
A la vue de cette vidéo, c'est à croire que Jorge Lorenzo a mangé son pain blanc en tout début de saison, et que le destin, cette fois, s'acharne à lui passer un biscuit d'une teinte radicalement différente. Après les fractures chinoises, les tribulations sarthoises, le traumatisme catalan et la glissade allemande, voici le rêve américain brisé.