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Commentaires - Miami Vice et Ferrari, c'est toute une histoire

Michel Holtz

Miami Vice et Ferrari, c'est toute une histoire

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Une série que je n' ai jamais pris le temps de connaître.

Et je n' en suis pas plus curieux aujourd' hui.

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jamais aimé cette série.... trop bling bling, improbable, etc...

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2 flics à Miami et 1 rétro à mi-hauteur

Par

Alors petite erreur : dans les 2 premières saisons de la série, la Ferrari est une réplique de 365 GTS/4 (la version découvrable, donc), et pas de 365 GTB/4 comme indiqué dans l'article.

Mais surtout : cette réplique de 365 GTS/4 est noire, et cela n'a pas semblé poser de problème aux techniciens chargés de l'éclairer et de la filmer. Pourquoi donc cette couleur noire serait devenue un problème avec la Testarossa ?

Par

En France ça aurait donné 2 flics dans le Neuf-Trois , en Alpine GTA Turbo .

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Par

Ou en MVS Venturi , pourquoi pas .

Par

Le film (du grand Michael Mann) est très supérieur à la série.

Sans doute parce qu'il a su se départir du "style" années 80, le pire qui soit.

Par

la série était bien sympa : pas trop violente, un peu d'humour, de belles villas, de grosses bagnoles.

ca permettait passer un moment sympa devant un écran cathodique

Par

À part ça, le Squale a pu voir un marchand, mais qui ne lui a rien vendu.

Léon Marchand domine facilement le 50 m brasse du meeting de la Réunionhttps://www.lequipe.fr/Natation/Actualites/Leon-marchand-domine-facilement-le-50-m-brasse-du-meeting-de-la-reunion/1528062

:bah:

Par

En réponse à ChatMallow

2 flics à Miami et 1 rétro à mi-hauteur

   

Clairement cette affreuse verrue qui arrache la rétine ... on est presque au niveau des tablettes d'aujourd'hui, posées à la zob sur un tableau de bord complètement vide.

Par

En réponse à franpir21

Le film (du grand Michael Mann) est très supérieur à la série.

Sans doute parce qu'il a su se départir du "style" années 80, le pire qui soit.

   

Les séries de l'époque, c'était majoritairement du jetable pour combler des grilles de diffusion des chaines de TV.

Vite écrites, filmées, montées ... tu rajoutes à ca le kitch de l'époque et les musiques au synthé et tu as la totale :cyp:

Par

L’histoire des modèles répliques de la Ferrai 365 Daytona 4 GTS Spyder est un peu plus originale qu’exposé dans l’article.

A l’origine le roadster a été présenté à l'IAA de 1969 à Francfort. Deux ans plus tôt, la version coupé 365 GTB/4 a remporté la course de 24 heures de Daytona en raflant les trois places du podium. A partir de là les Ferrari 365 ont été appelés Daytona. Depuis des années, les prix des Ferrari Daytona augmentent, actuellement, environ 250 000 euros sont demandés pour le coupé et 1,3 million d'euros pour le cabriolet. Entre 1969 et 1973, 1.284 coupés ont été construits, mais seulement 125 Ferrari GTS/4 Daytona Spider, ce qui explique immédiatement la différence de prix entre la version ouvrable et la version à toit rigide. Voilà la raison, pourquoi il n’y a pratiquement pas de modèles Spyder sur le marché. Donc automatiquement le marché a demandé des versions répliques mais aussi des conversions, c'est-à-dire des coupés sciés ultérieurement en cabriolet.

La fabrication de modèles Spider pour le marché nord-américain a d'ailleurs été reprise par le vieux maître de carrosserie Scaglietti à Maranello. L’histoire pourrait déjà être terminée mais voilà c'est précisément avec cette entreprise de maître qu'un certain Tom McBurnie de la société Coachcraft de Santee/Californie a maintenu un contact animé.

En 1986 McBurnie commandait chez Scagalietti en Italie presque tous les jours des pare-chocs chromés, des phares et toutes sortes de garnitures en plastique. Bien sûr, pas pour réparer des centaines de Daytona accidentées, mais pour en faire son propre Daytona Spider. Comme McBurnie était lui-même un partisan enthousiaste de la légendaire super voiture de sport depuis des années, il a fait reproduire sans plus tarder une forme négative d'une voiture de démonstration. Après seulement quelques jours, le moule en résine synthétique était durci et il a pu commencer son projet : une carrosserie similaire au modèle original, qui peut être superposée sur la plate-forme d'une Corvette C3 de 1977. Grâce aux pièces jointes d'origine de Scaglietti, le roadster ressemblait comme une goutte d’eau à l'original qui valait plus d'un million de dollars. Le tout n'aurait probablement jamais été découvert par Ferrari si McBurnie n'avait pas fourni deux prototypes noirs au producteur de la série policière américaine Miami Vice.

Par

Nous, on avait les Nuls, avec 2 flics ami-ami ! Sinon, le look ! Brushing, veste à épaulettes sur t-shirt, pantalons à pinces, Ray-ban et la clope au bec. La classe à Dallas... Enfin, à Miami !

Par

En réponse à ChatMallow

2 flics à Miami et 1 rétro à mi-hauteur

   

Version la plus recherchée par les amateurs, soit dit en passant.

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

Pinot simple flic... mais c'était un film.

Par

En réponse à ChatMallow

Pinot simple flic... mais c'était un film.

   

Tu l'as vu ? C'te bouse que c'était :lol:

Par

En réponse à deville70

Une série que je n' ai jamais pris le temps de connaître.

Et je n' en suis pas plus curieux aujourd' hui.

   

et ? :ange:

Par

En réponse à F18Hornet

L’histoire des modèles répliques de la Ferrai 365 Daytona 4 GTS Spyder est un peu plus originale qu’exposé dans l’article.

A l’origine le roadster a été présenté à l'IAA de 1969 à Francfort. Deux ans plus tôt, la version coupé 365 GTB/4 a remporté la course de 24 heures de Daytona en raflant les trois places du podium. A partir de là les Ferrari 365 ont été appelés Daytona. Depuis des années, les prix des Ferrari Daytona augmentent, actuellement, environ 250 000 euros sont demandés pour le coupé et 1,3 million d'euros pour le cabriolet. Entre 1969 et 1973, 1.284 coupés ont été construits, mais seulement 125 Ferrari GTS/4 Daytona Spider, ce qui explique immédiatement la différence de prix entre la version ouvrable et la version à toit rigide. Voilà la raison, pourquoi il n’y a pratiquement pas de modèles Spyder sur le marché. Donc automatiquement le marché a demandé des versions répliques mais aussi des conversions, c'est-à-dire des coupés sciés ultérieurement en cabriolet.

La fabrication de modèles Spider pour le marché nord-américain a d'ailleurs été reprise par le vieux maître de carrosserie Scaglietti à Maranello. L’histoire pourrait déjà être terminée mais voilà c'est précisément avec cette entreprise de maître qu'un certain Tom McBurnie de la société Coachcraft de Santee/Californie a maintenu un contact animé.

En 1986 McBurnie commandait chez Scagalietti en Italie presque tous les jours des pare-chocs chromés, des phares et toutes sortes de garnitures en plastique. Bien sûr, pas pour réparer des centaines de Daytona accidentées, mais pour en faire son propre Daytona Spider. Comme McBurnie était lui-même un partisan enthousiaste de la légendaire super voiture de sport depuis des années, il a fait reproduire sans plus tarder une forme négative d'une voiture de démonstration. Après seulement quelques jours, le moule en résine synthétique était durci et il a pu commencer son projet : une carrosserie similaire au modèle original, qui peut être superposée sur la plate-forme d'une Corvette C3 de 1977. Grâce aux pièces jointes d'origine de Scaglietti, le roadster ressemblait comme une goutte d’eau à l'original qui valait plus d'un million de dollars. Le tout n'aurait probablement jamais été découvert par Ferrari si McBurnie n'avait pas fourni deux prototypes noirs au producteur de la série policière américaine Miami Vice.

   

Merci pour ces informations pertinentes :bien:

Par

En réponse à Osterman

Alors petite erreur : dans les 2 premières saisons de la série, la Ferrari est une réplique de 365 GTS/4 (la version découvrable, donc), et pas de 365 GTB/4 comme indiqué dans l'article.

Mais surtout : cette réplique de 365 GTS/4 est noire, et cela n'a pas semblé poser de problème aux techniciens chargés de l'éclairer et de la filmer. Pourquoi donc cette couleur noire serait devenue un problème avec la Testarossa ?

   

Oui, je pense que la vérité est ailleurs pour le changement de couleur de la Testarossa.

Par

En réponse à Salva

En France ça aurait donné 2 flics dans le Neuf-Trois , en Alpine GTA Turbo .

   

Elle était chouette l'Alpine et Miami n'est pas qu'une ville de rêve, paisible et aseptisée.

La Seine Saint Denis n'est pas moins recommandable...

Par

Crocket et stubbs ?

Par

En réponse à roc et gravillon

À part ça, le Squale a pu voir un marchand, mais qui ne lui a rien vendu.

Léon Marchand domine facilement le 50 m brasse du meeting de la Réunionhttps://www.lequipe.fr/Natation/Actualites/Leon-marchand-domine-facilement-le-50-m-brasse-du-meeting-de-la-reunion/1528062

:bah:

   

C'est vraiment un mauvais marchand.

Ou alors le squale un mauvais client.

Au choix.

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

C'est bizarre ce que tu dis.

J'ai un ami qui est/était commissaire de police, un autre inspecteur et ils ne regardaient jamais la télé.

Pourquoi ?

99,99 % de la production film ou série sont des policiers.

Il n'existe rien d'autre et ce depuis toujours.

Ils avaient plus envie de ne surtout pas penser au boulot.

Par

En réponse à ScreamingChicken

Tu l'as vu ? C'te bouse que c'était :lol:

   

J'ai du le voir à la télé... y a très longtemps. Aucun souvenirs!

Par

Moi je l'ai regardé et aimé cette série Miami vice. Avec Édouard James olmos le boss très charismatique, après les acteurs et actrices bien sapé, des villas je te dis pas, la musique avec tous ces tubes, notamment yellow avec desire, sans oublier phil Collins avec in to the her to night, à chaque fois que j'entends ce tube ça me fait penser à deux flics a Miami quand il traverse la ville la nuit dans cette Daytona noire, ces plans de caméra superbement filmé comment ne pas aimé.

Toutes ces bagnoles toutes plus belles les unes comme les autres de plus toutes européenne allemande et italienne, mercedes bmw Maserati Ferrari et sans oublier une fabuleuse countach Lamborghini qu'elle vitrines pour notre production européenne.

Sublime.

Par

En réponse à F18Hornet

L’histoire des modèles répliques de la Ferrai 365 Daytona 4 GTS Spyder est un peu plus originale qu’exposé dans l’article.

A l’origine le roadster a été présenté à l'IAA de 1969 à Francfort. Deux ans plus tôt, la version coupé 365 GTB/4 a remporté la course de 24 heures de Daytona en raflant les trois places du podium. A partir de là les Ferrari 365 ont été appelés Daytona. Depuis des années, les prix des Ferrari Daytona augmentent, actuellement, environ 250 000 euros sont demandés pour le coupé et 1,3 million d'euros pour le cabriolet. Entre 1969 et 1973, 1.284 coupés ont été construits, mais seulement 125 Ferrari GTS/4 Daytona Spider, ce qui explique immédiatement la différence de prix entre la version ouvrable et la version à toit rigide. Voilà la raison, pourquoi il n’y a pratiquement pas de modèles Spyder sur le marché. Donc automatiquement le marché a demandé des versions répliques mais aussi des conversions, c'est-à-dire des coupés sciés ultérieurement en cabriolet.

La fabrication de modèles Spider pour le marché nord-américain a d'ailleurs été reprise par le vieux maître de carrosserie Scaglietti à Maranello. L’histoire pourrait déjà être terminée mais voilà c'est précisément avec cette entreprise de maître qu'un certain Tom McBurnie de la société Coachcraft de Santee/Californie a maintenu un contact animé.

En 1986 McBurnie commandait chez Scagalietti en Italie presque tous les jours des pare-chocs chromés, des phares et toutes sortes de garnitures en plastique. Bien sûr, pas pour réparer des centaines de Daytona accidentées, mais pour en faire son propre Daytona Spider. Comme McBurnie était lui-même un partisan enthousiaste de la légendaire super voiture de sport depuis des années, il a fait reproduire sans plus tarder une forme négative d'une voiture de démonstration. Après seulement quelques jours, le moule en résine synthétique était durci et il a pu commencer son projet : une carrosserie similaire au modèle original, qui peut être superposée sur la plate-forme d'une Corvette C3 de 1977. Grâce aux pièces jointes d'origine de Scaglietti, le roadster ressemblait comme une goutte d’eau à l'original qui valait plus d'un million de dollars. Le tout n'aurait probablement jamais été découvert par Ferrari si McBurnie n'avait pas fourni deux prototypes noirs au producteur de la série policière américaine Miami Vice.

   

Enfin quelqu'un de passionné et documenté.

Merci F18HOrnet ça change des commentaires négatif.

On peut la voir sur youtube avec la musique de phil Collins traversant la ville de nuit plan de caméra superbement filmé.

Defois on en voit sur les petites annonces à vendre sur le célèbre site le coincoin.

Par Profil supprimé

serie tirée par les cheveux mais ils auraient quand même pu au moins donner une explication comment un flic peut rouler en ferrrari vu le salaire de merde qu ils ont .(je ne crache sur la police ,c est juste un fait)

Par

En réponse à Profil supprimé

serie tirée par les cheveux mais ils auraient quand même pu au moins donner une explication comment un flic peut rouler en ferrrari vu le salaire de merde qu ils ont .(je ne crache sur la police ,c est juste un fait)

   

C'était parfaitement expliqué. Les personnages étaient des flics agissant sous couverture, infiltrés parmi les trafiquants de drogue internationaux. La police de Miami leur fournissait donc ce genre de voitures pour leur couverture (même chose dans le film de 2006).

 

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