
Luca de Meo invite ses concurrents, et les États européens, à rallier son panache blanc et à s'unir contre les constructeurs chinois et leurs velléités de fondre sur le vieux continent. Un fantasme ou une action possible ?
Luca de Meo invite ses concurrents, et les États européens, à rallier son panache blanc et à s'unir contre les constructeurs chinois et leurs velléités de fondre sur le vieux continent. Un fantasme ou une action possible ?
Les prochaines échéances électorales, européennes et américaines, sont scrutées de près par l'industrie automobile. Son avenir est peut-être lié aux choix des électeurs lors des consultations de juin dans l'Union, et de novembre aux États-Unis. Explications.
C'est du moins la conclusion du rapport de la Cour des comptes européenne qui vient d'être publié. Le document s'en prend aux instances publiques, accusées d'avoir trop longtemps pratiqué des tests d'homologation hors sol, mais aussi aux constructeurs ravis de participer à ce jeu truqué. Sauf que les choses en la matière évoluent depuis quatre ans. Mais la Cour omet un tout petit détail qui freine le renouvellement, et le verdissement du parc : le prix des voitures dans l'Union et leur hausse ces dernières années.
L’actualité culturelle autour de l’automobile nous offre l’occasion de belles rencontres autour de la créativité.
Luca de Meo, président de l'Association européenne des constructeurs automobiles, assure qu'il n'y aura pas de retour possible sur l'électrique.
Luca de Meo, le patron du groupe Renault, demande plus de synergies et d’efficacité dans la collaboration entre les équipes françaises et anglaises de l’écurie Alpine F1. Et il veut des résultats.
Renault affiche des résultats pour le moins encourageants au premier semestre, dans un contexte qui reste inquiétant pour toute l'industrie automobile.
Le patron de Renault veut s’inspirer des kei-cars japonaises pour arriver à proposer une voiture électrique la moins chère possible.
Après Renault il y a quelques jours, c'est au tour du groupe Stellantis d'annoncer de bons résultats au premier trimestre.
Renault commence à délivrer quelques éléments sur la genèse de la R5, sa citadine électrique dont le lancement interviendra en 2024. Au programme: compacité, train arrière multibras, direction précise et module de batteries allégé. La marque nous promet ainsi une voiture plaisante à conduire et à des prix inférieurs à ceux de la concurrence.
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