Moto GP – Superbike : le retour de l'Inde

Pour coller aux réalités du marché, et ainsi aux stratégies des constructeurs, les championnats internationaux doivent être plus présents dans les pays émergents. La vieille Europe est estimable mais n'est plus une priorité pour les marques de moto qui réclament une ouverture du MotoGP et du Superbike vers d'autres horizons. Les calendriers sont à présent entre les seules mains de la Dorna. Qui travaille sur le sujet.
Un sujet qui n'est pas si simple, car les conjonctures politiques et les infrastructures sont parfois difficiles à cerner. Il y a certes la Malaisie, avec le site de Sepang, mais il faut bien plus. Dernièrement, le Superbike a adoubé une Thaïlande qui a parfaitement réussi son entrée et sera certainement sous peu dans le giron des Grands Prix. Reste que c'est surtout vers l'Indonésie que les constructeurs lorgnent, mais l'environnement politique n'est pas simple si bien que la rénovation du tracé de Sentul est encore à venir.
Côté souci, il y a aussi l'Inde qui a bel et bien un circuit, celui de Buddh, qui convient déjà aux Formule 1. Le Superbike aurait dû s'y rendre, suite à une accord passé en 2012 avec les anciens promoteurs de la catégorie, mais d'abord des aménagement du tracé étaient nécessaires, tandis qu'une réglementation douanière taxant fortement tout ce qui rentre sur le territoire a dissuadé les écuries de venir.
Cependant, les choses ont apparemment évolué puisque l'on nous assure à présent qu'en 2017, le Superbike aura sa manche indienne. Et si elle est couronnée de succès, nul doute que les Grands Prix suivront.
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