
La durée n'est pas anodine et elle est comme un gage de pérennité et un signe d'apaisement. Dans une période économique incertaine où l'on prolonge rarement au-delà des deux prochains exercices, avec la certitude qu'au-delà des apparences, c'est surtout un accord de principe qui est d'abord matérialisé, le Japon a fait fort en s'assurant de son Grand Prix jusqu'en 2018.