Claquemurés depuis plus d'un mois, les passionnés d'auto se demandent s'ils peuvent confiner dans leur voiture préférée. Si c'est impossible sur la voie publique, c'est jouable dans un domaine privé. Une cour, un parking souterrain, une auto neuve ou une ancienne permettent de s'isoler sans enfreindre la loi, te temps d'échapper à la promiscuité. Et pour cet exercice, quoi de mieux qu'un Combi Volkswagen de première génération.
Alors que de tous côtés, l’on s’interroge sur le monde d’après-confinement, que certains imaginent plus responsable, plus respectueux de l’environnement et plus tourné vers l’essentiel, Ferrari livre son bulletin de santé. Et la marque de luxe ne s’est jamais aussi bien portée.
Comme tous les Français, les journalistes de Caradisiac sont confinés chez eux en raison de la pandémie de Coronavirus. Une période que chacun aborde différemment. Et pour moi, jour après jour depuis le 17 mars, une véritable épreuve !
Il peut paraître futile de vouloir s’informer sur la vie de l’industrie auto, de s’intéresser aux dernières nouveautés, de chercher à savoir ce qui distingue deux modèles dans ces moments compliqués. Et si Caradisiac était, en expliquant au quotidien les tenants, et les aboutissants de cette passion commune, l’une des meilleures manières de rester en prise avec notre époque, notre passé et notre futur ?
Avec les mesures de confinement, votre auto reste sagement au garage. Vous êtes en manque de bitume et vous n'avez qu'une hâte, prendre le volant pour une grande balade. Mais êtes-vous vraiment pressé de croiser à nouveau ces usagers de la route qui peuvent vous agacer ? Un classement à prendre bien sûr avec légèreté.
Comment faire son travail de journaliste automobile mais aussi maintenir sa passion pour la voiture en période de confinement et donc sans pouvoir s'approcher physiquement de notre centre d'intérêt professionnel et récréatif ? C'est le défi qui m'est maintenant lancé depuis 25 jours et pour lequel j'ai trouvé quelques échappatoires.
Face à l’épidémie comme sur la route, c’est soi et les autres, soi ou les autres, l’Etat et moi, l’insouciance ou la prudence, le masque et le casque. Ça ne vous étonne pas, tous ces parallèles ?
Pic de pollution en Ile-de-France et dans le grand Est le week-end dernier. Et cela malgré un trafic automobile et aérien réduit à presque zéro. Cette fois, il faudra trouver d’autres coupables… Et remettre la rationalité au cœur de l’écologie.
La crise du Coronavirus a scellé le sort d’une année 2020 déjà mal engagée pour les ventes de voitures. Les acteurs de la filière envisagent des scénarios de baisse de -20 à -30 % et supplient Bercy et Bruxelles de prendre des mesures. L’on y voit poindre une mise en sourdine des normes antipollution.
L’épidémie de Coronavirus va transformer brutalement et peut-être durablement nos us et coutumes. Et sans doute aussi nos transports. Qui voudra reprendre le bus ou le métro ? Après les avenues désertes, bouchons en vue.