2. Plein les yeux...
Honneur au seul side-car présent lors de cette édition, ce superbe attelage Harley-Davidson type L 18 T de 1918 a fait tourner bien des têtes. Cet exemplaire est arrivé sur notre territoire avec sa cousine Indian lors du premier conflit mondial.
Avec son « panier » d'origine, l'ensemble est des plus harmonieux tout en proposant un confort très acceptable.
Et ce n'est pas Françoise qui me contredira puisqu'elle n'a pas hésité à abandonner le tan-sad de la René-Gillet de son mari pour prendre place dans la « caisse » de la belle américaine.
La voici cette fameuse René-Gillet.
Son propriétaire a préféré le bicylindre à graissage par huile perdue à son cyclo-tracteur qui avait décidé de faire la grâce matinée.
Véritable ancêtre du solex, ce petit moteur vient tout simplement se fixer à l'avant d'une bicyclette.
Bon ! Pour la plaque d'immatriculation, espérons que nous ne seront pas obligé de monter ce genre de « placard » et qu'une version plus en harmonie avec nos pétochons sera autorisée.
Autre machine exceptionnelle de ce rassemblement, cette moto de marque Cécile.
Ici, il s'agit plus d'une reconstruction que d'une restauration. Son propriétaire, dont vous pouvez lire l'interview ici, est parti de quelques morceaux pour arriver à ce résultat.
Sans aucune documentation, la prouesse mérite le respect tant cet assemblage est harmonieux.
Bien entendu, il y avait de nombreuses motos françaises, comme cette Peugeot « Paris-Nice » millésime 1914, version relativement rare puisqu'équipée d'un embrayage.
L'ami Jacky avait laissé « ça magne à deux bonds » pour parader sur une très belle Clément.
Terminons par la plus récente de ce rassemblement, une Terrot 350 HTC de 1928 avec tous ses accessoires plus la remorque mono-roue qui va bien pour les voyages au long court.
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