Le groupe automobile français PSA continue sa procédure qui fera à terme de l’allemand Opel une marque de sa famille. Déjà composée de Peugeot, de Citroën et de DS, elle s’embellira d’Opel et de Vauxhall. Ainsi, l’assemblée générale a approuvé à une écrasante majorité l’agrandissement du groupe. Malgré une mauvaise nouvelle.
Le TaaS, vous connaissez ? Peut-être pas, mais sachez que les grands décideurs de l’automobile, eux, savent très bien de qui il s’agit. Car c’est le genre de phénomène qui peut les envoyer à la casse. Voici le Transport as a Service ou encore le Transport en tant que Service, en clause Molière. Un vrai danger pour le modèle établi et un réel enjeu. Ce n’est pas cette dernière étude qui va dire le contraire.
Qu’on se le dise, les voitures autonomes vont prendre de plus en plus d’indépendance dans notre circulation quotidienne. L’avenir est déjà en marche et comme ce sera le progrès d’abord, les alliances, c’est maintenant. La conduite insoumise ne sera plus qu’un souvenir à terme. C’est le programme et l’élection est assurée. Le groupe français PSA a donné un nouveau signal en s’alliant avec l’américain nuTonomy. Mais pour autant, l’enseigne tricolore ne renonce pas à ses propres études en cours. Explication.
Tesla a décidé de semer le Semi dans une gamme qui veut entrer dans la catégorie poids-lourds puisqu’elle va bientôt compter un camion. Le patron Elon Musk l’a promis, sa marque ne restera pas à la remorque des grands constructeurs et dès la rentrée de septembre, il va revisiter les canons du transport des denrées et marchandises. La preuve avec cette image.
Les résultats financiers présentés par les constructeurs automobiles sont encourageants, la bourse en général donne des signes peu alarmants et s’offre même parfois quelques embellies. Si, de ce côté-ci de l’Atlantique, l’emploi est en berne, chez l’Oncle Sam, on s’estime proche du plein-emploi et les jobs sont légion. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il n’y avait pas le taux de défaut sur les prêts automobiles.
Google met à disposition des habitants de Phoenix, en Arizona, une flotte de 500 voitures autonomes pour leurs trajets du quotidien. Une expérimentation grandeur réelle censée permettre au géant de la high-tech de reprendre une longueur d’avance sur ses concurrents.
Tesla accélère peut-être en bourse mais sur le terrain, les modèles de la marque connaissent des problèmes de freins. Pas d’affolement cependant, si rappels il y a, c’est au nom du principe de précaution. Aucun accident n’a été déploréer, mais la marque d’Elon Musk va tout de même devoir convoquer dans ses ateliers pas moins de 63 % de sa production 2016.
Il paraît que ce genre de jeu existe depuis une trentaine d'années aux Etats-Unis, mais c'est bien la première fois que l'on peut le suivre en direct sur la Toile. N'allez cependant pas chercher à suivre cet évènement d'un ennui sans nom. Le but : gagner une auto en collant une certaine partie de son corps sur l'auto. Le dernier à lâcher prise gagne la voiture.
Apple a donc obtenu la licence pour tester un véhicule autonome sur les routes de Californie. Un quitus qui remet en route le projet automobile de la firme à la pomme en l’associant à des marques automobiles. Le tout dans une démarche qui fait florès. Pour autant, l’Apple Car à l’horizon 2020 est-elle redevenue d’actualité ? Peut-être pas. Car après l’euphorie de l’annonce des essais maintenant possibles est arrivée la déception de la nouvelle au sujet des véhicules qui seront utilisés pour ces expériences.
On pensait que le projet Titan du géant Apple destiné à développer l’idée d’une voiture autonome était un colosse au pied d’argile. Mais depuis quelques semaines, on se dit que, finalement, cette démarche, c’est du béton. Voilà que la firme à la pomme croque à nouveau le sujet en obtenant l'autorisation de tester des voitures autonomes en Californie.