
Autolib, c’est donc une aventure qui se termine dans un mur à 300 millions d’euros, qui est le montant du déficit de ce service d’autopartage. 4 000 voitures électriques vont devoir disparaître, ce qui induit une facture écologique sur laquelle les responsables si prompts à fustiger l’automobile pour sa propension à polluer méditeront peut-être. Mais que vont devenir ces engins du groupe Bolloré ? Plus de 1 000 ont rejoint leur dernière demeure avant de partir à la casse…