
Dès 1942, Paul Arzens fabrique une citadine électrique dotée d’une bonne autonomie et de performances dignes de ce nom. Un visionnaire peu connu, mais dont les réalisations profiteront à des millions de gens…
Celui que certains commentateurs de Caradisiac surnomment « Le Schlé », ce qui ne lui plaît guère car l’individu est ombrageux, n’a pas pour particularité que sa couleur capillaire. Il excipe aussi de pathologies mentales, qui le poussent notamment à rouler régulièrement en vieille Fiat. Un fait sur lequel les psychiatres s’arrachent les cheveux, mais qui peut s’expliquer par le fait que les premiers souvenirs automobiles de Stéphane remontent au milieu des années 70, quand son papa, ignorant l’étendue de la perversion de son rejeton, avait innocemment acheté une 132.
Il apprend à lire en découvrant l’Auto-Journal et l’Action Automobile
Difficile à cerner, ne serait-ce que par son gabarit imposant et son appétence pour le second degré, voire l’auto(mobile)-dérision, il avoue d’ailleurs une appétence particulière pour les voitures âgées, mais s’intéresse aussi aux modernes, possédant par ailleurs une BMW Série 1 F20. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, il ne hait pas les électriques, juste l’engouement dont elles bénéficient, injustement selon lui.
Ancien professeur de langues (on plaint ses anciens élèves), il étale sa mauvaise foi proverbiale dans le journalisme automobile depuis 2005, étant passé par de multiples organes de presse, dont Leblogauto, Evo, Octane, voire Top’s Cars/Motorlegend. Plus indépendant que les roues arrière d’une Citroën DS 23, il exhibe parfois sa tignasse fort heureusement inimitable dans les pages d’Autorétro et Rétroviseur, tout en sévissant chez Youngtimers. Comme il nous fait un peu peur, on plaint nos confrères… mais ne le lui répétez pas !
Dès 1942, Paul Arzens fabrique une citadine électrique dotée d’une bonne autonomie et de performances dignes de ce nom. Un visionnaire peu connu, mais dont les réalisations profiteront à des millions de gens…
Véritable concentré d’Audi, l’A1 de haut de gamme, en 1,4 185 ch puis 1.8 192 ch offre un mix de performances, de confort et de finition unique dans sa catégorie et jamais égalé depuis. Une vraie GT de poche, qualitative et raffinée, qui se déniche dès 7 500 €.
Contrairement à la tendance actuelle, Mazda augmente la taille du moteur pour réduire la consommation, la CX-30 s’équipant d’un 2,5 l atmo développant 140 ch seulement. Cette stratégie porte-t-elle ses fruits ? Vérifions avec une version Takumi à boîte automatique.
Contrairement à ce qu’on croit, la 405 ne désigne pas qu’une Peugeot. Cette appellation a d’abord été utilisée par le constructeur anglais Bristol, qui s’est signalé par ses autos de très haut de gamme, parfois plus chères que des Rolls-Royce…
Pour bien exploiter sa cavalerie conséquente, l’Alfa 147 JTDm 16v s’équipe en supplément d’un vrai différentiel à glissement limité, le Q2. Un cas unique sur une compacte diesel ! Développant jusqu’à 170 ch, performante, efficace et frugale, cette compacte italienne unique en son genre n’est même pas très chère : dès 4 000 €.
Jaloux du succès de la DS19, Renault a voulu se doter d’une berline de haut de gamme, mais sans rien investir ou presque. Comment ? En concluant un deal avec American Motors qui a fourni de quoi fabriquer la Rambler. Un échec prévisible mais aussi le début d’une longue histoire franco-américaine…
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Révolutionnant le design BMW, la Série 3 E36 n’en oublie pas les fondamentaux de la marque, en particulier un moteur 6-cylindres en ligne aussi performant que musical dans ses variantes 2,5 l et 2,8 l. A préserver d’urgence ! Dès 10 000 €.
Rendez-vous de passionnés s’il en est, le Mans Classic ne peut qu’accueillir des autos de puristes, ce dont la Berlinette Hommell est une incarnation chimiquement pure. Une voiture née d’un pari fou, comme on n’en verra plus…
Dans cette série estivale, les membres de la rédaction évoquent tour à tour une voiture qu'ils aiment tout en en ayant un peu honte. Aujourd'hui, Stéphane Schlesinger craque pour une citadine qui en donne beaucoup plus que prévu : la Ford Fiesta 1.4 TDCI.
Si la Lancia a inventé le genre de la compacte premium, l’Audi l’a popularisé au-delà de toute espérance. Mais que vaut-il mieux choisir ? La descendante de l’inspiratrice ou son imitatrice teutonne ? Réponse après avoir opposé l’A3 dotée du 1,8 l de 125 ch et la Delta II, elle aussi en 1,8 l mais forte de 131 ch…
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