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Dieselgate : après Renault, Ségolène Royal indique qu'il pourrait y avoir d'autres enquêtes

La ministre de l'Environnement a réagi à l'ouverture d'une information judiciaire visant le Losange. Elle déclare n'avoir aucune raison de penser que Renault a triché comme Volkswagen. Et annonce que d'autres constructeurs pourraient être visés par une enquête.

Dieselgate : après Renault, Ségolène Royal indique qu'il pourrait y avoir d'autres enquêtes

Cette semaine, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire sur Renault, au motif de "tromperie sur les qualités substantielles et les contrôles effectués, avec cette circonstance que les faits ont eu pour conséquence de rendre les marchandises dangereuses pour la santé de l'homme ou de l'animal".

Cette information judiciaire est une conséquence du rapport d'enquête transmis en novembre au parquet de Nanterre par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes. Après l'éclatement du scandale Volkswagen, la DGCCRF a contrôlé les émissions polluantes de voitures diesels vendues en France et d'importants écarts entre les normes et la réalité avaient été constatés chez Renault.

Le Losange a rapidement réagi après l'annonce de l'ouverture de l'enquête, qui sera menée par trois juges d'instruction, en indiquant que ses véhicules respectent la législation française et européenne et qu'ils ne sont pas équipés de logiciels de fraude aux dispositifs de dépollution.

Dans une interview donnée au Journal du Dimanche, Ségolène Royal déclare qu'elle n'a "aucune raison de penser que Renault a triché comme Volkswagen", soulignant que la marque a toujours fait preuve de bonne volonté face à sa commission. Mais la ministre précise que c'est maintenant une question de justice : "c’est à l’enquête de déterminer si Renault a utilisé un logiciel truqueur comme l’a fait Volkswagen. La justice dira s’ils ont juste utilisé les failles du système."

Lorsque nos confrères demandent à Ségolène Royal pourquoi d'autres marques ne se retrouvent pas aux mains de la justice française, elle rappelle que Renault dépassait de beaucoup les normes autorisées. Mais elle ajoute que "c’est aussi le cas d’autres constructeurs, dans une mesure différente. Il pourrait donc y avoir d’autres enquêtes".

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