus de coup de pouce financier. Une décision qui risque de mettre à mal l’industrie automobile allemande.
Selon les projections, le nouveau bonus écolo ne concernera plus que 41% du marché de l’électrique, contre 80% auparavant. De quoi freiner le verdissement du parc automobile ?
En 2025, la Française de Mécanique, devenue Stellantis Douvrin, devrait s’arrêter de produire des moteurs thermiques, au profit des batteries, sous la bannière ACC. La fin d’une belle aventure débutée en 1969…
Dans un entretien pour Business Traveler publié ce 13 décembre, Philippe Nozière, président de 40 millions d’automobilistes, tire à boulet rouge sur les actuelles politiques automobiles. Réduction de vitesse, fin des moteurs thermiques, véhicules électriques, le président de l’association de défense des automobilistes fustige des politiques « punitives », « le danger » du tout électrique et prévoit « qu’au final il y aura toujours des véhicules thermiques » alors que la COP 28 vient d’entériner « la transition hors des énergies fossiles. » Réaliste ou alarmiste ?
Engagé dans une stratégie "zéro carbone", le Vatican va progressivement électrifier son parc automobile. Début novembre, deux VW ID.3 sont ainsi entrées dans les ordres.
Comme prévu, Renault commence à rendre à Nissan son capital pour redevenir son égal dans l'Alliance Renault-Nissan-Mitubishi. Et Nissan doit devenir actionnaire de sa nouvelle division Ampère.
Depuis trois mois, les chiffres de la Sécurité routière ne sont pas bons et le mois de novembre n’y échappe pas. Néanmoins, le bilan de l’année pourrait être favorable.
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