Juste avant Noël, l’information est passée presque inaperçue, sauf dans le milieu de la voiture électrique où elle a fait l’effet d’un… électrochoc : la Chine veut nous priver d’un composant essentiel de la « watture ».
Le groupe Renault fait feu de tout bois en ce début d'année. Avec des autos du losange aux tarifs agressifs et un nouveau Dacia Duster qui, s'il augmente ses tarifs, semble convaincre grâce à son design. De son côté, Stellantis est plus à la peine, avec des ventes en baisse et une affaire américaine qui rappelle le dieselgate qui avait frappé le groupe Volkswagen en 2015.
La Métropole de Montpellier a décidé de donner un coup de pouce aux possesseurs de voitures électriques en développant la gratuité de la recharge. Cependant, il faut remplir certaines conditions.
La semaine passée était tournée vers l'avenir. Celui, tout proche, qui démarre le 1er janvier prochain, avec ses hausses de prix. Celui plus lointain de la future Lancia Ypsilon, et celui, redouté, d'une prédominance de l'automobile chinoise en occident.
En projet depuis l’arrivée à la Mairie de Bordeaux de l’écologiste Pierre Hurmic (EELV), la gigantesque ombrière solaire au-dessus de la rocade bordelaise pose toujours question. Une première expérimentation visant à étudier la faisabilité de l’installation d’un toit de panneaux photovoltaïques et de sa rentabilité pourrait toutefois débuter dès 2024.
Des voitures disparaissent du paysage automobile, comme l'Audi TT et d'autres apparaissent, comme la Byd Seal. Mais une chose reste immuable : l'acharnement de la maire de Paris à vouloir bouter les autos hors de la ville.
Carlos Tavares et John Elkann, les patrons du groupe ont inauguré hier une nouvelle unité de recyclage sur le site historique de Fiat Mirafiori en Italie. Mais pourquoi cet intérêt récent des constructeurs pour cette fameuse économie circulaire ? Par simple goût du développement durable ?
Face aux nouveaux enjeux de la mobilité, les maires et les responsables des intercommunalités sont en première ligne. Comment dissuader leurs administrés de prendre leur voiture individuelle ? L'idée est de leur proposer des solutions multimodales depuis des pôles créés aux abords des gares ferroviaires équipées de parkings relais.
C’est du moins les conclusions d’une étude anglaise qui ajoute que les émissions de carbone des Britanniques les plus pauvres, sont largement inférieures à celles des plus aisés.
D'après une nouvelle étude de l'ONG Transport & Environnement, le carburant synthétique ne réduirait que de 70% les émissions de CO2 par rapport à du carburant fossile classique. Ce qui reste déjà pas mal dans l'absolu mais implique nécessairement de revoir les conditions d'acceptation de cette technologie après 2035 dans l'Union européenne.
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