
Tous les journaux nationaux se sont emparés de l'affaire et l'Etat a lancé un groupe d'antiterroriste pour l'enquête. Ce groupe s'appelle le FNAR (Front National Anti Radar ou Fraction Nationaliste Armée Révolutionnaire, on ne sait pas trop encore), et a lancé des attaques à l'explosif sur divers radars de la région parisienne.