ESSAI VIDEO – Techniquement, le nouveau Mitsubishi ASX restylé n’est qu’un Renault Captur rebadgé. Mais il essaie de se différencier davantage que ce dernier à plusieurs niveaux, avec une botte secrète pour séduire la clientèle sur le segment des SUV citadins.
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Très discret sur les marchés français et européen depuis plusieurs années, Mitsubishi a décidé de revenir en force… mais sans forcément beaucoup investir. Mission impossible ? Pas si l’on prend en compte que le constructeur aux trois diamants fait désormais partie de l’Alliance. Pour débuter son offensive, il a donc décidé de s’appuyer sur son associé Renault. Première salve avec le retour de l’ASX, qui ne peut guère masquer qu’il se base sur le Renault Captur.
Mitsubishi met à profit son alliance avec Renault pour enrichir une gamme totalement déplumée. La nouvelle génération d’ASX, le SUV à tout faire, est en réalité un Captur rebadgé. Il amène avec lui une chaîne d’approvisionnement, un réseau et deux moteurs hybrides.
Sorti en 2010, le Mitsubishi ASX connaît une carrière bien discrète en France, malgré un premier coup de bistouri en 2012 pour le rajeunir. Il repasse cette année sur le billard une seconde fois mais est-ce suffisant pour se démarquer dans une catégorie extrêmement fournie ? Afin de le déterminer, nous sommes allés à Nice prendre le volant d'une version 1,6 l DI-D 115 ch.
Le Mitsubishi ASX a réussi une belle percée au sein des SUV compacts depuis trois ans. Il lui manquait toutefois une boîte auto pour mieux répondre aux attentes des clients et inquiéter un peu plus le Nissan Qashqai et consorts. C’est maintenant chose –bien- faite, en même temps qu’une remise à niveau commune à toutes les versions de l’ASX.
Connu pour ses 4x4 tels que l’Outlander, le Pajero ou L200, Mitsubishi fait une percée aujourd’hui sur le segment des SUV compacts avec l’ASX. Un modèle qui devrait permettre à la marque aux trois diamants de se relancer.
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