La Fiat Panda 4x4 est connue pour être un formidable outil dans les régions où les conditions météorologiques sont difficiles et où il faut un véhicule capable de s'en sortir en tout-terrain. Ce n'est donc pas un hasard si l'on retrouve une Panda quasiment de série dans le classement final du Dakar.
Renault prend le même chemin que Volkswagen. Non, cette fois, il n’y a aucune allusion perfide à un « dieselgate » qui enfume de plus en plus les constructeurs automobiles. Fiat Chrysler y compris. Il s’agit ici plutôt d’un chemin pris selon un mode dit du « ride sharing ». Un terme générique rassemblant ces nouvelles technologies de transport mises à jour par des startups actuellement rachetées à tour de bras par des constructeurs automobiles bousculés dans leur cœur de métier. Ainsi, Volkswagen a déjà le géant du taxi Gett dans sa nébuleuse. Renault aura Karhoo.
Cette histoire a de quoi faire sourire mais nul doute que le propriétaire de l'auto en question était, lui, plutôt du genre à angoisser. En juin dernier, une personne se rend à un concert à Manchester et gare son auto dans l'immense parking du Etihad Stadium. Problème : il ne retrouve plus l'auto et l'emplacement. La voiture est déclarée volée quelques jours plus tard, mais elle est finalement retrouvée six mois après !
La Fiat 124 Spider vient d’être élue voiture gay européenne de l’année. Elle succède à la Mazda MX-5, avec laquelle elle partage sa base technique.
On va finir par croire que la bonne vieille méthode consistant à jouer le protectionnisme et la préférence nationale, que l’on s’était persuadés diluée dans la mondialisation des échanges, est toujours une recette efficace. Il aura suffi au futur Président des États-Unis Donald Trump d’envoyer 140 caractères sur tweeter au sujet des délocalisations des productions automobiles au Mexique pour faire revenir aux États-Unis des milliards d’investissements avec des emplois pour les Américains à la clé. Ford a inauguré le bal suivi par Fiat-Chrysler et voilà qu’a présent Toyota fait ses annonces.
Acheter une Ford GT relève du parcours du combattant. Au delà du "simple" aspect financier qui écarte déjà beaucoup de monde, la supercar américaine ne sera livrée qu'à ceux qui ont été retenus par Ford dans le cadre d'une enquête franchement sélective. Les heureux élus auront en tout cas droit à un vanity un peu spécial en cadeau.
Si General Motors produit depuis longtemps des moteurs diesels Duramax pour ses pickups, ce n'est pas le cas de Ford qui vient seulement de dévoiler la toute première version diesel du F150. Mais ce qui n'est pas écrit dans les communiqués, c'est que ce fameux V6 diesel installé sous le capot de la meilleure vente américaine... est français.
L’effet de souffle des déclarations de Donald Trump sur l’industrie automobile continue à produire son effet. Cette dernière a beau dire qu’elle s’adaptera une fois que seront véritablement connues les exigences du futur Président des États-Unis qui prendra ses fonctions le 20 janvier prochain, le coup de semonce a été entendu et les marques annoncent des créations d’emploi pour les Américains pour cacher cette délocalisation que l’on ne veut plus voir. Dernier signe d’allégeance en date : celui de Fiat Chrysler.
On ne chôme pas chez Volkswagen. Surtout si l’on fait partie du service juridique ou que l’on a des responsabilités dans le domaine des campagnes de rappels. Deux vocations particulièrement liées depuis la révélation en 2015 de l’existence d’un logiciel truqueur sur 11 millions de véhicules faussant le niveau réel d'émissions de gaz polluants lors des contrôles.
La General Motors et Toyota menacés, Ford en pleine retraite du Mexique, ce n’est rien de dire que l’élection de Donal Trump à la tête des États-Unis va peser sur l’ambiance entre les États-Unis et ses voisins frontaliers. Quant à l’industrie automobile, la voilà prise au piège.
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