Après la berline, c’est au tour maintenant de la version Sports Tourer à savoir le break d’être renouvelé. Un modèle dont la mission principale est d’être pratique et accueillant comme tout break familial. Avec une longueur de près de 5 mètres, l’Insignia Sports Tourer promet beaucoup. Va-ton être déçu ? Réponse avec l’essai du diesel le plus puissant : le 2.0 CDTI 170 ch.
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La firme au Blitz revient sur le marché des berlines avec l’Insignia. L’allemande qui adopte l’appellation « Grand Sport » progresse sur tous les fronts sauf celui du sport… A défaut de correspondre à son étiquette, l’Insignia Grand Sport dispose d’un gros potentiel. Est-elle capable de venir chatouiller les modèles premiums ? Premier essai avec le 2.0 CDTi 170 ch.
Lancée en 2008, l’Opel Insignia passera la main au printemps 2017. L’arrivée de cette seconde génération coïncidera avec un changement de nom, reflet d’un modèle entièrement nouveau ayant comme objectif de concurrencer les modèles du segment supérieur.
Les Allroad d’Audi et l’Outback de Subaru font encore des émules. Les derniers en date sont le Citroën C5 CrossTourer et le break Insignia restylé à quatre roues motrices déguisé en baroudeur. Ce Country Tourer dispose-t-il de solides arguments pour se faire une place parmi la petite dizaine de breaks tout-chemin familiaux maintenant sur le marché ? Réponse après un essai de 1500 kilomètres au volant de la version 2.0 BiTurbo CDTI 195 ch 4x4 bva6.
Avec un 2 litres qui frole 200 chevaux et au couple omniprésent, un train avant de course disponible sur les versions 4x4, un régulateur de vitesse adaptatif de seconde génération, l'Opel Insignia qui arrive en milieu de carrière vise maintenant les amateurs de grandes familiales Diesel dynamiques.Double essai de ce BiTurbo en carrosserie break, en version Adaptive 4x4 à châssis SuperSport (avec train avant de l’Insignia OPC), et en simple traction.
Sortie en octobre 2008, c'est avec l'entrain d'une jeunette que l'Opel Insignia va souffler sa troisième bougie et entamer sa 4e année de carrière. Ecoulée à plus de 400 000 exemplaires depuis son lancement, elle fait partie des best-sellers de sa catégorie en Europe. Et son constructeur profite cette année du Salon de Francfort, grand-messe de l'automobile à domicile, pour présenter au public la recette améliorée de sa familiale. Parmi les ingrédients, une pincée d'équipement supplémentaire, un nouveau colorant, mais surtout une nouvelle motorisation moins gourmande en calories. De modifications esthétiques, point. Opel nous refait le coup comme pour sa Corsa, qui avait d'abord bénéficié d'améliorations techniques, avant de se voir ensuite restylée. L'insignia suivra-t-elle le même chemin ?
La marque à l'éclair entreprend actuellement de gros efforts pour renouveler sa gamme. Dans la foulée de la nouvelle Astra, Opel présentait récemment son Meriva seconde mouture. Mais le constructeur allemand n'arrête pas pour autant de soigner son Insignia, cette berline qui marquait clairement sa volonté de se rapprocher des standards premium lorsqu'elle débarquait sur le marché à la fin de l'année 2008. Après la construction de sa gamme générale puis l'arrivée de la terrible variante OPC, l'Insignia propose désormais la possibilité d'associer une motorisation diesel avec la transmission intégrale. Nous sommes allés essayer cette nouvelle formule sur les routes italiennes bordant le Lac Majeur.
Un V6 2.8 Turbo de 325 chevaux, 435 Nm de couple, une vitesse maxi bridée à 250 km/h. L'Insignia OPC est tout simplement l'Opel la plus puissante et la plus rapide jamais produite par la marque. Ajoutez à cela un plumage résolument sportif, et vous obtenez une berline diablement attirante. Mais tient-elle ses promesses sur la route ? C'est ce que nous avons vérifié en Allemagne, toutefois contrariés par une pluie battante.
Des familiales Diesel à la fois très économiques et dynamiques, il en existe déjà une poignée chez deux ou trois constructeurs haut de gamme, mais la première du genre à moins de 30 000 € est bien l’Insignia 2.0 CDTI 160 ch ecoFLEX. Le bref essai de cette fausse anorexique nous a bluffé.
Le catalogue Opel propose de véritables breaks depuis plus de 50 ans. L’Insignia qui apparaîtra au printemps dans sa déclinaison break, avec en prime deux nouvelles motorisations, a-t-elle assez de coffre pour succéder à l’ancienne Vectra break ?
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