Par franpir21
Ah ben quand même !!
J'ai failli m'inquiéter du manque de vigilance vis à vis de ce groupe automobile et surtout de ce dirigeant que vous adorez détester.
Chez Stellantis, la marge 2024 est en pleine dégringolade
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Par franpir21
Ah ben quand même !!
J'ai failli m'inquiéter du manque de vigilance vis à vis de ce groupe automobile et surtout de ce dirigeant que vous adorez détester.
Par harisson77
Les gens en ont enfin assez d'acheter de la merd..?
Par Didiwach
Rassurez vous tout va bien du coté de l'action. Juste un petit -14% aujourd'hui.
12.5€ contre 27€ il y a 6 mois.
Apres le cost killing, voici l’époque du profit & share killing.
Va arriver le moment de sortir le parachute pour Carlos.
Par motalo
à force d'augmentations de prix et de non négociation de ceux-ci , on en arrive à finalement gagner moins sur chaque véhicule car les volumes ne sont plus là , la pauvreté des motoristaions chez nos constructeurs est elle aussi affligeante , l'électrique on en parle pas, les bornes devraient être ouvertes au simple paiement CB partout sans abonnement et avec des prix affichés clairement sur celles-ci, peut être , alors me laisserais je tenté par le courant
Par Maître-Yoda
En réponse à franpir21
Ah ben quand même !!
J'ai failli m'inquiéter du manque de vigilance vis à vis de ce groupe automobile et surtout de ce dirigeant que vous adorez détester.
La victimisation, c'est donc tout ce qui reste aux pro-Picsou ?
Je m'intéresse à l'Automibile depuis très longtemps. Pas depuis l'adolescence, depuis l'enfance. Je n'ai jamais vu une gestion de groupe aussi grossière, sans aucune vision à long terme, ni même moyen terme. Un management par la terreur. Un ultra-cost-killing à tout détruire.
Ce sera un champs de ruine après son départ. Elkann est coupable.
Personnellement, je me pencherais sur un produit conçu sous l'ère Stellantis que s'ils changent totalement de manière de faire. La future Giulia ayant été présentée au réseau qui a trouvé le design décevant (l'Imparatocard veut en faire un crossover, c'est presque pas croyable un niveau de débilité pareil), cela prendra facilement 10 ans avant de me voir éventuellement devenir prospect.
Par ailleurs, ne pas reconduire Picsou ne sera pas suffisant, sa bande doit dégager avec lui.
Par Maître-Yoda
Je trouve que Caradisiac ne rentre pas bien loin dans l'analyse des causes du marasme. Peur de se brouiller avec ex-PSA ?
L'article de l'Automobile Propre est plus poussé.
Par Maître-Yoda
"Dans le milieu économique, on se limite souvent à juger la compétence d’un grand patron aux résultats financiers qu’il présente. Carlos Ghosn a enchainé les mandats à la tête de Renault grâce à des résultats flatteurs portés par une course aux volumes, qui a failli causer la perte du groupe. Lorsque Carlos Ghosn a dû lâcher la main en raison de son arrestation au Japon, ses successeurs ont trouvé un outil surdimensionné et une situation financière catastrophique."
Quand je dis que c'est un bon financier, mais un mauvais patron automobile... Les actionnaires l'ont voulu.
Par Maître-Yoda
En réponse à Maître-Yoda
"Dans le milieu économique, on se limite souvent à juger la compétence d’un grand patron aux résultats financiers qu’il présente. Carlos Ghosn a enchainé les mandats à la tête de Renault grâce à des résultats flatteurs portés par une course aux volumes, qui a failli causer la perte du groupe. Lorsque Carlos Ghosn a dû lâcher la main en raison de son arrestation au Japon, ses successeurs ont trouvé un outil surdimensionné et une situation financière catastrophique."
Quand je dis que c'est un bon financier, mais un mauvais patron automobile... Les actionnaires l'ont voulu.
Moralité : se méfier des Carlos dans le secteur auto.
Par Axel015
Ils ont tenté de mettre un 3 cylindres européano-normées sur un Dodge RAM et ça n'a pas fonctionné pour assurer les ventes auprès des habitants de la première puissance mondiale ?
Par Maître-Yoda
En réponse à Axel015
Ils ont tenté de mettre un 3 cylindres européano-normées sur un Dodge RAM et ça n'a pas fonctionné pour assurer les ventes auprès des habitants de la première puissance mondiale ?
Tu rigoles Axel, mais le dernier projet de Picsou est de produire le PureToc 1,6L aux States pour y équiper des hybrides rechargeables.
https://www.italpassion.fr/stellantis/stellantis-va-produire-un-moteur-1-6l-4-cylindres-aux-usa-vraiment-nouveau/
Le niveau de nullité de cette team est abyssal. C'est du jamais vu. Chaque décision prise est mauvaise. Hallucinant.
Par Axel015
En réponse à Maître-Yoda
Tu rigoles Axel, mais le dernier projet de Picsou est de produire le PureToc 1,6L aux States pour y équiper des hybrides rechargeables.
https://www.italpassion.fr/stellantis/stellantis-va-produire-un-moteur-1-6l-4-cylindres-aux-usa-vraiment-nouveau/
Le niveau de nullité de cette team est abyssal. C'est du jamais vu. Chaque décision prise est mauvaise. Hallucinant.
Bah autant en Europe, il faut produire des moteurs "à risque" pour tenir les normes, autant aux USA personne ne t'y pousse, donc tu n'as pas d'excuse pour produire des merdes.
Par yolaine
En réponse à Didiwach
Rassurez vous tout va bien du coté de l'action. Juste un petit -14% aujourd'hui.
12.5€ contre 27€ il y a 6 mois.
Apres le cost killing, voici l’époque du profit & share killing.
Va arriver le moment de sortir le parachute pour Carlos.
Oui, mais "parachute doré" ,hein! Plein de gros bonus, de primes diverses et variées ,et bien entendu, se replacer dans un autre secteur ou il y a un pognon de dingue a se faire!
Et quand aux victimes du Pure tech (pour ne parler que de lui!) Carlos, n'est bien entendu "pas responsable"!
Il ne savait pas....
Par Maître-Yoda
Puis remplacer Tavares c'est une chose, évidemment l'arrogance du type en fait une personne détestable, mais si la politique ultra court termiste de la chasse aux dividendes reste présente... même causes mêmes effets. Les actionnaires et le Conseil d'administration doivent bien se mettre ça en tête. Après, si Elkann veut continuer à tuer l'entreprise familiale, on ne peut plus grand chose...
Par syl203579
Enfin !!
Ils vont peut être comprendre que vendre des voitures trop chères pour faire des marges et engraisser les actionnaires c'est fini !!
À force de prendre les clients pour des imbeciles, on finir par moins vendre... c'est logique quand les clients ouvrent les yeux....
Reste à espérer que ce phénomène touche d'autres constructeurs qui ont eux aussi beaucoup trop tirer sur la corde après le covid...
On nous a sorti un tas d'excuses bidon pour justifier les hausses de prix mais c'était surtout pour augmenter les marges et payer le développement de l'électrique imposé par nos gouvernants...
Les clients ont choisi, ils ont dit stop...
Maintenant, aux dirigeants de se remettre en question et de revoir le fonctionnement de leurs entreprises
Par M40i
Titeuf au rapport
Par matrix71
Moteur de merde et l'autre Carlos viens vendre du rêve
Par carver
on espère que le salaire du portugais sera negatif...
Par titeuf380
oui bon, pas de quoi écrire une lettre a ses parents ... on sait maintenant qu'ils sont dans le dur...
pour rappel bénéf 2023 -> 18,6 milliards !!!! Cash dispo 60 milliards . ils ont de quoi faire 2/ 3 ans de crise.
donc si en 2024 ils font QUE 7 ou 8 milliards de bénéf' .... par ex chez renault avec 8 milliards ils ouvrent le champagne !!!!
faut tjs relativiser Michel (CARA ) ... stellantis est en crise, et stellantis s'en sortira...
il vont faire un petit benef 2024 mais vont pas perdre 8 milliards cette année..... comme le losange y'a 5 ans
Par LATOURFL
Adepte de l'électrique depuis 5 ans, je dois reconnaître que si les stations de recharge fonctionnaient sur le même principe que les stations essence, à savoir, prix affichés et paiement en carte bleue, ça inciterait plus de monde à franchir le pas. Sans oublier de baisser le prix des voitures à pile, bien sûr.
Par Otonei
Fini les primes a 5 chiffres et le salaire délirant de plus de 30M.
Par AquaBilla
Le plus gros problème est la filiale américaine.
La seule chose qui se vendait chez Dodge sont les muscles cars : remplacées par des électriques + L6. Le Durango est aussi à remplacer d'urgence.
Chrysler n'as qu'un seul modèle en vente : un minivan alors que le marché est aux SUV.
Jeep en plein dégringolade : le Renegade et le Cherokee ne sont plus dispos donc l'offre d'entrée de gamme est faite par un Compass pourri et à bout de souffle. Le Grand Cherokee souffre de pas mal de problèmes de jeunesse et ils vont visiblement l'affubler d'un L4 lors du restylage de l'année prochaine.
Par Brutus1
Ça sent les manif au Mondial de l'automobile, on va voir débouler les ouvriers de VW, qui risquent le chômage, ils vont tout casser.
Par fedoismyname
(..)
En fait, le principal clou dans le pneu de Stellantis est américain. Et le groupe l’avoue : deux tiers de la baisse de sa marge est imputable à ses marques d’Outre-Atlantique. Car du côté de Dodge, Ram, Jeep et Chrysler, rien ne va plus. Cette dernière marque n’est plus que l’ombre d’elle-même, quant aux autres, elles ont loupé le coche d’un pays qui n’est pas encore prêt au tout électrique mais qui en revanche, est très ouvert à l’hybride rechargeable. Ce que les marques américaines du groupe ont totalement négligé.
(..)
Bien évidemment, certains vont nous parler de puretech, airbag...
Par fedoismyname
En réponse à Axel015
Ils ont tenté de mettre un 3 cylindres européano-normées sur un Dodge RAM et ça n'a pas fonctionné pour assurer les ventes auprès des habitants de la première puissance mondiale ?
Ben justement, non.
A priori, les méventes semblent liées à une hausse des prix, sur le marché nord-américain.
Et donc probablement à une forte concurrence des autres marques, probablement étrangères, d'ailleurs.
Du pain béni pour Trump, au passage.
Par akrone01
Effectivement, la méthode n'était visiblement pas pérenne, mais la cause est multiple, au delà des problèmes internes au groupe, la conjoncture actuelle n'est pas favorable, à aucun constructeur. VW, Volvo, Tesla, BMW pour ne citer qu'eux, ont aussi revu leur prévisions à la baisse, et ce ne sont pas des généralistes multi marques de la taille de Stellantis. Et la question se posera pour notre autre constructeur national (Renault) en temps voulu : capitaliser l'effort de guerre sur le full electrique (motorisation et plateforme) à l'heure ou la concurrence chinoise est extrème, ou le prix du watt sur long trajet est prohibitif et l'intérêt économique réservé avant tout au propriétaire de maison individuelle avec borne, ou beaucoup de constructeur font machine arrière et ou on aperçoit l'émergence de nouveaux carburants, clairement, ça pose question. Bref l'année 2024 est et restera chaotique. Peut être une simple passe, mais dans tous les cas, un remplacement du management à la tête de stellantis semble inéluctable.
Par 1760363
En réponse à Maître-Yoda
Puis remplacer Tavares c'est une chose, évidemment l'arrogance du type en fait une personne détestable, mais si la politique ultra court termiste de la chasse aux dividendes reste présente... même causes mêmes effets. Les actionnaires et le Conseil d'administration doivent bien se mettre ça en tête. Après, si Elkann veut continuer à tuer l'entreprise familiale, on ne peut plus grand chose...
Moi, je le trouve très sympathique, ce monsieur, surtout quand il court sur 104 coupé.
Il a le sourire permanent des gens qui n'ont pas de souci d'argent, on ne peut pas le lui reprocher.
Moi, les arrogants qui m'exaspèrent, ce sont les minables donneurs de leçons des forums, qui ne valent pas tripette mais s'estiment meilleurs en tout.
Par roc et gravillon
En réponse à titeuf380
oui bon, pas de quoi écrire une lettre a ses parents ... on sait maintenant qu'ils sont dans le dur...
pour rappel bénéf 2023 -> 18,6 milliards !!!! Cash dispo 60 milliards . ils ont de quoi faire 2/ 3 ans de crise.
donc si en 2024 ils font QUE 7 ou 8 milliards de bénéf' .... par ex chez renault avec 8 milliards ils ouvrent le champagne !!!!
faut tjs relativiser Michel (CARA ) ... stellantis est en crise, et stellantis s'en sortira...
il vont faire un petit benef 2024 mais vont pas perdre 8 milliards cette année..... comme le losange y'a 5 ans
Après le gadin de l'action ce jour (-14,74%), tu devrais songer à acheter massivement des parts de ton chouchou le fanboy béat...
Chiche ?
Exact, il aurait du rester dans la chanson rigolote ou le narcotrafic .
En réponse à Axel015
Ils ont tenté de mettre un 3 cylindres européano-normées sur un Dodge RAM et ça n'a pas fonctionné pour assurer les ventes auprès des habitants de la première puissance mondiale ?
Faut pas s'inquiéter, il va remonter la pente en vendant des leapmotor qui seront plus fiables.
Par Pile Poil
il semblerai que le groupe va cramer entre 5 et 10 milliards cette année. Le pire c'est que plus cela va et plus la société annonce des prévisions pire que les précédentes. La vache à lait américaine est malade, le véto coûte cher. Heureusement tout roule en europe grâce à la bonne pub takata ou puretech ...
Comment Stellantis va y il "redresser" la barre. L'année a venir va être passionnante!
Quelle leçon les Agnelli vont il en tirer??
Par Pembroke Pines
En réponse à Maître-Yoda
La victimisation, c'est donc tout ce qui reste aux pro-Picsou ?
Je m'intéresse à l'Automibile depuis très longtemps. Pas depuis l'adolescence, depuis l'enfance. Je n'ai jamais vu une gestion de groupe aussi grossière, sans aucune vision à long terme, ni même moyen terme. Un management par la terreur. Un ultra-cost-killing à tout détruire.
Ce sera un champs de ruine après son départ. Elkann est coupable.
Personnellement, je me pencherais sur un produit conçu sous l'ère Stellantis que s'ils changent totalement de manière de faire. La future Giulia ayant été présentée au réseau qui a trouvé le design décevant (l'Imparatocard veut en faire un crossover, c'est presque pas croyable un niveau de débilité pareil), cela prendra facilement 10 ans avant de me voir éventuellement devenir prospect.
Par ailleurs, ne pas reconduire Picsou ne sera pas suffisant, sa bande doit dégager avec lui.
Cette suffisance stratosphérique ! Plutôt que de rager sur Caradisiac, postule pour rejoindre le bord ! Un high pot tel que le tien ne doit pas rester en sommeil. Tu es une bénédiction pour l’industrie automobile.
Par Maître-Yoda
En réponse à Pembroke Pines
Cette suffisance stratosphérique ! Plutôt que de rager sur Caradisiac, postule pour rejoindre le bord ! Un high pot tel que le tien ne doit pas rester en sommeil. Tu es une bénédiction pour l’industrie automobile.
J'ai juste été en avance sur ce que toute la presse s'accorde à dire actuellement. C'est pas de la suffisance, c'est un fait. Tu peux en rire, ça changera rien.
Par Maître-Yoda
En réponse à toyotaquifaitpasdebruit
Exact, il aurait du rester dans la chanson rigolote ou le narcotrafic .
Big bisou à toi mon Dédé !
Par Maître-Yoda
En réponse à titeuf380
oui bon, pas de quoi écrire une lettre a ses parents ... on sait maintenant qu'ils sont dans le dur...
pour rappel bénéf 2023 -> 18,6 milliards !!!! Cash dispo 60 milliards . ils ont de quoi faire 2/ 3 ans de crise.
donc si en 2024 ils font QUE 7 ou 8 milliards de bénéf' .... par ex chez renault avec 8 milliards ils ouvrent le champagne !!!!
faut tjs relativiser Michel (CARA ) ... stellantis est en crise, et stellantis s'en sortira...
il vont faire un petit benef 2024 mais vont pas perdre 8 milliards cette année..... comme le losange y'a 5 ans
Parce-que tu crois que la commercialisation des véhicules vérolés qu'il lance à tour de bras ne vont durer que 3 ans ?
Par Maître-Yoda
En réponse à 1760363
Moi, je le trouve très sympathique, ce monsieur, surtout quand il court sur 104 coupé.
Il a le sourire permanent des gens qui n'ont pas de souci d'argent, on ne peut pas le lui reprocher.
Moi, les arrogants qui m'exaspèrent, ce sont les minables donneurs de leçons des forums, qui ne valent pas tripette mais s'estiment meilleurs en tout.
Va dire ça aux milliers de licenciés qu'il a fait, rigolo va.
Par al7785
En réponse à Maître-Yoda
La victimisation, c'est donc tout ce qui reste aux pro-Picsou ?
Je m'intéresse à l'Automibile depuis très longtemps. Pas depuis l'adolescence, depuis l'enfance. Je n'ai jamais vu une gestion de groupe aussi grossière, sans aucune vision à long terme, ni même moyen terme. Un management par la terreur. Un ultra-cost-killing à tout détruire.
Ce sera un champs de ruine après son départ. Elkann est coupable.
Personnellement, je me pencherais sur un produit conçu sous l'ère Stellantis que s'ils changent totalement de manière de faire. La future Giulia ayant été présentée au réseau qui a trouvé le design décevant (l'Imparatocard veut en faire un crossover, c'est presque pas croyable un niveau de débilité pareil), cela prendra facilement 10 ans avant de me voir éventuellement devenir prospect.
Par ailleurs, ne pas reconduire Picsou ne sera pas suffisant, sa bande doit dégager avec lui.
Ça me surprend (ou pas) que vous ayez oublié S. Marchionne alors que la fusion avec PSA n'aurait jamais eu lieu sans sa gestion de FCA.
Par GY201
En réponse à akrone01
Effectivement, la méthode n'était visiblement pas pérenne, mais la cause est multiple, au delà des problèmes internes au groupe, la conjoncture actuelle n'est pas favorable, à aucun constructeur. VW, Volvo, Tesla, BMW pour ne citer qu'eux, ont aussi revu leur prévisions à la baisse, et ce ne sont pas des généralistes multi marques de la taille de Stellantis. Et la question se posera pour notre autre constructeur national (Renault) en temps voulu : capitaliser l'effort de guerre sur le full electrique (motorisation et plateforme) à l'heure ou la concurrence chinoise est extrème, ou le prix du watt sur long trajet est prohibitif et l'intérêt économique réservé avant tout au propriétaire de maison individuelle avec borne, ou beaucoup de constructeur font machine arrière et ou on aperçoit l'émergence de nouveaux carburants, clairement, ça pose question. Bref l'année 2024 est et restera chaotique. Peut être une simple passe, mais dans tous les cas, un remplacement du management à la tête de stellantis semble inéluctable.
Dès le premier jour où il a fallu accepter le mot Stelantis comme nom du groupe, l'issue était prévisible. L'historique de FIAT depuis 1980 montrait l'avenir du nouveau groupe.
La frénésie des héritiers de la famille pour acquérir à vil prix Chysler puis fusionner avec PSA dévoilait la faiblesse de la part italienne dans chacun des deux ensembles FCA puis Stelantis.
Maintenant ça dégringole au moins 5 ans plus tôt que ce que j'imaginais.
Par Maître-Yoda
En réponse à al7785
Ça me surprend (ou pas) que vous ayez oublié S. Marchionne alors que la fusion avec PSA n'aurait jamais eu lieu sans sa gestion de FCA.
La dernière fois que j'en ai parlé ici c'était la semaine passée mais bon...
Par anneaux nîmes.
En réponse à Axel015
Bah autant en Europe, il faut produire des moteurs "à risque" pour tenir les normes, autant aux USA personne ne t'y pousse, donc tu n'as pas d'excuse pour produire des merdes.
Vous en parlerez à VAG....des normes US.
Pinaise ce qu'il ne faut pas lire quand un gamin attardé rêve des étoiles....
Par zabriskir
En réponse à LATOURFL
Adepte de l'électrique depuis 5 ans, je dois reconnaître que si les stations de recharge fonctionnaient sur le même principe que les stations essence, à savoir, prix affichés et paiement en carte bleue, ça inciterait plus de monde à franchir le pas. Sans oublier de baisser le prix des voitures à pile, bien sûr.
Oui et ca suffirait pas, il faudrait que toutes les bornes soient opérationnelles et entretenu, il faudrait que le temps de charge soit de 10 min pour 300 km ( on est encore loin même à ce niveau là de la rapidité d un plein d un VT ), la oui, le VE pourrait commencer à être plus intéressant.
Ah et aussi, des VE léger et efficient pas des 3008 qui font 2T2 !!!!
Pour les résultats de stellantis, rien de surprenant, quand on a privilégié la marge aux volumes, à un moment là fraîche diminue, quand on veut tirer les prix à tout va au détriment de la qualité, les gens vont voir ailleurs, Renault l avait bien compris après sa fiabilité calamiteuse du début des années 2000, ils mettent du temps à remonter la pente même si leur fiabilité est souvent en forme de vagues...
Bref, Stellantis est aussi en période de renouvellement : nouvelle C3, nouvelle Panda, junior, Frontera, C3 aircross etc....
Le pure tech à courroie remplacé par une chaîne reste à prouver qu il sera moins tracassou.....bref Stellantis est en plein creux de la vague avant un flot de nouveautés et de leur pure tech revisité...
Si ces produits cités restent de qualité low cost ( on se souvient des THP à chaîne ) avec la même politique qu aujourd'hui : économies à tous les étages, alors la, la crise sera vraiment structurelle.....à voir donc !
Par titeuf380
En réponse à Maître-Yoda
Parce-que tu crois que la commercialisation des véhicules vérolés qu'il lance à tour de bras ne vont durer que 3 ans ?
bah le 1.2 Hybride européen est franchement nouveau à 70% ( lire sur le net' y'a un article ) .... et leurs moteurs 100% elec 2024 consomment moins que l'ancienne référence du segment ( renault, à la ramasse totale coté conso sur leur 100% elec 2024 ) .
leur hybride 100 et 136 Cv est donc plutôt efficient ( pas loin du tout des Full en conso' mis à par Toyota intouchable certes) ...
et aux States ils on lancé 2 nouveaux moteurs cette année un 1,6L pour les hybrides ( rechargeable ET non rechargeable ) et un 6 cylindres qui pourra sortir jusqu'à 500 Cv....
donc si tu veux y'a un trou d'air là chez Stellantis .... qui va durer surement qq mois ( années ) ... le temps de re sortir des modeles qui correspondent à la demande ( surtout aux States) , mais l'avenir est pas si moche que ça.... ben non ....
bon on a compris que le benef 2024 sera entre 5 et 7 milliards bien loin de 18' et 17' des 2 années précédentes ... ... mais y'en a qui payeraient pour faire ce résultat ( notamment chez renault ) ... faut tjs relativiser MAITRE !
Par gibou78
En france en tout cas ils margent comme des porcs
Par Jadothefirst
En réponse à Axel015
Bah autant en Europe, il faut produire des moteurs "à risque" pour tenir les normes, autant aux USA personne ne t'y pousse, donc tu n'as pas d'excuse pour produire des merdes.
Excellent moteur au demeurant
Par TahitiBob666
Il n'y a pas que la marge qui est en dégringolade chez Stellantis...
Par al7785
En réponse à Maître-Yoda
La dernière fois que j'en ai parlé ici c'était la semaine passée mais bon...
Donc vous avez déjà vu une vision court-termiste contrairement à votre affirmation de départ.
Par henri13enforme
Il est où l'agent d'entretien eto?
Une explication à cette catastrophique situation ?
Les moteurs HDi qui cassent aussi facilement que les puretech, les puretech à chaîne qui cassent aussi ...
Quelle honte de rouler avec ces merguez alors qu'il existe de la qualité pure, reconnue dans le monde entier, la qualité coréenne
Par woodman
En réponse à henri13enforme
Il est où l'agent d'entretien eto?
Une explication à cette catastrophique situation ?
Les moteurs HDi qui cassent aussi facilement que les puretech, les puretech à chaîne qui cassent aussi ...
Quelle honte de rouler avec ces merguez alors qu'il existe de la qualité pure, reconnue dans le monde entier, la qualité coréenne
La qualité pure Coréenne reconnue dans le monde entier. La bonne blague
Par Maître-Yoda
En réponse à al7785
Donc vous avez déjà vu une vision court-termiste contrairement à votre affirmation de départ.
Jamais vu une politique aussi court termiste non. Dois-je vous rappelez que les Fiat 500, Tipo, la Giulia, le Stelvio, le redressement de Jeep... c'était sous Marchionne ?
Tout n'était pas top, mais tout n'était pas pourri, contrairement à maintenant.
Par fabriziod
Finalement il aura fait du Carlos GHOSN le TAVARES, avec à priori l'abus de biens social en moins.
Le portugais aura lui aussi droit à sa valise... en carton
Par fabriziod
En réponse à Maître-Yoda
Jamais vu une politique aussi court termiste non. Dois-je vous rappelez que les Fiat 500, Tipo, la Giulia, le Stelvio, le redressement de Jeep... c'était sous Marchionne ?
Tout n'était pas top, mais tout n'était pas pourri, contrairement à maintenant.
Marchionne a fait du bon travail, contrairement à ce que certains experts autoproclamés ont vomis.
La maladie a été un coup de frein et un coup dur sur l'évolution du groupe et sa préparation a une fusion inéluctable.
Luca Di Meo doit être actuellement enchaîné chez a son bureau chez Renault pour éviter tout transfuge chez Stellantis.
Quant à Tavares, il est urgent de le remplacer avant que le groupe ne soit plus capable de se redresser.
Par al7785
En réponse à Maître-Yoda
Jamais vu une politique aussi court termiste non. Dois-je vous rappelez que les Fiat 500, Tipo, la Giulia, le Stelvio, le redressement de Jeep... c'était sous Marchionne ?
Tout n'était pas top, mais tout n'était pas pourri, contrairement à maintenant.
La Giulia et le Stelvio faisaient partie d'un énième plan pour relancer Alfa Romeo, ce qui n'a pas marché.
La Fiat 500 est son seul succès. Il ne reste plus grand chose d'autres de vendable chez fiat en Europe.
Bientôt, vous allez affirmer que S. Marchionne a beaucoup investi. Total mauvaise foi !
Par carver
En réponse à fabriziod
Finalement il aura fait du Carlos GHOSN le TAVARES, avec à priori l'abus de biens social en moins.
Le portugais aura lui aussi droit à sa valise... en carton
la formation made in France => prépa connard, pseudo grande école et carnage à l'arrivée...(des usines à pervers nacrissiques).
Par Maître-Yoda
En réponse à fabriziod
Finalement il aura fait du Carlos GHOSN le TAVARES, avec à priori l'abus de biens social en moins.
Le portugais aura lui aussi droit à sa valise... en carton
Tavares pousse le cost-killikg encore plus loin.
Mais en somme, chaque Carlos aura coulé un groupe automobile, c'est assez fort
Par Maître-Yoda
En réponse à al7785
La Giulia et le Stelvio faisaient partie d'un énième plan pour relancer Alfa Romeo, ce qui n'a pas marché.
La Fiat 500 est son seul succès. Il ne reste plus grand chose d'autres de vendable chez fiat en Europe.
Bientôt, vous allez affirmer que S. Marchionne a beaucoup investi. Total mauvaise foi !
Je vais juste pas répété une énième fois ce que j'ai déjà dit, tant pis.
Par Maître-Yoda
En réponse à fabriziod
Marchionne a fait du bon travail, contrairement à ce que certains experts autoproclamés ont vomis.
La maladie a été un coup de frein et un coup dur sur l'évolution du groupe et sa préparation a une fusion inéluctable.
Luca Di Meo doit être actuellement enchaîné chez a son bureau chez Renault pour éviter tout transfuge chez Stellantis.
Quant à Tavares, il est urgent de le remplacer avant que le groupe ne soit plus capable de se redresser.
Disons que Marchionne a dû vraiment remettre lez comptes au vert, contrairement à Tavares chez PSA qui a été sauvé par l'État et Dongfeng.
Donc un vrai manque d'investissement durant une bonne décennie, mais, ce qui était fait était bien fait, surtout vers la "fin". Niveau qualitatif, la vraie qualité, pas juste qqs plastiques moussés il partait du fond du panier européen, pour finir dans le top, tout en affirmant encore + l'identité de chaque marque, et en laissant une véritable marge de manœuvre à la partie américaine.
Tout l'inverse de la démarche de Tavares, qui arrive chez PSA durant une vraie montée en gamme avec la 308 II, et qui flingue absolument toute la qualité, à tous les niveaux, puis chez Stellantis, pour finir où on en est.
Par Maître-Yoda
Bon bah je me suis répété
Par jujustice
En réponse à Maître-Yoda
La victimisation, c'est donc tout ce qui reste aux pro-Picsou ?
Je m'intéresse à l'Automibile depuis très longtemps. Pas depuis l'adolescence, depuis l'enfance. Je n'ai jamais vu une gestion de groupe aussi grossière, sans aucune vision à long terme, ni même moyen terme. Un management par la terreur. Un ultra-cost-killing à tout détruire.
Ce sera un champs de ruine après son départ. Elkann est coupable.
Personnellement, je me pencherais sur un produit conçu sous l'ère Stellantis que s'ils changent totalement de manière de faire. La future Giulia ayant été présentée au réseau qui a trouvé le design décevant (l'Imparatocard veut en faire un crossover, c'est presque pas croyable un niveau de débilité pareil), cela prendra facilement 10 ans avant de me voir éventuellement devenir prospect.
Par ailleurs, ne pas reconduire Picsou ne sera pas suffisant, sa bande doit dégager avec lui.
Ce qui est marrant c'est que la branche US portait la performance économique de Stellantis quand on regarde les résultats précédents et cette branche a contribué à la marge à 2 chiffres...les modèles US sont connus, le plan de renouvellement s'est fait attendre et au niveau EU on est pas mieux loti avec tous les déboires (puretech, hdi etc etc...).
Bizarrement où est passé ETO qui prévoyait un avenir radieux et que ce groupe aller tout déchirer???
On assite aujourd'hui au retour de boomerang qua tant on débattu ici et dont les fanboys fermaient les yeux!
Par jujustice
En réponse à AquaBilla
Le plus gros problème est la filiale américaine.
La seule chose qui se vendait chez Dodge sont les muscles cars : remplacées par des électriques + L6. Le Durango est aussi à remplacer d'urgence.
Chrysler n'as qu'un seul modèle en vente : un minivan alors que le marché est aux SUV.
Jeep en plein dégringolade : le Renegade et le Cherokee ne sont plus dispos donc l'offre d'entrée de gamme est faite par un Compass pourri et à bout de souffle. Le Grand Cherokee souffre de pas mal de problèmes de jeunesse et ils vont visiblement l'affubler d'un L4 lors du restylage de l'année prochaine.
Ils ne se sont pas levé un matin et découvert les problématiques liés au marché...
La branche US c'était approx 60% du CA de Stellantis et a grandement la performance économique passée.. les modèles dataient pour la plupart de l'ère FCA et les renouvellement se font tardivement, de l'aveu même de certains dirigeants US où le cap n'était pas bien défini depuis la création de Stellantis.
Plusieurs l'ont dit ici et se sont fait taxer d'antio patriote ou anti Tavares, mais c'était prévisible en partie, cost killing déboires non pris en charge à 100%,, mépris du réseau, SAV médiocre en Europe et la colère gronde aux US.... le cocktail est là pour exploser...
Ce qui serait bien dommage , en sus des licenciement ayant déjà eu lieu, que d'autre personnes perdent leur emploi à cause de dirigeant médiocre comme le Carlos.
Il a été à l'école Ghosn on dirait bien... juste moins de frasques médiatiques!
Par jujustice
En réponse à Maître-Yoda
Disons que Marchionne a dû vraiment remettre lez comptes au vert, contrairement à Tavares chez PSA qui a été sauvé par l'État et Dongfeng.
Donc un vrai manque d'investissement durant une bonne décennie, mais, ce qui était fait était bien fait, surtout vers la "fin". Niveau qualitatif, la vraie qualité, pas juste qqs plastiques moussés il partait du fond du panier européen, pour finir dans le top, tout en affirmant encore + l'identité de chaque marque, et en laissant une véritable marge de manœuvre à la partie américaine.
Tout l'inverse de la démarche de Tavares, qui arrive chez PSA durant une vraie montée en gamme avec la 308 II, et qui flingue absolument toute la qualité, à tous les niveaux, puis chez Stellantis, pour finir où on en est.
"Tavares chez PSA qui a été sauvé par l'État et Dongfeng."
-> beaucoup l'ont oublié en effet!
Par Gastor
Le masque commence à tomber pour Tavares, cette alerte aux bénéfices n'est qu'un début à la chute que certains prédisaient depuis des années
A savoir le courtermisme se paye toujours un jour, combiné à la stratégie foireuse du "pricing power" pourtant décriée dans les écoles de commerce avec cas d'école "Euromarché" tant l'absurde n'est jamais loin (voir commentaire en Janvier 23 déjà https://www.caradisiac.com/commentaires/marche-du-neuf-l-europe-au-plus-bas-depuis-30-ans-200298.htm).
Par sylvain93
Renault me semble être moins en danger que Stellantis qui ressemble plus à la fin de l'empire Romain dévoré par les complots internes et régionaux, les barbares, l'autodétermination des peuples soumis etc....
Les chiffres actuels de Stellantis tendent à prouver une de stratégie globales des éoliennes consistant à brasser du vent le tout saluer par la presse dite spécialisée.
Mais notre époque , ce sont les tornades et vents contraires ingérables et destructeurs. Comme dit le dicton et dans ce cas: "on n'est jamais assez riche pour racheter ses propres erreurs". Pour moi , le marché US est fini ... Mais qui a cru que des marques Italiennes auraient pu durer chez l'oncle Sam?? Franchement ?
Par Critias
En réponse à al7785
La Giulia et le Stelvio faisaient partie d'un énième plan pour relancer Alfa Romeo, ce qui n'a pas marché.
La Fiat 500 est son seul succès. Il ne reste plus grand chose d'autres de vendable chez fiat en Europe.
Bientôt, vous allez affirmer que S. Marchionne a beaucoup investi. Total mauvaise foi !
"La Giulia et le Stelvio faisaient partie d'un énième plan pour relancer Alfa Romeo, ce qui n'a pas marché."
Trop chères, chute des ventes de berlines au profit des SUV. Ceci dit, ce sont de belles autos avec leur style bien à elles et pas un 2008/208 siliconé comme le Junior et l'Ypsilon.
On pourra critiquer Marchionne comme on veut - j'ai été un de ses plus fervents détracteurs - mais lui au moins préservait l'identité des marques respectives et ne donnait pas dans la photocopieuse. Les rebadgeages de certains modèles Chrysler en Lancia ou Fiat en Dodge - et inversement - n'y changeront rien.
Par Critias
En réponse à titeuf380
oui bon, pas de quoi écrire une lettre a ses parents ... on sait maintenant qu'ils sont dans le dur...
pour rappel bénéf 2023 -> 18,6 milliards !!!! Cash dispo 60 milliards . ils ont de quoi faire 2/ 3 ans de crise.
donc si en 2024 ils font QUE 7 ou 8 milliards de bénéf' .... par ex chez renault avec 8 milliards ils ouvrent le champagne !!!!
faut tjs relativiser Michel (CARA ) ... stellantis est en crise, et stellantis s'en sortira...
il vont faire un petit benef 2024 mais vont pas perdre 8 milliards cette année..... comme le losange y'a 5 ans
"stellantis est en crise, et stellantis s'en sortira..."
Avec de la casse sociale comme d'habitude.
Par Critias
En réponse à fabriziod
Marchionne a fait du bon travail, contrairement à ce que certains experts autoproclamés ont vomis.
La maladie a été un coup de frein et un coup dur sur l'évolution du groupe et sa préparation a une fusion inéluctable.
Luca Di Meo doit être actuellement enchaîné chez a son bureau chez Renault pour éviter tout transfuge chez Stellantis.
Quant à Tavares, il est urgent de le remplacer avant que le groupe ne soit plus capable de se redresser.
"La maladie a été un coup de frein et un coup dur sur l'évolution du groupe et sa préparation a une fusion inéluctable."
Pour la petite histoire, Marchionne était contre la fusion avec PSA.
Par Critias
En réponse à GY201
Dès le premier jour où il a fallu accepter le mot Stelantis comme nom du groupe, l'issue était prévisible. L'historique de FIAT depuis 1980 montrait l'avenir du nouveau groupe.
La frénésie des héritiers de la famille pour acquérir à vil prix Chysler puis fusionner avec PSA dévoilait la faiblesse de la part italienne dans chacun des deux ensembles FCA puis Stelantis.
Maintenant ça dégringole au moins 5 ans plus tôt que ce que j'imaginais.
Le PureTech est italien ? L'affaire "Takata" c'est les italiens ? Tavares est italien ? On croirait lire du Nicool !
En attendant, la partie "boiteuse" de Stellantis semble bien être la française.
Par Critias
En réponse à Maître-Yoda
Je trouve que Caradisiac ne rentre pas bien loin dans l'analyse des causes du marasme. Peur de se brouiller avec ex-PSA ?
L'article de l'Automobile Propre est plus poussé.
Un lien, un lien !
Par F18Hornet
Le Jamais Content - Carlos Tavares, la fin de l’enfumage autour de Stellantis ?
Il a fait des miracles financiers avec PSA, Opel puis Stellantis. Mais ce qui devait arriver arriva, Carlos Tavares semble rattrapé par sa stratégie de cost-killer. Quand il partira pour une retraite dorée, son successeur va-t-il arriver sur un champ de ruines ? C’est ce que se demande déjà notre râleur en chef.
C’est l’information qui a agité l’industrie automobile en début de semaine. Stellantis cherche un successeur à Carlos Tavares, son emblématique directeur général. Ce qui n’est pas une réelle surprise, car il est connu que son mandat doit prendre fin début 2026.
Mais voir la quête de sa relève officialisée par le groupe plus d’un an avant l’échéance, dans un milieu du grand patronat qui aime les négociations discrètes et feutrées, cela peut surprendre. Se doutant de l’emballement médiatique, le groupe a indiqué qu’il n’était pas anormal d’anticiper pour un poste aussi important, et qu’aucune décision n’est prise, laissant la porte ouverte à un maintien de Carlos Tavares.
Mais l’homme est désormais clairement placé sur un siège éjectable. Juste retour des choses. Car Carlos Tavares procède de même avec les membres de son « top managment », sous pression constante. Les mauvais résultats sont vite sanctionnés par des départs. Exemple chez Citroën, Vincent Cobée, arrivé à la tête des chevrons en 2020, a été poussé vers la sortie début 2023 en raison de la mauvaise situation du constructeur, dont les ventes ont reculé, au point que Dacia l’a dépassé.
Et de mauvais résultats, il en est aussi question avec Carlos Tavares. Il a présenté des bilans financiers pour le 1er semestre 2024 qui ont déçu les investisseurs. Par rapport au 1er semestre 2023, le chiffre d’affaires a reculé de 14 %, le résultat net s’est effondré de 48 %. La marge opérationnelle a chuté de 14,4 à 10 %.
Ce qui reste une valeur exceptionnelle pour un groupe automobile. Mais cela cache une situation alarmante aux Etats-Unis, qui est en fait le vrai moteur des résultats incroyables de Stellantis depuis sa naissance. Dans cette zone, la marge opérationnelle est passée de 17,5 à 11,4 %. Face à des stocks qui se sont accumulés, Stellantis a dû se résoudre à casser les prix.
Ce que Carlos Tavares déteste, lui qui a basé une grosse partie de sa stratégie sur la quête de rentabilité. Avec d’abord le besoin de vendre des voitures qui sont plus chères, en améliorant leur qualité et en les rendant plus désirables (la seconde génération du Peugeot 3008 a illustré avec succès cette politique). Et donc en arrêtant de les brader. La période de pénurie qui a suivi le Covid a pour cela bien aidé. Mais la production tourne de nouveau à plein régime, l’offre redevient surabondante face à des clients qui ont perdu en pouvoir d’achat…
Surtout, l’autre élément important de l’équation, c’est la quête des économies. Et si on avait surnommé Carlos Ghosn le cost-killer, alors là, on a l’ultra cost-killer. Ici se trouve vraiment la raison de la belle rentabilité des entreprises gérées par Carlos Tavares.
On se souvient qu’il a pris les commandes d’un groupe PSA au bord du gouffre. En quelques mois, il a remis les comptes dans le vert. Pareil avec le rachat d’Opel, devenu subitement rentable après des années de pertes chez GM. Et voici donc Stellantis qui atteint des marges hallucinantes, dignes de Porsche.
Derrière cela, des comptes assainis en coupant dans les dépenses. D’abord ce qui se justifie, puis en allant de plus en plus loin, jusqu’à ce que cela commence à gripper la machine, que ce soit en interne, puis en externe. Car cela a fini par se voir pour les clients.
Début 2023, le réseau de distribution français s’était plaint de dysfonctionnements majeurs. En 2022, une refonte de la logistique, avec la vente de la participation dans Gefco, avait tourné au fiasco. Des voitures commandées se perdaient dans la nature.
Tous les postes sont concernés par la gestion Picsou. Outre l’organisation, les économies touchent au plan produit. D’abord dans la construction des gammes, avec désormais une maximisation des projets communs, où tout ce qui n’est pas visible est identique entre plusieurs marques.
Parmi les labels, certains sont maintenus en vie ou relancés à peu de frais, par exemple Lancia. On ne s’étonnera pas que cela ne séduise pas les acheteurs. Dans le même temps, après avoir longtemps alerté sur la menace chinoise, Carlos Tavares décide de lancer en Europe le chinois Leapmotor, qui va clairement concurrencer Fiat et Citroën. Faire entrer le loup dans la bergerie, quelle drôle d’idée.
La conception même des véhicules est un poste d’économies. Le lancement compliqué de la C3 électrique découle d’une mise au point difficile, sur une base low-cost dont la conception a été externalisée en Inde. La remise aux normes européennes a demandé plus de travail que prévu. Stellantis avait déjà procédé de la même manière pour la Citroën Ami, conçue par un sous-traitant. Les premiers exemplaires ont souffert d’une longue liste de défauts.
Les premières C3 sont d’ailleurs livrées dans l’urgence ces jours, Citroën ayant été contraint par le délai du leasing social. On a quand même peur pour les premiers clients, qui vont plus que jamais essuyer les plâtres. Il ne faudrait pas un nouveau raté, qui s’ajouterait à des dossiers brûlants qui plombent déjà l’image de Stellantis.
On pense bien sûr aux moteurs PureTech et aux airbags Takata. Ces problèmes ont des origines lointaines, avant que Carlos Tavares arrive chez PSA. Mais leur gestion interroge, avec par exemple un rappel très tardif chez Citroën, alors que le souci était identifié. Fallait-il limiter les dépenses ? Au final, le mal est fait, l’image désastreuse.
En interne, on s’inquiète depuis quelques temps de la quête permanente d’économies et du manque d’investissements. C’est prendre le risque d’aller vers des modèles en retard sur la concurrence et moins fiables. Et c’est un puit sans fond pour Carlos Tavares.
Après les résultats décevants du premier semestre, il a mis la pression… sur ses fournisseurs, pour les inciter à être toujours moins chers. Et après avoir promis de donner sa chance à chaque label, Carlos Tavares a changé de discours cette année en ouvrant la porte à la cession de marques. Quand on commence à vouloir vendre les bijoux de famille, cela ne sent pas bon. Public passionné et gouvernements se rendent compte davantage de ce qui se passe dans les coulisses.
Le journal l’Opinion titrait à juste titre récemment sur la fin de la Tavaresmania. Le ton commence à changer dans la presse économique, où l’on pointe (enfin) les erreurs de Carlos Tavares, après des années d’articles élogieux. Pourtant, les mauvais résultats découlent de mauvaises décisions prises depuis plusieurs années, les signaux d’alerte n’ont pas manqué.
Dans le milieu économique, on se limite souvent à juger la compétence d’un grand patron aux résultats financiers qu’il présente. Carlos Ghosn a enchainé les mandats à la tête de Renault grâce à des résultats flatteurs portés par une course aux volumes, qui a failli causer la perte du groupe. Lorsque Carlos Ghosn a dû lâcher la main en raison de son arrestation au Japon, ses successeurs ont trouvé un outil surdimensionné et une situation financière catastrophique.
En sera-t-il de même pour la relève de Carlos Tavares ? Stellantis n’en est pas à ce point. Mais la chute des résultats du groupe pourrait être le début de la fin, montrer que le rideau de fumée entretenu par des décisions « court-termistes » favorables à des marges records instantanées se dissipe. Le temps que la fumée disparaisse totalement, l’homme s’éloignera pour profiter de sa retraite dorée.
Après cela, le palace dont il a eu la charge et dont il a maintenu une façade rutilante pourrait bien s’effondrer. Les propriétaires découvriront alors que les meubles ont été vendus et les fondations n’ont pas été entretenues. Ils découvriront dans le jardin qu’une espèce invasive a été plantée. Ils feront les étonnés alors que le personnel viré avait alerté.
Par carver
nouveau rappel pour stellantoc !!!
Par SteppeOuais
La presse spécialisée était unanime sur la qualité déplorable des productions PSA puis Stellantis, tous les comparos enfoncaient les 208 et autres 3008 année après année, pas assez d'espace, infotainment à la ramasse, ergonomie catastrophique, puis est arrivé le puretoc-gate, les rappels en cascade, les délocalisations, les "ventes" tactiques massives aux concessions, tout y est passé pour essayer de conserver des chiffres de vente et une marge élevés.
Mais in fine c'est un fusil à un coup. Quand ton outil industriel est à l'os, les innovations absentes, les clients dégoûtés, c'est game over. Il faudra des années à Stellantis pour remonter la pente et ça passera forcément par un dirigeant plus soucieux de diriger en étant à l'écoute des clients et des ingénieurs que des financiers.
C'est un peu la même chose chez le Kube, à force de se moquer des clients en vendant des bouses fabriquées avec les pieds, le tout à des prix que les marques premium ne renieraient pas, vient forcément le moment où il faut passer à la caisse : et c'est maintenant !
Par Critias
En réponse à F18Hornet
Le Jamais Content - Carlos Tavares, la fin de l’enfumage autour de Stellantis ?
Il a fait des miracles financiers avec PSA, Opel puis Stellantis. Mais ce qui devait arriver arriva, Carlos Tavares semble rattrapé par sa stratégie de cost-killer. Quand il partira pour une retraite dorée, son successeur va-t-il arriver sur un champ de ruines ? C’est ce que se demande déjà notre râleur en chef.
C’est l’information qui a agité l’industrie automobile en début de semaine. Stellantis cherche un successeur à Carlos Tavares, son emblématique directeur général. Ce qui n’est pas une réelle surprise, car il est connu que son mandat doit prendre fin début 2026.
Mais voir la quête de sa relève officialisée par le groupe plus d’un an avant l’échéance, dans un milieu du grand patronat qui aime les négociations discrètes et feutrées, cela peut surprendre. Se doutant de l’emballement médiatique, le groupe a indiqué qu’il n’était pas anormal d’anticiper pour un poste aussi important, et qu’aucune décision n’est prise, laissant la porte ouverte à un maintien de Carlos Tavares.
Mais l’homme est désormais clairement placé sur un siège éjectable. Juste retour des choses. Car Carlos Tavares procède de même avec les membres de son « top managment », sous pression constante. Les mauvais résultats sont vite sanctionnés par des départs. Exemple chez Citroën, Vincent Cobée, arrivé à la tête des chevrons en 2020, a été poussé vers la sortie début 2023 en raison de la mauvaise situation du constructeur, dont les ventes ont reculé, au point que Dacia l’a dépassé.
Et de mauvais résultats, il en est aussi question avec Carlos Tavares. Il a présenté des bilans financiers pour le 1er semestre 2024 qui ont déçu les investisseurs. Par rapport au 1er semestre 2023, le chiffre d’affaires a reculé de 14 %, le résultat net s’est effondré de 48 %. La marge opérationnelle a chuté de 14,4 à 10 %.
Ce qui reste une valeur exceptionnelle pour un groupe automobile. Mais cela cache une situation alarmante aux Etats-Unis, qui est en fait le vrai moteur des résultats incroyables de Stellantis depuis sa naissance. Dans cette zone, la marge opérationnelle est passée de 17,5 à 11,4 %. Face à des stocks qui se sont accumulés, Stellantis a dû se résoudre à casser les prix.
Ce que Carlos Tavares déteste, lui qui a basé une grosse partie de sa stratégie sur la quête de rentabilité. Avec d’abord le besoin de vendre des voitures qui sont plus chères, en améliorant leur qualité et en les rendant plus désirables (la seconde génération du Peugeot 3008 a illustré avec succès cette politique). Et donc en arrêtant de les brader. La période de pénurie qui a suivi le Covid a pour cela bien aidé. Mais la production tourne de nouveau à plein régime, l’offre redevient surabondante face à des clients qui ont perdu en pouvoir d’achat…
Surtout, l’autre élément important de l’équation, c’est la quête des économies. Et si on avait surnommé Carlos Ghosn le cost-killer, alors là, on a l’ultra cost-killer. Ici se trouve vraiment la raison de la belle rentabilité des entreprises gérées par Carlos Tavares.
On se souvient qu’il a pris les commandes d’un groupe PSA au bord du gouffre. En quelques mois, il a remis les comptes dans le vert. Pareil avec le rachat d’Opel, devenu subitement rentable après des années de pertes chez GM. Et voici donc Stellantis qui atteint des marges hallucinantes, dignes de Porsche.
Derrière cela, des comptes assainis en coupant dans les dépenses. D’abord ce qui se justifie, puis en allant de plus en plus loin, jusqu’à ce que cela commence à gripper la machine, que ce soit en interne, puis en externe. Car cela a fini par se voir pour les clients.
Début 2023, le réseau de distribution français s’était plaint de dysfonctionnements majeurs. En 2022, une refonte de la logistique, avec la vente de la participation dans Gefco, avait tourné au fiasco. Des voitures commandées se perdaient dans la nature.
Tous les postes sont concernés par la gestion Picsou. Outre l’organisation, les économies touchent au plan produit. D’abord dans la construction des gammes, avec désormais une maximisation des projets communs, où tout ce qui n’est pas visible est identique entre plusieurs marques.
Parmi les labels, certains sont maintenus en vie ou relancés à peu de frais, par exemple Lancia. On ne s’étonnera pas que cela ne séduise pas les acheteurs. Dans le même temps, après avoir longtemps alerté sur la menace chinoise, Carlos Tavares décide de lancer en Europe le chinois Leapmotor, qui va clairement concurrencer Fiat et Citroën. Faire entrer le loup dans la bergerie, quelle drôle d’idée.
La conception même des véhicules est un poste d’économies. Le lancement compliqué de la C3 électrique découle d’une mise au point difficile, sur une base low-cost dont la conception a été externalisée en Inde. La remise aux normes européennes a demandé plus de travail que prévu. Stellantis avait déjà procédé de la même manière pour la Citroën Ami, conçue par un sous-traitant. Les premiers exemplaires ont souffert d’une longue liste de défauts.
Les premières C3 sont d’ailleurs livrées dans l’urgence ces jours, Citroën ayant été contraint par le délai du leasing social. On a quand même peur pour les premiers clients, qui vont plus que jamais essuyer les plâtres. Il ne faudrait pas un nouveau raté, qui s’ajouterait à des dossiers brûlants qui plombent déjà l’image de Stellantis.
On pense bien sûr aux moteurs PureTech et aux airbags Takata. Ces problèmes ont des origines lointaines, avant que Carlos Tavares arrive chez PSA. Mais leur gestion interroge, avec par exemple un rappel très tardif chez Citroën, alors que le souci était identifié. Fallait-il limiter les dépenses ? Au final, le mal est fait, l’image désastreuse.
En interne, on s’inquiète depuis quelques temps de la quête permanente d’économies et du manque d’investissements. C’est prendre le risque d’aller vers des modèles en retard sur la concurrence et moins fiables. Et c’est un puit sans fond pour Carlos Tavares.
Après les résultats décevants du premier semestre, il a mis la pression… sur ses fournisseurs, pour les inciter à être toujours moins chers. Et après avoir promis de donner sa chance à chaque label, Carlos Tavares a changé de discours cette année en ouvrant la porte à la cession de marques. Quand on commence à vouloir vendre les bijoux de famille, cela ne sent pas bon. Public passionné et gouvernements se rendent compte davantage de ce qui se passe dans les coulisses.
Le journal l’Opinion titrait à juste titre récemment sur la fin de la Tavaresmania. Le ton commence à changer dans la presse économique, où l’on pointe (enfin) les erreurs de Carlos Tavares, après des années d’articles élogieux. Pourtant, les mauvais résultats découlent de mauvaises décisions prises depuis plusieurs années, les signaux d’alerte n’ont pas manqué.
Dans le milieu économique, on se limite souvent à juger la compétence d’un grand patron aux résultats financiers qu’il présente. Carlos Ghosn a enchainé les mandats à la tête de Renault grâce à des résultats flatteurs portés par une course aux volumes, qui a failli causer la perte du groupe. Lorsque Carlos Ghosn a dû lâcher la main en raison de son arrestation au Japon, ses successeurs ont trouvé un outil surdimensionné et une situation financière catastrophique.
En sera-t-il de même pour la relève de Carlos Tavares ? Stellantis n’en est pas à ce point. Mais la chute des résultats du groupe pourrait être le début de la fin, montrer que le rideau de fumée entretenu par des décisions « court-termistes » favorables à des marges records instantanées se dissipe. Le temps que la fumée disparaisse totalement, l’homme s’éloignera pour profiter de sa retraite dorée.
Après cela, le palace dont il a eu la charge et dont il a maintenu une façade rutilante pourrait bien s’effondrer. Les propriétaires découvriront alors que les meubles ont été vendus et les fondations n’ont pas été entretenues. Ils découvriront dans le jardin qu’une espèce invasive a été plantée. Ils feront les étonnés alors que le personnel viré avait alerté.
J'avais vu cet article mais je ne l'avais pas lu. Merci de nous le présenter.
Ça sent la fin de règne pour Tavares.
Par Gofdolfo
Une PHOTO qui dit SMILING alors que le gars donne envie de pleurer et fait la grimace ... Normal c'est la soupe à la grimace en ce moment pour ce pseudo-groupe fait de canards boiteux, de marques moribondes (chrysler, lancia, ds, alfa...) et de fausses marques (vauxhall, autobianchi, ds ...)...
Les profits de l'année dernière son,t dus aux charrettes de licenciements plus de 22 000 gars y ont laissé des plumes pour que TAVARICE se remplisse les poches et faisant les poches des clients avec des voitures à la piètre qualité vendues CHER !!! Mais ce pseudo-groupe stèle-de-pis-en-pis va prendre CHER ... à force de se moquer du client !!!
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