L’histoire est passée au second plan de l’actualité mais elle risque de retrouver très vite la lumière des projecteurs. Surtout si les personnes concernées se décidaient à se mobiliser, ce qui ne manquerait pas de se faire remarquer en cette période de vacances. Imaginez des aéroports sans des taxis bloquant les autoroutes. Pourquoi ? Parce que l’indemnisation les chauffeurs qui veulent vendre leur licence annoncée par nos dirigeants n’a toujours pas été conceptualisée.
C’est la suite logique d’un panel de vignettes dite « Crit’air ». Un dispositif dont on a la délicatesse de nous dire qu’il n’est pas obligatoire au niveau national, mais qui sera pourtant indispensable pour circuler dans une zone urbaine qui va faire florès : celle dite de circulation restreinte. Un véhicule n’ayant pas de vignette pourra ainsi être sanctionné d’une amende de 3e ou 4e classe selon sa catégorie. Autant dire qu’il faudra y passer.
L’assurance automobile : voilà un thème qui, souvent, suscite passion, critique et désillusion lorsqu’il alimente la conversation du quotidien. Les noms d’oiseau finissent par fuser avec des rimes bien senties du genre « assureur voleur ». Mais dans l’intimité de chaque automobiliste, quel est exactement le sentiment ? Un sondage a décidé de répondre à cette question. Pour livrer une réponse étonnante.
Il va bien falloir s’y résigner : la voiture de demain ne sera plus cette complice docile menée au doigt et à l’œil, témoin muette de vos pulsions les plus secrètes. D’abord, elle ne vous laissera plus la conduire. Mais en attendant l’aliénation complète, ladite automobile se fait juge de votre comportement, vous positionne dans l’espace et le temps pour mieux moucharder au premier demandeur venu. Enfin presque. Parmi eux, les assureurs, qui jurent que c’est pour le bien de vos cotisations.
Après les inondations de ces derniers jours, bien des victimes vont faire appel à leur assurance pour envisager une indemnisation. Tous les assurés peuvent-ils espérer une prise en charge ? Quelles sont les démarches à accomplir ? Quels sont les délais à prévoir ? Toutes les réponses avec Caradisiac.
C’est un phénomène qui ne désemplit pas, bien au contraire. Celui-là est la non-assurance qui, par ailleurs, coûte à la collectivité dont une partie des cotisations abondent Fonds de Garantie des Assurances Obligatoires de Dommages (FGAO). Ce dernier a livré son rapport sur le sujet. Et il n’est pas rassurant.
Pendant que vous faites la queue devant les stations-services, l’Assemblée Nationale, elle, s’occupe du cas de votre permis de conduire. Le politique, de nos jours, a du mal à gouverner, mais n’oublie pas de peser sur votre quotidien. En adoptant un nouvel amendement, l'Assemblée nationale a ainsi modifié plusieurs articles du code de la route pour renforcer l'application des sanctions.
Alors comme ça Paris serait outragé, brisé, martyrisé, mais aussi bientôt libéré d’une vilaine voiture qui avilie l’homme et nuit gravement à sa santé. On ne vous demandera pas votre avis car vous êtes une victime consentante si bien que d’autres sont là pour décider ce qui sera le mieux pour vous. Que vous le vouliez ou non, il faudra changer vos habitudes, votre itinéraire, votre vie pour continuer à vivre à Paris. Au sens large du terme. Et c‘est la transformation des voies sur berges de la rive droite en aire piétonne, prévue à partir de septembre, qui va vous faire toucher du doigt cette réalité.
Scandale des 5 000 véhicules dangereux : l'État bloque les cartes grises des autos non expertisées !
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Aux dires d'Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la Sécurité routière, les propriétaires qui n'ont toujours pas fait expertiser leur véhicule soupçonné d'être toujours dangereux vont voir leur carte grise bloquée en préfectures, dès cette fin de semaine. Du coup, ils n'auront plus le droit de circuler avec. C'est en tout cas ce qu'a répondu Emmanuel Barbe à Caradisiac lors de la présentation du bilan routier 2015, mercredi.
Le rappel des 5 000 véhicules soupçonnés d’être toujours dangereux organisé par le ministère de l’Intérieur depuis septembre, est toujours en cours. Il n'y en a même qu'une moitié qui a été expertisée. Et déjà 40 % de ces autos sont considérées comme toujours dangereuses. Comment les propriétaires concernés doivent-ils se défendre ? Peut-on espérer que ce type d'escroquerie, mettant en danger la vie d'autrui, soit limité à ces seuls 5 000 véhicules rappelés ? Le procès qui doit se terminer ce vendredi matin à Évry, dans lequel un conducteur est poursuivi pour homicide involontaire prouve que le scandale est bien plus général qu'il n'y paraît. D'accusé après un accident mortel qui remonte à janvier 2014, le jeune homme en question devrait être reconnu victime. La Clio RS qu'il venait de s'offrir était tout simplement un ancien "véhicule endommagé" très très mal réparé… Et c'est bien ça qui aurait provoqué ce terrible accident. Pas sa conduite.
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