3. Les clubs.
Sans eux, rien n'aurait été possible. Ils sont les véritables fondations de tout ce qui gravite autour de la moto ancienne. En préservant et en faisant revivre ce patrimoine motorisé, ils ont créer de nouveaux besoins (professionnels de la restauration, refabrication de pièces, presse spécialisée, produits dérivés, organisation de manifestations...). Tout cela représente un secteur économique non négligeable synonyme de nombreux emplois.
Se promener dans le village club, c'est aussi quelque chose... On sait à quelle heure on passe la grille, mais impossible de savoir quand on va en ressortir. Les "animateurs" de ces clubs sont intarissables et connaissent leur sujet sur le bout des doigts. Et à chaque édition, ce sont de nouveaux joyaux qu'ils exposent pour notre plus grand plaisir.
Cette année, pour les remercier, les organisateurs avaient décidé d'organiser une parade sur le circuit. Deux machines par club pouvaient ainsi faire un tour de piste sur le tracé bourguignon.
Là aussi, les choses évoluent. Les phénomènes "motos classiques" et "youngtimers" sont de plus en plus présents. C'est une très bonne chose car cela permet d'apporter du sang neuf dans notre univers, en espérant que cette génération s'intéressera, à un moment ou à un autre, à des machines plus anciennes.
Par contre, on commence à voir certains comportements qui n'avaient jusqu'à maintenant pas franchi les grilles de cette manifestation. En effet, quelques individus n'ont rien trouvé de mieux que de s'engueuler à une heure plus qu'avancée de la nuit, pendant que d'autres jouaient du rupteur, quand un dernier ne trouvait rien de mieux que de klaxonner toutes les cinq minutes. Faire la fête, on est là pour ça et on n'est pas les derniers pour profiter au maximum de ce week end. Mais il y a un minimum de respect, notion qui semble échapper à une minorité, qui à elle seule, nous à bien cassé les c....lles. Bref! Pasons à des choses plus intéressantes et partons déambuler dans les allées.
Le "Veteran Moto Club Belge" proposait un stand très fournis.
Dommage qu'elle soit restée sur une remorque, cette moto de stayer...
Dominique, fidèle aux anglaises, avait amené cette rarissime Indian Velocette de 1971.
Première participation, me semble t'il pour le club Gauthier? En tout cas, ils ne sont pas venus les mains vides.
Sur le stand du GAVAP, ambiance régionale avec une Terrot 500 RSS.
Le "Motobécane Club de France" avait sorti ce prototype du musée de Saint Quentin (02).
On termine avec cet ensemble vu dans le village club...
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