Commentaires - Stellantis change les patrons de Peugeot, DS et Jeep

On se souviendra de ceux qui assuraient que Stellantis était dirigé par des winners....

Perte monumentale de part de marché.

Fin de l'illusion des gros bénéfices une fois les économies passées (sur le dos de plus de 40 000 emplois...)

Scandales à répétitions.

Le groupe a de la ressource.

Ils peuvent laaaargement faire de bonnes caisses.

Espérons que leurs nouveaux dirigeants en prenne conscience

On se souviendra de ceux qui assuraient que Stellantis était dirigé par des winners....

Perte monumentale de part de marché.

Fin de l'illusion des gros bénéfices une fois les économies passées (sur le dos de plus de 40 000 emplois...)

Scandales à répétitions.

Le groupe a de la ressource.

Ils peuvent laaaargement faire de bonnes caisses.

Espérons que leurs nouveaux dirigeants en prenne conscience

C'est pas en changeant les chèvres à la tête des filiales que ça résoudra le problème ... Stellantis doit revoir en profondeur sa politique industrielle.

Du moment qu'ils continueront à vendre de la camelote conçue / construite au rabais (VT ou VE, même combat), ils ne resteront que des guignols et des escrocs.

dernière ec3 ( propriétaire), les log c est toujours pas ça. apres 3 rappels modification logiciel la voiture se met encore régulièrement en carafe avec pour pbl : pbl chaîne de traction. la voiture ne veut plus démarrer.

et j en passe d autre toujours pas résolu mais moins gênant.

ça me tue d avoir un vh de moins de 6 mois avec moins de 5k km au compteur avec laquelle tu n es pas sûre d aller au taf ou d en rentrer ...

j ai une 406 coupé et une c3 1ere génération respectivement de 2002 200k km et 2006 240k km . a elles 2 elles n ont pas un 1/10 ème des problèmes de la ec3... consternant...

ETO et Fedo marqués au fer rouge

pour ceux qui en doutaient, il y a vraiment le feu chez l'ex PSA, d'ailleurs la bourse ne s'y trompe pas, l'action prends le bouillon de nouveau, les gros nuages noirs arrivent

Donnez-nous la recette ! Comment faire sans remplacer les bras cassés.

Et avec tout ça, Imparato est toujours là, c'est surprenant. Comme Lieutenant de Tavares, il n'avait pas oublié d'appliquer les ordres de son maître...

C’est le moment d’acheter…..

De l'aveu même d'un vendeur du groupe il y a une semaine : "Imparato s'en fout des bagnoles, il n'aime pas l'automobile".

La baisse d'aujourd'hui est en rapport avec les menaces de Trump sur les produits européens, alors qu'il n'a pas encore bougé le petit doigt. Vous aimez le risque à conseiller l'achat.

C’est un règle de base…. Acheter quand le cours est historiquement bas…. Ce n’est jamais sans risque.

Comme entreprendre…

Quand on n’aime pas le risque, on est fonctionnaire et on prend un livret A….

Tu peux être sûr que Maître Clown ne fera pas son apparition ici.

Son prose se limitant à "Grande Tavares" et "Grande Stellantis", le pauvret ne sais plus quoi écrire.

Le départ de Carlos a amputé son discours de 50%, les résultats de Stellantis vont faire le reste.

Triste fin pour un clown qui en plus ne faisait rire personne.

dernière ec3 ( propriétaire), les log c est toujours pas ça. apres 3 rappels modification logiciel la voiture se met encore régulièrement en carafe avec pour pbl : pbl chaîne de traction. la voiture ne veut plus démarrer.

et j en passe d autre toujours pas résolu mais moins gênant.

ça me tue d avoir un vh de moins de 6 mois avec moins de 5k km au compteur avec laquelle tu n es pas sûre d aller au taf ou d en rentrer ...

j ai une 406 coupé et une c3 1ere génération respectivement de 2002 200k km et 2006 240k km . a elles 2 elles n ont pas un 1/10 ème des problèmes de la ec3... consternant...

STELLANTISGATE :

Il y a des surnoms qui, à eux seuls, résument tout un personnage. ETO, alias En Toute Objectivité, en est le parfait exemple. Ironie du sort, son objectivité est souvent à géométrie très variable, surtout lorsqu’il s’agit de chanter les louanges de son idole incontestée : « GRANDE TAVARES ». Un hommage constant, à la limite de la dévotion, où chaque décision du maestro étst saluée comme une révélation stratégique… même quand le résultat frôlait l’absurde.

ETO, c’est celui qui voyait des génies là où il n’y avait que des erreurs, convaincu qu’une mauvaise idée pouvait devenir brillante si on l’emballait avec suffisamment de jargon corporate. Un vrai talent pour l’illusion.

TÊTE D’ŒUF : LE STRATÈGE DE L’AUTOSATISFACTION

Ensuite, il y a Tête d’Œuf, dont la plus grande spécialité résidait dans sa capacité à critiquer Renault avec l’acharnement d’un supporter frustré. Obsédé par l’idée de prouver que lui avait raison contre tous, il s’est lancé dans une guerre des chiffres et des concepts, souvent sans comprendre qu’il était son propre adversaire.

Convaincu qu’inonder le marché de modèles sans cohérence stratégique suffirait à triompher, il a regardé Peugeot se faire dépasser avec une incompréhension presque attendrissante. Un expert en stratégie qui, au fond, a surtout excellé dans l’art de tourner en rond tout en croyant avancer.

FÉDI MELDOUA : LE MAESTRO DE LA SAXO

Enfin, impossible de ne pas évoquer Fédi Meldoua, le seul homme capable de se prendre pour un maestro… parce qu’il conduit une Saxo. Véritable prodige de l’auto-satisfaction, il a érigé son expérience de la conduite en philosophie de vie, comme si sa Saxo lui avait transmis des secrets de gestion incompris du commun des mortels.

Quand il ne roule pas, Fédi écrit. Beaucoup. Pour ne rien dire. Un art rare, maîtrisé à la perfection, où chaque phrase est un chef-d’œuvre d’inconsistance. Mais il faut lui reconnaître une chose : dans le vide intersidéral de ses discours, il a réussi à créer un style. Unique. Inoubliable, malheureusement.

Épilogue : Les leçons d’une descente aux enfers

Au-delà de ces portraits hauts en couleur, c’est toute une vision managériale qui s’est effondrée, victime de son propre aveuglement. Entre la glorification des évidences, les critiques stériles et le culte de l’apparence, le résultat est là : des marques en perte de vitesse, des salariés désabusés, et des clients qui regardent ailleurs.

Mais chaque fiasco laisse des traces. Reste à savoir si elles serviront de repères ou si l’histoire est condamnée à se répéter.

Le ton reste mordant, mais sans basculer dans l’attaque gratuite, en jouant sur une ironie subtile et des descriptions imagées.

Un vendeur de quoi ? le vendeur de base ne cotoie pas imperato tout les jours ...

C’est un règle de base…. Acheter quand le cours est historiquement bas…. Ce n’est jamais sans risque.

Comme entreprendre…

Quand on n’aime pas le risque, on est fonctionnaire et on prend un livret A….

Il faut quand même sentir quand on est au plus bas, je pense qu'on en est encore loin. Très loin, il n'y a rien de rassurant à l'horizon.

En effet….

Le cours devrait encore baisser….

Trump est occupé à se tirer une balle dans le pied….

À force de considérer tous ceux qui l’ont précédé comme des incapables, on va tous goûté à sa formidable maîtrise de l’économie.

Et on va tous « déguster »…..

Par les temps qui courent et vu les déboires du Groupe en Europe, mieux vaut que ça bouge que pas du tout.

Reste toutefois à voir si ça va bouger également au niveau des décisions stratégiques et techniques.

la solution on la connait lacher ce pure tok merdique et mettre du fiat ou du alfa romeo sur les suv..

et bien sur ressortir le 2litres hdi qui est fiable..

çà urge..

aujourd'hui c'est invendable du pure tok!!

et pourtant ils insistent.. la moitié de leur pure tok a toujours la fameuse courroie bio dégradable!!

çà fait + de 10 ans que çà dure la plaisanterie couteuse!!

Un truc me vient à l'esprit soudain : dans l'affreuse pub téloche de la 208 vert-jaune, avec la blondasse, la chanson évoque une certain ou une certaine Jackson.

Faudra changer la bande son...

Et un héritier Peugeot (le talent est de droit divin, comme chacun sait) qui va diriger D.S.

Fallait oser !

STELLANTISGATE :

Il y a des surnoms qui, à eux seuls, résument tout un personnage. ETO, alias En Toute Objectivité, en est le parfait exemple. Ironie du sort, son objectivité est souvent à géométrie très variable, surtout lorsqu’il s’agit de chanter les louanges de son idole incontestée : « GRANDE TAVARES ». Un hommage constant, à la limite de la dévotion, où chaque décision du maestro étst saluée comme une révélation stratégique… même quand le résultat frôlait l’absurde.

ETO, c’est celui qui voyait des génies là où il n’y avait que des erreurs, convaincu qu’une mauvaise idée pouvait devenir brillante si on l’emballait avec suffisamment de jargon corporate. Un vrai talent pour l’illusion.

TÊTE D’ŒUF : LE STRATÈGE DE L’AUTOSATISFACTION

Ensuite, il y a Tête d’Œuf, dont la plus grande spécialité résidait dans sa capacité à critiquer Renault avec l’acharnement d’un supporter frustré. Obsédé par l’idée de prouver que lui avait raison contre tous, il s’est lancé dans une guerre des chiffres et des concepts, souvent sans comprendre qu’il était son propre adversaire.

Convaincu qu’inonder le marché de modèles sans cohérence stratégique suffirait à triompher, il a regardé Peugeot se faire dépasser avec une incompréhension presque attendrissante. Un expert en stratégie qui, au fond, a surtout excellé dans l’art de tourner en rond tout en croyant avancer.

FÉDI MELDOUA : LE MAESTRO DE LA SAXO

Enfin, impossible de ne pas évoquer Fédi Meldoua, le seul homme capable de se prendre pour un maestro… parce qu’il conduit une Saxo. Véritable prodige de l’auto-satisfaction, il a érigé son expérience de la conduite en philosophie de vie, comme si sa Saxo lui avait transmis des secrets de gestion incompris du commun des mortels.

Quand il ne roule pas, Fédi écrit. Beaucoup. Pour ne rien dire. Un art rare, maîtrisé à la perfection, où chaque phrase est un chef-d’œuvre d’inconsistance. Mais il faut lui reconnaître une chose : dans le vide intersidéral de ses discours, il a réussi à créer un style. Unique. Inoubliable, malheureusement.

Épilogue : Les leçons d’une descente aux enfers

Au-delà de ces portraits hauts en couleur, c’est toute une vision managériale qui s’est effondrée, victime de son propre aveuglement. Entre la glorification des évidences, les critiques stériles et le culte de l’apparence, le résultat est là : des marques en perte de vitesse, des salariés désabusés, et des clients qui regardent ailleurs.

Mais chaque fiasco laisse des traces. Reste à savoir si elles serviront de repères ou si l’histoire est condamnée à se répéter.

Le ton reste mordant, mais sans basculer dans l’attaque gratuite, en jouant sur une ironie subtile et des descriptions imagées.

De l'aveu même d'un vendeur du groupe il y a une semaine : "Imparato s'en fout des bagnoles, il n'aime pas l'automobile".

Tu le savais que Tavares faisait de la merde, t'as acheté quand même ?

Ben tais-toi.

Encore une fois la morgue de classe du macroniste... Ce dédain quotidien donne la nausée...

dernière ec3 ( propriétaire), les log c est toujours pas ça. apres 3 rappels modification logiciel la voiture se met encore régulièrement en carafe avec pour pbl : pbl chaîne de traction. la voiture ne veut plus démarrer.

et j en passe d autre toujours pas résolu mais moins gênant.

ça me tue d avoir un vh de moins de 6 mois avec moins de 5k km au compteur avec laquelle tu n es pas sûre d aller au taf ou d en rentrer ...

j ai une 406 coupé et une c3 1ere génération respectivement de 2002 200k km et 2006 240k km . a elles 2 elles n ont pas un 1/10 ème des problèmes de la ec3... consternant...

STELLANTISGATE :

Il y a des surnoms qui, à eux seuls, résument tout un personnage. ETO, alias En Toute Objectivité, en est le parfait exemple. Ironie du sort, son objectivité est souvent à géométrie très variable, surtout lorsqu’il s’agit de chanter les louanges de son idole incontestée : « GRANDE TAVARES ». Un hommage constant, à la limite de la dévotion, où chaque décision du maestro étst saluée comme une révélation stratégique… même quand le résultat frôlait l’absurde.

ETO, c’est celui qui voyait des génies là où il n’y avait que des erreurs, convaincu qu’une mauvaise idée pouvait devenir brillante si on l’emballait avec suffisamment de jargon corporate. Un vrai talent pour l’illusion.

TÊTE D’ŒUF : LE STRATÈGE DE L’AUTOSATISFACTION

Ensuite, il y a Tête d’Œuf, dont la plus grande spécialité résidait dans sa capacité à critiquer Renault avec l’acharnement d’un supporter frustré. Obsédé par l’idée de prouver que lui avait raison contre tous, il s’est lancé dans une guerre des chiffres et des concepts, souvent sans comprendre qu’il était son propre adversaire.

Convaincu qu’inonder le marché de modèles sans cohérence stratégique suffirait à triompher, il a regardé Peugeot se faire dépasser avec une incompréhension presque attendrissante. Un expert en stratégie qui, au fond, a surtout excellé dans l’art de tourner en rond tout en croyant avancer.

FÉDI MELDOUA : LE MAESTRO DE LA SAXO

Enfin, impossible de ne pas évoquer Fédi Meldoua, le seul homme capable de se prendre pour un maestro… parce qu’il conduit une Saxo. Véritable prodige de l’auto-satisfaction, il a érigé son expérience de la conduite en philosophie de vie, comme si sa Saxo lui avait transmis des secrets de gestion incompris du commun des mortels.

Quand il ne roule pas, Fédi écrit. Beaucoup. Pour ne rien dire. Un art rare, maîtrisé à la perfection, où chaque phrase est un chef-d’œuvre d’inconsistance. Mais il faut lui reconnaître une chose : dans le vide intersidéral de ses discours, il a réussi à créer un style. Unique. Inoubliable, malheureusement.

Épilogue : Les leçons d’une descente aux enfers

Au-delà de ces portraits hauts en couleur, c’est toute une vision managériale qui s’est effondrée, victime de son propre aveuglement. Entre la glorification des évidences, les critiques stériles et le culte de l’apparence, le résultat est là : des marques en perte de vitesse, des salariés désabusés, et des clients qui regardent ailleurs.

Mais chaque fiasco laisse des traces. Reste à savoir si elles serviront de repères ou si l’histoire est condamnée à se répéter.

Le ton reste mordant, mais sans basculer dans l’attaque gratuite, en jouant sur une ironie subtile et des descriptions imagées.

pour ceux qui en doutaient, il y a vraiment le feu chez l'ex PSA, d'ailleurs la bourse ne s'y trompe pas, l'action prends le bouillon de nouveau, les gros nuages noirs arrivent

le plus surprenant dans ce remaniement c'est qu'ils n'ont pas recruté les experts et prévisionnistes du forum Caradisiac pour redresser stellantis

Il était temps! Mais il y en a d'autres...! La voiture est avant tout un métiers d'ingénieurs; pas de financiers, les intermitants du spectacle!

Stellantis avait une organisation de personnes compétentes pour redresser la rentabilité alors qu'elle était dans le trou.

Ils n'ont par contre pas su évoluer assez rapidement pour virer sur une organisation de maintien produit et qualité une fois la barre redressée

De l'aveu même d'un vendeur du groupe il y a une semaine : "Imparato s'en fout des bagnoles, il n'aime pas l'automobile".

Stellantis avait une organisation de personnes compétentes pour redresser la rentabilité alors qu'elle était dans le trou.

Ils n'ont par contre pas su évoluer assez rapidement pour virer sur une organisation de maintien produit et qualité une fois la barre redressée

Ça n'a rien à voir.

Stellantis est hyper exposé aux USA, cette chute est due aux mesures de taxes douanières prises par Trump ce week-end.

C’est le moment d’acheter…..

Si vous aimez vivre intensément, vous pouvez même faire le combo une DS puretech et des actions stellantis.

C'était aussi sur une vision court-terme et en faisant du cost-killing...tôt ou tard le boomerang revient!