Les déclarations d’intention et l’exposé des stratégies ne rassurent qu’un temps. À une époque où ce sont les fiévreux, versatiles mais aussi très intéressés marchés financiers qui dictent leur loi, il faut aussi des actes, même aléatoires, pour rassurer. L’industrie automobile doit se plier à cette philosophie qui, par exemple, considère plus une marque à la production et à la distribution marginales comme Tesla, qu’un géant bien établi comme Ford. Une conjoncture que le président de l’ovale bleu regrette, puisque c’est à l’aune de celle-ci qu’il a perdu son poste.