
Des mois de batailles entre usagers, associations d'automobilistes contre le gouvernement et sa volonté d'abaisser la vitesse des réseaux secondaire de 90 à 80 km/h. Ne voulant pas faire l'affront de l'imposer aux Français alors qu'une grande majorité est contre, nos têtes pensantes font passer l'idée par la petite porte en mettant en place dès 2015, des zones de « tests » sur des axes dits dangereux.