
Le Président des États-Unis, on le sait, n’engendre pas la mélancolie. Attaché à une conception économique et sociale qui prend le contre-pied d’une mondialisation à présent généralisée, il a, dans un premier temps, vertement tancé son compatriote Harley-Davidson en remettant en cause son patriotisme. Notamment en ouvrant sa production à l’Inde. Mais c’est maintenant ce pays qui est pointé du doigt par Donald Trump au nom d’Harley-Davidson.