Une fois n’est pas coutume, livrons-nous à un exercice d’autosatisfaction pour constater que les automobilistes français passent (doucement) au vert. Les choses se font progressivement, et on se gardera bien de verser dans un greenwashing idiot, mais les tendances sont là et doivent être encouragées.
À partir du 1er juillet, le contrôle de la pollution des véhicules avec un moteur diesel sera doublement plus sévère.
La mairie d'Amsterdam a annoncé que le projet de bannissement des moteurs thermiques dans la capitale hollandaise était lancé. Dès 2022, les bus devront s'y convertir, et en 2030, ce seront tous les véhicules thermiques et autres modes de transports à essence ou diesel qui seront bannis d'Amsterdam, y compris les bateaux.
C’est une question de jours avant que le ministère des transports ne rende public le très attendu bilan 2018 du contrôle technique, mais Caradisiac est déjà en mesure de vous en dévoiler les grandes tendances. Si la hausse du taux de contre-visite est loin de la catastrophe redoutée, d’autres phénomènes inquiètent les professionnels.
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La très sérieuse revue médicale The Lancet vient de publier une étude dans laquelle nous apprenons que 4 millions de nouveaux cas d'asthme chez l'enfant sont relevés chaque année. Et ceci principalement à cause du dioxyde d'azote, qui rentre dans la catégorie des NOx.
Début mars, l'association T&E (Transport et environnement) a testé 3 voitures selon le nouveau cycle d'homologation WLTP. Et leurs résultats sont différents de ceux des tests officiels, de 12 % en moyenne. Les constructeurs continueraient-ils à tricher ?
Un tiers de voitures en moins en quinze ans, des moteurs toujours plus propres et pourtant, Paris se plaint toujours de mal respirer. De deux choses l'une, soit le parisien est hypocondriaque, soit la mairie de Paris s'est trompée de cible.
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La circulation différenciée est mise en place à Lyon et Villeurbanne. La mesure s'arrête en revanche à Lille et à Paris.
Alors que la région parisienne et Lille sont actuellement en circulation restreinte en raison d’un pic de pollution aux particules fines, l’ONG ICCT (International Council on Clean Transportation) vient de révéler à travers une étude que 47 % des morts liés en 2015 aux émissions polluantes du secteur des transports étaient dus aux véhicules diesel.
C’est un mouvement qui fait florès, une décision qui promet un changement majeur dans notre quotidien. Ce serait pour le bien, même si interdire et brocarder n’ont jamais été des signes d’une société avancée. Mais c’est pourtant sous cette bannière que ses aficionados avancent. Il s’agit de l’interdiction sur les routes et dans nos rues des engins dotés d’un moteur thermique. Des cités ont juré s’en passer dans moins de 20 ans. Les Îles Baléares viennent s’ajouter à cette liste. Elles interdiront les motos et les voitures à combustion en 2035.
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