C’est le genre d’initiative qui vous redore un blason. Et, en ce moment, Uber en a bien besoin. On sait que l’entreprise controversée de transport de la personne est présente dans 500 villes autour du globe et qu’elle pourrait bientôt être contrainte d’obtenir les mêmes licences que les taxis en Europe. Alors on cherche des solutions au cas où, et l’écologie en est une. Vous avez aimé la ville du Canada qui préfère privilégier Uber plutôt que d’investir dans un réseau de transports en commun ? Alors vous allez adorer le loyer VTC compris imaginé à Manchester.
Uber est un nom connu mondialement et une plaie pour toutes celles et ceux qui ont choisi le métier de taxi. Un virus pour certains qui tue la profession de transport à la personne, une aubaine pour les utilisateurs qui voient l’opportunité de se déplacer avec un chauffeur à moindres frais. Mais pour tous les gouvernements, c’est une météorite qui est tombée et qui a bouleversé tout un corpus juridique incapable de cerner cette entité qui jouirait presque de l’impunité. Et si le remède venait de l’Europe ?
Rappelez-vous : un tribunal de Rome avait émis il y a quelques jours une ordonnance interdisant à compter du 17 avril les services d'Uber pour "concurrence déloyale". De quoi réjouir les chauffeurs de taxi traditionnels qui voyaient là l’épilogue heureux pour leurs intérêts d’une procédure lancée en 2015. Qui plus est, Le jugement était assorti d'une astreinte de 10 000 euros par jour de retard à compter du 10e jour suivant sa publication. Une victoire sans appel ? Que nenni. Il y a eu appel. Et Uber a gagné le match retour.
Régler le problème d’Uber dans le métier du transport de la personne, ça ne semble finalement pas si compliqué. Le Danemark a récemment mis en place un dispositif réglementaire suffisamment contraignant dans l’équipement des véhicules servant à la profession pour pousser Uber vers la sortie du pays. En Italie, on fait mieux : on raccompagne carrément Uber à la frontière. La justice transalpine a déclaré illégale la firme californienne.
Une société de VTC a mis en place une flotte de voitures inspirée du film, dont le prochain épisode sort dans quelques jours. Vous pourrez ainsi aller au cinéma en Corvette, Mustang ou Challenger !
L'entreprise a dressé la liste des effets personnels le plus souvent oubliés dans ses VTC. Elle a aussi fait un inventaire des objets abandonnés les plus étonnants.
Les nouveaux services connectés, comme les applications de covoiturage ou les VTC réservés depuis le smartphone, modifient le rapport à l'automobile dans les zones urbaines.
La société spécialisée dans les VTC va se retirer du marché danois mi-avril suite au vote d'une nouvelle règlementation en faveur des taxis.
C’est une nouvelle étonnante mais pleine de pragmatisme qui nous vient de l’icône automobile Porsche. Un nom qui a une réputation, une renommée qui va lui permettre de traverser les âges, à condition de prévenir plutôt que de guérir. Mais de quel mal ? Celui d’un monde qui change de valeurs et de paramètres. Porsche le dit ouvertement : il faut anticiper la baisse des ventes de voitures au cours des années à venir.
Comment faire son beurre chez Saint Uber ? La situation crème du secteur des véhicules de transport avec chauffeurs est allée de mal en pis en France où ses servants se sont considérés comme des vaches à lait. Ils ont découvert la globalité de la différence qui existe entre les taxis et eux. Le conflit social est en course et il peut s’avérer assez violent. Où en est-on ? Voici un dernier point de situation.