Par §24c261GA
bonjour
Succès de style, mais échec commercial, elle succomba en même temps que la doyenne des marques françaises..... elle c'est plutot bien vendu je trouve , surtout pour un coupé .
Panhard 24 CT (1963/67) : Beauté fatale
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Par §24c261GA
bonjour
Succès de style, mais échec commercial, elle succomba en même temps que la doyenne des marques françaises..... elle c'est plutot bien vendu je trouve , surtout pour un coupé .
Par Anonyme
mon pére etait vendeur chez panhard il a eu une dyna puis une PL 17 TIGRE et bien sur une panhard 24 BT Mais en 66 CITROEN a absorbé panhard et peut etre jaloux du succes de la 24 a tout arréte ainsi qu un prototype 24 AVEC MOTEUR MASERATI qui montait allegrement a 230 KMH.par contrre en 1968 CITROEN ne s est pas gene pour reprendre les doubles phares de lac 24 tres modernes pour l epoque et les a fait monter en serie sur les ds et id 19 et21
Par Anonyme
En fait Bercot, le PDG de Citroën à l'époque, a mis son veto à un Panhard 24 à quatre portes pour ne pas faire d'ombre à la future GS. Et effectivement la seconde proue de la DS n'est rien d'autre qu'une copie de celle de la Panhard 24 ! Ce que l'on ne dit jamais ...
Par §tun768Yb
"Succès de style, mais échec commercial" est un bon résumé de la carrière de cette voiture, essentiellement vendue dans l'hexagone.
Succès de style incontestable, par rapport aux précédentes productions de la marque doyenne: la Dyna X c'est pas folichonne et la Dyna Z, bien que certains la trouvent "belle" de nos jours, n'est pas un monument d'esthétique puisque l'aérodynamisme avait prioritairement conduit son étude
Echec commercial? Tout est relatif. Dans l'hexagone, la 24 a bien tiré son épingle du jeu, surtout en prenant en compte les contraintes de production qui limitaient la gamme à deux coupés (quoiqu'on dise, la b/bt est un coupé ou un coach mais pas une berline). 29.000 exemplaires, c'est un joli score ! Néanmoins, si on compare aux productions de la concurrence, c'est faible (Peugeot 404, Peugeot 403, Renault, etc.). En limitant l'examen au seul marché de niche du coupé, Panhard est battu à plate couture par le dérivé Karmann-Ghia type 14 (80.000 exemplaires de la 1e série de 1955 à 1959 sur 360.000 sur tout la période 1955-1974, sans compter la production au Brésil) ou le Type 34 (42.000 exemplaires produits en Allemagne sous la seule forme du coupé, de 1961 à 1969, ce qui rend le modèle comparable à la Panhard 24). Mais il s'agit là de réalisations d'un CARROSSIER et non d'un constructeur à part entière.
Par contre, on ne le dira jamais assez... La 24 pêche par sa mécanique à la limite de l'obsolescence: c'était parfait neuf mais "spécial" à l'usage. Moteur à la limite de la sous-motorisation, trop pointu (il nécessite une conduite "sportive" pour révéler son potentiel), motuer recourant à des solutions compliquées (embiellage à aiguilles, spécifique à Panhard, ce qui est un contre-sens en grande série et ressorts de soupapes particuliers), freinage faiblard (freins à tambours) ou complexe (freins à disques), fermeture des portes aléatoire (elles s'ouvrent facilement dans les virages dès que les clenches sont un peu usagées).
Quand elle est en BEG ou parfait, une voiture de collection idéale et attach(i)ante pour un usage occasionnel au XXIe siècle!
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