Avec son amende payée de 23 milliards de dollars et sa reconnaissance de culpabilité, on aurait pu penser que Volkswagen en avait enfin fini avec son « dieselgate » aux États-Unis. Le règlement des différentes plaintes liées à l’utilisation sur certaines de ses voitures de logiciels destinés à déjouer les tests d’émissions polluantes était lancé. Et ses voitures viciées mais remises aux normes en attente sur un parking depuis 2015 allaient pouvoir être enfin écoulées. Fin de l’histoire ? Non.
Voici un concept venu des États-Unis et destinés à la gent féminine écartelée entre le désir de mettre ses mains dans le cambouis et l’exigence d’une manucure irréprochable. Un cas de schizophrénie aiguë ? Que nenni. Les cas existent et que les plus sceptiques s’apprêtent à mettre les pouces : voici l’enseigne Girls Auto Clinic qui propose les deux services, payés rubis sur l’ongle.
C’est une nouvelle dont se serait bien passé le constructeur Ford. La marque de Dearborn va devoir mettre la main à la poche et ouvrir ses concessions pour deux campagnes de rappels de ses véhicules. Deux incidents différents à rectifier, dont un, tout de même, agace l’ovale bleu depuis déjà 2014.
C’est un quitus pour un retour à la normalité, un rabibochage après une fâcherie légitime des autorités américaines à l’égard du groupe Volkswagen. En cause, cette manipulation sur les moteurs diesels au moyen d’un boîtier électronique faussant les résultats des normes antipollution. Les modèles concernés n’avaient plus droit de cité. Les voici revenus en odeur de sainteté.
Après l'avalanche de nouveautés dévoilées à Genève, retour à une semaine d'actualité plus conventionnelle ! Les derniers jours ont notamment été marqués par les révélations sur des soupçons de fraude chez Renault.
C’est la nouvelle forme des dérives des continents. Et la nature n’y est pour rien, même si, dans ce cas, elle est l’objet du débat. Cette fois il s’agit de politique et d’économie. Entre l’Amérique et l’Europe, les distances se prennent et s’accentuent depuis l’arrivée au pouvoir du nouveau président des États-Unis, élu, Donald Trump. Les visions divergent sur de nombreux sujets à commencer par l’ambition environnementale. En ligne de mire, les normes de consommation imposées à l’industrie automobile pour les années à venir.
Volkswagen en est à son épilogue américain dans son épais dossier d’un « dieselgate » qui l’occupe par ailleurs dans le monde. Plaidant coupable et payant sans sourciller une amende colossale de l’ordre du milliard de dollars, la marque allemande peut espérer partir d’un nouveau pied. Enfin presque. Car c’est au tour d’Audi d’être dans la tourmente. Le parquet de Munich a fait procéder à des perquisitions sur les deux principaux sites d'Audi en Allemagne et même chez le patron.
Volkswagen espère que cette fois, c’est l’épilogue de son volet américain d’un « dieselgate » qui l’occupe encore dans le reste du monde. En plaidant coupable de ses errements qui l’ont amené à poser un logiciel truqueur rendant ses voitures vertueuses au regard des normes antipollution, le premier constructeur mondial s’accorde avec le département de la justice (DoJ) des États-Unis. C’était dans les tuyaux depuis janvier dernier et c’est maintenant officiel. Voici la note.
La vie et l’œuvre d’Enzo Ferrari sont un sujet qui intéresse de près et depuis un moment le monde cinématographique. Le plus motivé par le projet d’un film est le réalisateur Michael Mann qui est un poids lourd dans le milieu. Mais monter l’opus est apparemment plus difficile que de construire un modèle frappé du cheval cabré. Après la défection d’un Christian Bale pour le rôle principal, c’est Hugh Jackman qui se présente comme le possible Enzo. Après avoir joué Logan, le voici Ferrari. Assurément une montée en gamme.
C’est une nouvelle pierre dans le jardin de l’enseigne Uber qui commence à ressembler à une carrière. À force de jouer à la marge, le spécialiste du véhicule de transport avec chauffeur venu de Californie se prend les pieds dans le tapis. Même son grand patron Travis Kalanick est dans le collimateur après des révélations sur la culture sexiste, violente et débauchée qui règnerait au sein de l'entreprise. Comme si cela ne suffisait pas, voici à présent ce logiciel secret destiné notamment à éviter que ses chauffeurs ne soient contrôlés par les autorités.