La troisième réunion entre la direction de Renault et les partenaires sociaux entrant dans le cadre des négociations sur la compétitivité s'est déroulée hier. Au menu des discussions, le désir toujours plus grand de Renault d'augmenter la flexibilité et la mobilité inter-sites de ses employés.
Malgré les difficultés et les différents problèmes qui ont affecté Fisker et sa Karma en particulier, la marque continue ses investissements, avec en ligne de mire le lancement de son deuxième modèle, plus économique, l'Atlantic. De fait, un nouveau centre technique va voir le jour dans le Michigan, afin de se rapprocher des équipementiers.
En ces temps de crise, il n'est pas rare d'observer nombre de rapprochements entre constructeurs et ce, dans différents domaines. On ne se formalisera donc pas d'apprendre que Mazda va bientôt fabriquer des Toyota au Mexique. Tout est normal.
La première réunion avec les partenaires sociaux organisée à l'initiative de Renault sur le sujet controversé de la compétitivité s'est tenue hier et les premiers retours donne le sentiment que la négociation tend plus vers l'ultimatum. Renault donne jusque fin janvier aux syndicats pour conclure un accord.
Évoquer l'origine coréenne des produits Chevrolet européens ne laisse jamais de marbre les représentants de la marque. On peut donc imaginer qu'ils seront heureux de lire que la prochaine génération de Cruze pourrait bien être produite, non plus en Corée du sud comme aujourd'hui, mais en Europe.
Après les informations parues ce matin et relayées un peu partout indiquant que la production de la Renault Clio de 4eme génération serait produite à 70% en Turquie et 30% en France, la firme au losange publie un communiqué qui ne dément pas l'information mais la précise.
Nous savions qu'une partie de la production de la nouvelle Renault Clio serait effectuée en France mais jusqu'à aujourd'hui, nous ne savions pas dans quelle proportion. Au final, ce sera 30%. Seulement.
Chez PSA, la baisse des ventes qui se dessine depuis plusieurs mois sur tous les marchés inquiète et semble pousser les dirigeants à prendre des solutions drastiques pour réduire les coûts. Des usines sont menacées mais pour l'instant, la seule mesure concrète est une diminution du rythme de production de son site de Sochaux qui va entraîner le non-renouvellement du contrat de 300 intérimaires.
Depuis quelque temps maintenant, on entend souvent parler de surcapacité des constructeurs automobiles, et les conséquences de ce trop-plein ne sont pas mineures pour l'emploi dans le secteur.
L’expansion de la demande en véhicules électriques et les besoins colossaux de la Chine en matière d’énergie entraine évidemment la nécessité de produire plus de batteries.
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