4. Essai Moto Guzzi V7 III 2017 : en détails

- La V7 III se décline en 4 versions : de gauche à droite Racer, 50ème Anniversaire, Special et Stone

- Toujours aussi belle de ligne, la V7 III gagne en niveau de finition et en équipement. Du tout bon. 

- Si elle n'est pas la plus grosse des néo rétros, la V7 III se prète à tous les physiques, des plus grands aux plus petits. 

- Agile et légère, la V7 III gagne sur tous les plans en dynamique. La stabilité est au rendez vous. 

- L'échappement a été revu pour cette version Euro4. Il offre une sonorité flatteuse et très agréable. 

- Entièrement revus, l'instrumentation est on ne peut plus flatteuse et complète. Un modèle du genre disposant d'un afficheur pilotable depuis les commodos.

- Les jantes à rayons ne sont malheureusement pas tubeless, mais leur look vaut le détour et il allège considérablement la ligne. 

- Le freinage ABS est confié à Brembo pour la partie mécanique. Puissance et efficacité au rendez vous, malgré un levier non réglable en écartement.

- Le moteur a subi de profondes modifications bénéfiques au comportement. Plus coupleux, plus disponible sans rien perdre de son charme vibratoire, il est un régal à exploiter.

- Le réservoir de 21 litres est à la fois compact et beau. Une leçon de style et un compagnon idéal pour ne pas voir la pompe trop souvent !

- Malgré les apparences, la selle manque de confort, surtout dans sa partie avant. 

- La transmission par cardan est l'un des atouts de cette V7 III. Discrète, elle est aussi amortie afin de réduire les risques de blocage et assistée par un anti