
Le monde des affaires ne connaît pas la compassion. Chaque conjoncture est une opportunité et tant mieux, même, si elle est défavorable à certain. Affaibli par un scandale sur ses moteurs qui va lui coûter, certes, sa réputation, mais sans doute aussi dans 40 milliards d’euros selon une première estimation, le constructeur Volkswagen s’est mis à la merci des humeurs de ses actionnaires. La Qatar est un de ceux-là et réclame aujourd’hui du changement dans la gouvernance.