Il n’y a pas de normes concernant les hydrocarbures imbrûlés (HC) en Diesel car ses émissions sont naturellement faibles, inférieures à 0,03 g/km. En essence, la tolérance est divisée par deux, passant de 0,200 à 0,100 g/km d’Euro III à Euro IV. Cela ressemble à un effort considérable, cependant la plupart des voitures commercialisées depuis l’application d’Euro III en 2001 y répondent déjà. Dès lors, comme ces HC contiennent des molécules aux effets non négligeables sur l’environnement ou la santé, on aurait pu souhaiter une prise en compte affinée des HC. On pense à des molécules comme le benzène (émissions 4 fois plus importantes en essence qu’en diesel), l’acétaldéhyde (plus du double en diesel qu’en essence) ou le formaldéhyde. Quelques-unes d’entre elles sont nocives pour la santé (cancérigènes, …) et certaines contribuent à la formation d’ozone de surface.
Il est vrai qu’un autre pan de la réduction de la pollution routière en Europe, Auto Oil, inclut la teneur en aromatiques, benzène, oléfines, oxygène, composés oxygénés et soufre dans les carburants (+ HAP pour le gazole).
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