Par Chataigne42
Du coup si c'est plus intéressant dans quelques mois, pourquoi ce serait le moment d'acheter ?
C'est le moment d'acheter une voiture neuve, voici pourquoi
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Par Chataigne42
Du coup si c'est plus intéressant dans quelques mois, pourquoi ce serait le moment d'acheter ?
Par BigL
Les promos citées n'ont rien d'exceptionnel, contrairement aux deux années où les ristournes avaient plus ou moins disparu à cause d'un contexte très particulier.
Retrouver des remises dans une situation où les prix ont augmenté comme jamais auparavant et les ventes se tassent, c'est la moindre des choses.
Donc oui, on peut encore espérer bien mieux dans les mois qui viennent.
Par Litch76
Comme quoi c'est bien la preuve que ça marche ultra gras, bien plus que les 5 à 10% officiels
Par E911V
J'ai même vu une remise sur le Milano / Junior.
Par settantacinque
Il faut peut-être distinguer selon l'achat (thermique ou électrique). Pour l'électrique, il se peut, avec les taxations des voitures chinoises, que la concurrence soit moins dure à l'avenir donc les voitures plus chères. Par contre, pour les thermiques, à mon avis les soldes ne font que commencer. Économiquement, on rentrera dans le dur juste à l'automne prochain. Je prédis de très gros rabais de fin d'année civile.
Par zzeelec
Tiens, ça me rappelle des articles concernant l'immobilier : c'est toujours "le bon moment d'acheter", même quand le marché est nettement baissier.
Par lebucheron
Pour la prius, on attendra le temps qu'il faut pour que Toyota comprenne qu'en Europe aussi on veut l'hybride simple. Ça devrait alors faire baisser le prix de plus de 5000€.
Par skobido
Le creux habituel des ventes, c'est en août de mémoire.
Un peu de déflation pour un retour à la normale (avant Covid et VE) ne fait pas de mal.
La Prius 5 commence à devenir intéressante. J'invite ceux qui ne l'ont pas vu à faire le déplacement.
Par zzeelec
En réponse à skobido
Le creux habituel des ventes, c'est en août de mémoire.
Un peu de déflation pour un retour à la normale (avant Covid et VE) ne fait pas de mal.
La Prius 5 commence à devenir intéressante. J'invite ceux qui ne l'ont pas vu à faire le déplacement.
"Un peu de déflation pour un retour à la normale (avant Covid et VE) ne fait pas de mal."
Exact, en automobile comme en immobilier d'ailleurs.
Par jdbravo123
les prix étant totalement hors sol, il vaut mieux garder son véhicule s'il fonctionne bien et fait le job.
retour de baton
Par E911V
En réponse à jdbravo123
les prix étant totalement hors sol, il vaut mieux garder son véhicule s'il fonctionne bien et fait le job.
retour de baton
Aucun retour de bâton.
Le parc de véhicule roulant en France étant plus ou moins constant, les véhicules neufs vendus remplacent (directement ou indirectement), les véhicules qui sortent du marché (casse, accident, panne non réparable économiquement, prime à la casse, etc...).
Donc que tu gardes ton véhicule est intéressant pour toi, mais c'est aussi un véhicule d'occasion en moins sur le marché.
Par Axel015
En réponse à
Commentaire supprimé.
"Faut dire que tu aimes entendre ce qui te convient. Je me souviens clairement que tu maintenais en fin d'année dernière que les prix immo n'avaient pas baissé et ne baisseraient pas, et maintenant tu admets qu'ils ont fait -10 % sur 2 ans."
Non, j'ai tjrs admis cela. J'ai tjrs dis que une hausse des taux entrainerait une baisse de l'immobilier car il y une corrélation directe. Et inversement un taux immo à 0.5% ferait totalement exploser les prix.
Tu confonds une baisse lié à un éléments conjoncturels qui font partis intégrantes de l'équation dans le fait d'acheter un bien immobilier pour 95% des acquéreurs (y compris des investisseurs pour la plupart) et une baisse structurelle du marché de l'immobilier.
Mais c'est très simple pour savoir qui de toi ou de moi à raison. Admettons que les taux soit stable cette année 2024 et 2025 (c'est à dire 3.2%) :
=> Si le marché poursuit encore sa chute en 2024/2025 (disons de 10% supplémentaire) : tu auras raison.
=> Si le prix du marché est stable ou repart très légèrement à la hausse (malgré le maintien des taux élevés) : j'aurais raison. Ça veut dire qu'on ne sera que sur un simple ajustement lié au taux de crédit, mais sur un vrai recul du marché immobilier.
Mais de toute manière, selon moi, il n'y a pas de secret : pour que les prix baisses : il faut créer un déséquilibre entre l'offre et la demande. Or l'offre est de plus en plus limité (et le prix du neuf influence le marché des biens anciens : les coûts sont tirés à la hausse par les normes écolos et donc le marché ancien s'adapte), et la demande ne cesse de croitre : donc fondamentalement ça ne peut pas baisser autrement que de manière conjoncturelle.
Au final c'est la même chose sur le marché de l'occasion voiture : on aura plus jamais les prix de 2010 puisque en 2024 une voiture neuve coute 50% plus cher qu'en 2010 et ça impact proportionnellement le marché de l'occasion.
Bref, l'avenir nous dira si tu as raison ou si c'est moi.
Par gibou78
En réponse à
Commentaire supprimé.
Avec des interets bas l immo est cher, avec des interets hauts l immo baisse, au final c est un peu pareil même en renegociant ses taux d interet, pour un primo accedant le bon moment "c etait hier", mais en vrai le plus vite possible est le mieux
Par niakola
ça dépend si on est prêts à acheter ce qu'il y a en promo et non pas ce qu'on veut selon nos besoins...
Par fedoismyname
ouais, peut-être, mais le son de cloche que j'ai entendu, c'est que les français ont massivement mis un frein à leurs achats, par peur du lendemain, d'autant plus à l'approche des élections.
que va-t-il se passer, après le 7 juillet ?
- l'extrême gauche au pouvoir ? et on parle désormais de Bompart comme premier ministre
- l'extrême droite au pouvoir, avec Bardella comme premier ministre
- très peu de chances que les macronistes restent au pouvoir.
Et vu les programmes, beaucoup d'inconnues.
en attendant, je constate depuis 2-3 semaines une nette hausse des prix dans les boutiques et dans mon supermarché, comme si les entreprises avaient déjà anticipé les conséquences à venir.
bref, le conseil est plutôt de ne pas se précipiter, même si on peut finalement redouter une forte (nouvelle) hausse des prix des voitures dans les mois à venir, en France.
pour le coup, heureusement qu'on utilise l'euro, ça limitera l'inflation à venir.
Par fedoismyname
En réponse à skobido
Le creux habituel des ventes, c'est en août de mémoire.
Un peu de déflation pour un retour à la normale (avant Covid et VE) ne fait pas de mal.
La Prius 5 commence à devenir intéressante. J'invite ceux qui ne l'ont pas vu à faire le déplacement.
=> https://www.toyota.fr/vehicules-neufs/prius-hybride-rechargeable/configurateur#/
A 40-50 k€, faut le dire vite.
Petit coffre par ailleurs, pour rappel.
Pour un célibataire ou un couple sans enfant, c'est OK, mais pas davantage.
Par DIDIER 57
Les promos? En tout cas pas chez Dacia. Essayez donc d'avoir une remise sur le nouveau Duster 3!
Par fedoismyname
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Commentaire supprimé.
et pour cause: c'est celui qui fait gagner du pouvoir d'achat, sur le long terme.
Par Dahut38
Et merde, j'ai changé de voiture il y a un an ! Si j'aurais su
Par -Nicolas-
C'est le moment d'acheter un 1.2 Puretech d'occasion... non, je déconne
Par Litch76
En réponse à
Commentaire supprimé.
Ouais enfin faut pas oublier que les apl c'est comme le bonus sur les charettes électrique : les prix sont calculé en prenant ça en compte. Ça fini jamais dans la poche de celui pour qui c'est prévu (en dehors des logements sociaux)
Par Smoosies
Parlez pour vous M Marie, l'achat d'une voiture neuve à part quand on a les moyens de perdre de l'argent n'est jamais un bon conseil.
Par zzeelec
En réponse à
Commentaire supprimé.
"Donc qu'en conclus-tu ? Moins de logements => moins d'offre => tension sur le marché => hausse des prix."
Non, car si en face tu n'as pas de locataire solvable, le prix ne peut pas augmenter. Offre et demande.
Secundo, il y a beaucoup de logements vacants, de logements loués en courte durée, de logements vides les 3/4 de l'année en résidence secondaire.
Donc des logements, on en a en France : on ne veut juste pas optimiser leur utilisation (et j'ai évoqué les moyens pour le faire) parce qu'on a conçu l'immobilier comme une rente pour certains particuliers, investisseurs institutionnels et aussi pour la fonction publique (comme je l'ai expliqué plus haut), mais jamais comme un bien de première nécessité.
Donc tout est vicié. Il y a des pelletés de merde qui se sont accumulées.
"Donc il faudrait assumer une énorme perte de pouvoir d'achat des plus modestes...
C'est une politique d'extrême droite économique (pourquoi pas après tout) mais faut accepter l'énorme casse sociale associée."
On ne change pas un système de tout à rien du jour au lendemain : ceci passe par une trajectoire de transition, et on peut très bien la concevoir en protégeant les précaires, mais au détriment des bailleurs (car fini les aides dans la popoche). Globalement, il faut mettre fin à la charité déresponsabilisante de l'Etat-nounou (du genre "on vous paie tout, vous restez locataire et dépendant des aides de l'Etat toute votre vie") à une structure sociale de responsabilisation : "on vous donne les moyens de devenir propriétaire de votre logement en faisant baisser les prix de l'immo".
Ça aurait en outre un effet bénéfique notable : quand les gens sont propriétaires de quelque chose, ils en prennent bien plus soin que lorsque c'est l'Etat qui la leur prête.
"Et au final tu votes à gauche."
Ah bon ? Quand ? Quelle "gauche" ?
Je fais la différence entre une politique conservatrice pro-bourgeoise et une politique d'émancipation et de responsabilisation libérale (aucune représentation politique d'envergure en France).
Tu noteras que mes positions sur la politique du logement déplaisent fortement aux bourgeois multi-propriétaires, rentiers immobiliers... on se souviendra de la "France de propriétaires" souhaitée par Sarkozy, mais Sarkozy était bien trop pro-bourgeois pour atteindre cet objectif, qui nécessite de fortement secouer le cocotier. Pourquoi ? Parce qu'il n'a fait que stimuler la demande par des aides variées (PTZ, Scellier, etc.), alors que c'est sur le coût de l'offre qu'il faut agir (prix de l'immo et prix du foncier) : mais pas touche aux propriétaires rentiers, électorat de droite par définition.
Par Axel015
En réponse à zzeelec
"Donc qu'en conclus-tu ? Moins de logements => moins d'offre => tension sur le marché => hausse des prix."
Non, car si en face tu n'as pas de locataire solvable, le prix ne peut pas augmenter. Offre et demande.
Secundo, il y a beaucoup de logements vacants, de logements loués en courte durée, de logements vides les 3/4 de l'année en résidence secondaire.
Donc des logements, on en a en France : on ne veut juste pas optimiser leur utilisation (et j'ai évoqué les moyens pour le faire) parce qu'on a conçu l'immobilier comme une rente pour certains particuliers, investisseurs institutionnels et aussi pour la fonction publique (comme je l'ai expliqué plus haut), mais jamais comme un bien de première nécessité.
Donc tout est vicié. Il y a des pelletés de merde qui se sont accumulées.
"Donc il faudrait assumer une énorme perte de pouvoir d'achat des plus modestes...
C'est une politique d'extrême droite économique (pourquoi pas après tout) mais faut accepter l'énorme casse sociale associée."
On ne change pas un système de tout à rien du jour au lendemain : ceci passe par une trajectoire de transition, et on peut très bien la concevoir en protégeant les précaires, mais au détriment des bailleurs (car fini les aides dans la popoche). Globalement, il faut mettre fin à la charité déresponsabilisante de l'Etat-nounou (du genre "on vous paie tout, vous restez locataire et dépendant des aides de l'Etat toute votre vie") à une structure sociale de responsabilisation : "on vous donne les moyens de devenir propriétaire de votre logement en faisant baisser les prix de l'immo".
Ça aurait en outre un effet bénéfique notable : quand les gens sont propriétaires de quelque chose, ils en prennent bien plus soin que lorsque c'est l'Etat qui la leur prête.
"Et au final tu votes à gauche."
Ah bon ? Quand ? Quelle "gauche" ?
Je fais la différence entre une politique conservatrice pro-bourgeoise et une politique d'émancipation et de responsabilisation libérale (aucune représentation politique d'envergure en France).
Tu noteras que mes positions sur la politique du logement déplaisent fortement aux bourgeois multi-propriétaires, rentiers immobiliers... on se souviendra de la "France de propriétaires" souhaitée par Sarkozy, mais Sarkozy était bien trop pro-bourgeois pour atteindre cet objectif, qui nécessite de fortement secouer le cocotier. Pourquoi ? Parce qu'il n'a fait que stimuler la demande par des aides variées (PTZ, Scellier, etc.), alors que c'est sur le coût de l'offre qu'il faut agir (prix de l'immo et prix du foncier) : mais pas touche aux propriétaires rentiers, électorat de droite par définition.
"Tu noteras que mes positions sur la politique du logement déplaisent fortement aux bourgeois multi-propriétaires, rentiers immobiliers... "
C'est pas forcément une finalité.
Il y a énormément de locataire en Suisse.
Il n'y a que des propriétaires en Roumanie (97% de mémoire il me semble).
Vit-on mieux en Roumanie ou en Suisse ? CQFD
---
Cela étant dit : l'accès a la propriété, c'est aussi l'enracinement. Quand on est enraciné dans son pays culturellement et que l'on possède un petit morceau de France (une maison ou un appartement par exemple) : on souhaite la réussite de son pays, sa région, sa ville.
Quand on est un locataire (au sens figuré) de la maison France, on a que faire des intérêts de son pays.
C'est le nouveau gros clivage politique : enraciné VS déraciné. Et ce n'est pas un simple clivage politique comme une posture économique (libéral vs protecteur par exemple) : c'est un clivage philosophique. Deux visions antagonistes. L'une raisonne à l'échelle mondiale, l'autre à l'échelle de la France.
Si Macron est autant détesté par les Français ce n'est pas réellement sur son programme politique ou sur ces erreurs de communications. C'est sur cette conception de la France qui si elle séduit les citadins des métropoles (qui rêvent de vivre à Los Angeles dans 3 ans et à Hong Kong ensuite) est un repoussoir total pour le peuple originel (encore majoritaire pour le moment).
Par zzeelec
En réponse à Axel015
"Tu noteras que mes positions sur la politique du logement déplaisent fortement aux bourgeois multi-propriétaires, rentiers immobiliers... "
C'est pas forcément une finalité.
Il y a énormément de locataire en Suisse.
Il n'y a que des propriétaires en Roumanie (97% de mémoire il me semble).
Vit-on mieux en Roumanie ou en Suisse ? CQFD
---
Cela étant dit : l'accès a la propriété, c'est aussi l'enracinement. Quand on est enraciné dans son pays culturellement et que l'on possède un petit morceau de France (une maison ou un appartement par exemple) : on souhaite la réussite de son pays, sa région, sa ville.
Quand on est un locataire (au sens figuré) de la maison France, on a que faire des intérêts de son pays.
C'est le nouveau gros clivage politique : enraciné VS déraciné. Et ce n'est pas un simple clivage politique comme une posture économique (libéral vs protecteur par exemple) : c'est un clivage philosophique. Deux visions antagonistes. L'une raisonne à l'échelle mondiale, l'autre à l'échelle de la France.
Si Macron est autant détesté par les Français ce n'est pas réellement sur son programme politique ou sur ces erreurs de communications. C'est sur cette conception de la France qui si elle séduit les citadins des métropoles (qui rêvent de vivre à Los Angeles dans 3 ans et à Hong Kong ensuite) est un repoussoir total pour le peuple originel (encore majoritaire pour le moment).
Ce sont de pures spéculations et conjectures qui n'ont aucun lien avec le réel.
Je vois mal l'électorat majoritaire macroniste composé de boomers à la retraite partir vivre à LA puis à Hong-Kong !
Le problème c'est que tu ne veux pas reconnaître ce qu'est un bourgeois au XXIème siècle ni quelle est son idéologie : le culte du veau d'or, l'individualisme et l'égoïsme qui détruisent tout lien social et sapent les fondements de la démocratie (respect de la conflictualité et dépassement des oppositions par le débat et la décision inviolable du peuple souverain) par une dérive autoritaire.
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