
Un designer français, Guy Deslandes, a créé au début des années 80 un très beau cabriolet CX, pensant le produire en partenariat avec Citroën. Mais il en a été autrement…
Celui que certains commentateurs de Caradisiac surnomment « Le Schlé », ce qui ne lui plaît guère car l’individu est ombrageux, n’a pas pour particularité que sa couleur capillaire. Il excipe aussi de pathologies mentales, qui le poussent notamment à rouler régulièrement en vieille Fiat. Un fait sur lequel les psychiatres s’arrachent les cheveux, mais qui peut s’expliquer par le fait que les premiers souvenirs automobiles de Stéphane remontent au milieu des années 70, quand son papa, ignorant l’étendue de la perversion de son rejeton, avait innocemment acheté une 132.
Il apprend à lire en découvrant l’Auto-Journal et l’Action Automobile
Difficile à cerner, ne serait-ce que par son gabarit imposant et son appétence pour le second degré, voire l’auto(mobile)-dérision, il avoue d’ailleurs une appétence particulière pour les voitures âgées, mais s’intéresse aussi aux modernes, possédant par ailleurs une BMW Série 1 F20. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, il ne hait pas les électriques, juste l’engouement dont elles bénéficient, injustement selon lui.
Ancien professeur de langues (on plaint ses anciens élèves), il étale sa mauvaise foi proverbiale dans le journalisme automobile depuis 2005, étant passé par de multiples organes de presse, dont Leblogauto, Evo, Octane, voire Top’s Cars/Motorlegend. Plus indépendant que les roues arrière d’une Citroën DS 23, il exhibe parfois sa tignasse fort heureusement inimitable dans les pages d’Autorétro et Rétroviseur, tout en sévissant chez Youngtimers. Comme il nous fait un peu peur, on plaint nos confrères… mais ne le lui répétez pas !
Un designer français, Guy Deslandes, a créé au début des années 80 un très beau cabriolet CX, pensant le produire en partenariat avec Citroën. Mais il en a été autrement…
Et elle n’est pas récente, puisqu’apparue en 2003. Pour autant, moderne de par sa fabrication tout alu, forte d’un V8 de 400 ch et classique par sa ligne fine, elle n’a pas eu de descendance digne d’elle, Jaguar ayant décidé de casser le moule. Mettez-la de côté, d’autant qu’elle ne coûte pas très cher : dès 10 000 €.
Deux petites bombes dépassant les 220 km/h, l’une chic, la Classe A, l’autre plus choc, le Meriva, qui s’avèrent très polyvalentes, ça vous tente ? Aussi à l’aise en ville que sur autoroute, ces deux engins très originaux par leur définition se dénichent dès 4 000 €.
Oser un SUV essence sportif, sans hybridation, à l’heure où le malus CO2 atteint des sommets ahurissants, est-ce bien raisonnable ? Car, en 7 places, le Kodiaq RS est taxé à plus 60 000 €… À une exception près !
Prenez une Testarossa, faites-la habiller chez Pininfarina dans le plus grand secret et vous obtenez l’étrange F90, une commande de la famille du sultan de Brunei.
Vouloir tout concilier, c’est ce que tente la BMW Z4 35i, tour à tour coupé, roadster, GT et voiture de sport. Elle est bien servie par un fabuleux moteur surtout dans sa version musclée 35 is et ne coûte pas très cher : dès 18 000 €.
Comment, une citadine sportive forte de 177 ch qui ne coûte pas cher, ça existe encore ? Oui, cette rare Smart à 5 places, portant de surcroît une griffe prestigieuse et hors de prix lors de sa commercialisation, se déniche dès 5 000 €. Quand on peut rouler performant et un rien snob...
Formel E chez VW, City-Matic chez Fiat, ces systèmes, manuel ou automatique, pouvaient arrêter le moteur au feu rouge, pour économiser quelques précieux décilitres d’essence, mais ils n’ont pas connu beaucoup de succès…
Pas besoin de grosses puissances pour bien s’amuser avec une sportive : cette Peugeot, avec ses 120 petits chevaux vous donnera de belles sensations sans encore coûter trop cher : dès 8 000 €.
Gabarits similaires, puissances similaires (170 ch), même nombre de cylindres : les Stilo Abarth et Golf V5 se ressemblent sur bien des points. Rapides et musicales, elles ne coûtent pourtant pas cher, dès 3 000 €.
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