
Pour les radars, c’était un nouveau tournant : leur évolution technique leur permettait de prendre un véhicule en mouvement dans un virage. Un progrès qui réjouissait le ministre de l’Intérieur qui annonçait le 15 septembre dernier que les flashs allaient aussi crépiter au point de corde. Les 248 radars autonomes allaient donc être déployés sur des routes sinueuses, notamment en montagne, afin de sécuriser les enchaînements de virages et les zones difficiles d'accès. Mais finalement, non.