
Il fut un temps où avant de se lancer dans un long trajet, il y avait une veillée d’armes autour d’une carte routière avec crayons bien taillés et règle de calcul vérifié. Des outils indispensables pour dresser la feuille de route, avec ses points ravitaillement, et trouver ses raccourcis bien à soi. Puis est arrivé le GPS, biffant ce moment de convivialité où l’aventure du voyage commençait par la lecture de la carte routière. Le progrès satellitaire nous a libérés de ce poids tout en annihilant l’angoisse de l’erreur de parcours. Mais selon une étude menée en Grande Bretagne, le même GPS n’est pas si parfait.