Malgré un empattement inférieur de 12 cm par rapport à la Meriva, elle offre un habitacle aussi vaste. Enfin, presque. La longueur disponible reste un peu plus mesurée, mais elle fait jeu égal en largeur aux coudes et en garde au toit, permettant à un conducteur de 1,93 m de s’installer au volant et à des occupants de 1,90 m de prendre place à l’arrière.
Ces derniers ne seront que deux en raison de la place centrale symbolique, à réserver à de jeunes enfants. Et un peu moins à l’aise que dans la Meriva ou les deux sièges latéraux peuvent se rapprocher de 15 cm.
L’Idea reprend le principe d’une banquette séparée 40/20/40 coulissante longitudinalement, mais elle n’offre pas cette possibilité appréciable pour les grands gabarits à la corpulence certaine.
Si l’Opel prend les devants à propos de modularité, on doit noter que c’est surtout le cas de la version Enjoy, la seule pourvue en série d’un tiroir sous siège passager, de la console arrière multifonctions Travel Assistant et du siège avant rabattable. Une des forces de l’Idea est de proposer de série dès la version de base ses 32 positions des sièges, y compris celle couchette.
Le volume de coffre est quant à lui comparable à l’allemande, inférieur d’une trentaine de litres en 5 places, et avec 10 litres de mieux en 2 places grâce à sa hauteur sous pavillon un peu plus élevée. Avec, on l’aura compris, un bon nombre de solutions intermédiaires dans les deux cas.
Compte tenu de sa longueur hors tout inférieure de 11 centimètres, l’Idea propose au final un rapport habitabilité/encombrement aussi exceptionnel que la Meriva. Soit un peu mieux que la Yaris Verso (5 centimètres moins longue).
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