Ce 20 mars a été le jour de l’arrivée du Printemps mais pour les deux constructeurs allemands que sont Volkswagen et BMW, cette journée a aussi été celle des perquisitions. Les effets d’un « dieselgate » qui a éclaté en 2015se poursuivent. Un scandale au travers duquel on a découvert que les constructeurs pouvaient sciemment trafiquer leurs moteurs diesels avec des logiciels, afin de les rendre vertueux au regard des normes antipollution. Ainsi, le constructeur de Wolfsburg n’est plus le seul touché ni même uniquement le monde automobile. La preuve…
Suite à l'article ci-dessous publié le 9 mars 2018, la cour d'appel d'Amiens vient de rendre un jugement en date du 11 août 2021 qui relaxe M. Toutou Docta pour les faits de complicité d'esroquerie.
Le Dieselgate est de retour et s’il faut toujours parler allemand pour le cerner, il faut cette fois quitter Volkswagen pour rejoindre Daimler. Le groupe où brille l’étoile Mercedes a brûlé son auréole aux États-Unis où les enquêteurs ont trouvé dans ses moteurs diesels les fameux logiciels truqueurs les rendant vertueux au regard des normes antipollution. Le constructeur mis en cause a déclaré que les enquêtes à son sujet conduites aux États-Unis et en Allemagne pourraient aboutir à d'importantes amendes et à des rappels massifs de véhicules.
C’était une bataille à mort pour remporter une guerre où il ne pouvait en rester qu’un. L’enjeu était en effet de taille entre Waymo, filiale d'Alphabet spécialisée dans les voitures autonomes et le spécialiste des véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) Uber : les technologies dans les voitures autonomes, vues comme le Graal des transports. Le premier accusé le second de vol dans un procès qui s’est ouvert devant un tribunal de San Francisco dans un climat si délétère que le juge William Aslup a pris soin de préciser par écrit aux jurés avant le procès qu'il ne s'agirait "pas de déterminer si Uber est une entreprise maléfique ou pas
Autrefois, on voulait une voiture en faisant une effraction. Avec l’avènement de l’électronique, on a cru dans un premier temps que le moment de la sécurité absolue était venu. Tout faux, et c’est même le contraire. Au point qu’un nouveau type de mode opératoire a fait florès : le « mouse-jacking ». Un piratage électronique qui pose d’autant plus question qu’il inquiète sur certains professionnels, complices quand ils ne sont pas auteurs. Dernier exemple en date, dans le Gard.
La lutte contre la conduite addictive est une noble cause d’une sécurité routière que l’on aimerait plus arc-boutée sur ce sujet que sur celui de la vitesse maximale autorisée. L’alcool au volant est un fléau, mais son traitement pénal se trouble dès que l’on commence à comparer les pays. Le sujet peut même être soluble dans la vodka comme le montre cette dernière révision de la réglementation en Russie. Où un juge qui pourra vous sanctionner pour une alcoolémie jouit maintenant d’une totale impunité s’il conduit lui-même bourré…
Alors que l’espace européen s’accorde pour qu’aucun conducteur ayant commis une infraction dans un des pays membres ne soit jamais oublié par la sanction, il est encore un bout de territoire qui jouit à ce titre d’une certaine impunité. Ce n’est pas un village gaulois mais plutôt une Principauté monégasque. Avoir une plaque d’immatriculation aux couleurs de Monaco, c’est comme décrocher le gros lot. Flashé, jamais vous ne recevrez la contravention. Mais de la Bretagne s’élève la colère d’un Procureur de la République qui pourrait tout changer…
Les contrôles automatisés font florès et sont même de plus en plus dévolus à des sociétés privées dont les premières armes à Paris, pour le cas du stationnement, ne laissent augurer rien de bon. Mais pour une sécurité plus routière que rentière, rien ne vaut une bonne patrouille de force de l’ordre en activité sur la chaussée. Avec contrôle en direct de personne à personne. Une procédure tout de même rarissime mais qui permet, on va le voir, de découvrir de drôles de situations. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire dit-on.
Ce 1er février marque une nouvelle charge pour un citoyen lambda qui est avant tout considéré comme un contribuable. Une fiscalité directe mais aussi indirecte que l’on retrouve au moment de faire son plein de carburant et, un peu plus aujourd’hui, en passant le péage d’une autoroute. Car l’impôt pour fouler le grand ruban vient d’augmenter. Et si, demain, la dîme devenait à ce point insupportable qu’on ne pourrait plus parcourir cette autoroute qu’à pied ? Pour ce citoyen britannique, c‘est déjà le cas…
Jean-Marc Gales, directeur général de Lotus, est un homme consciencieux. Souhaitant connaître ses produits sur le bout des doigts, il n'hésite pas chaque soir à choisir soigneusement entre les multiples versions d'Evora, d'Exige et d'Elise à sa disposition pour quitter les locaux de la marque situés à Hethel, dans le Norfolk anglais, pour rentrer chez lui.
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