Après avoir été modifié à deux reprises par Marcus Walz et Ludovic Lazareth, il semblerait que le T-Max inspire les préparateurs. En effet, le stand Yamaha expose à Milan un troisième volet comprenant de nombreuses modifications : cette réalisation s'articule autour du cadre en aluminium dans lequel des grilles ont été ajoutées.
Outre le T-Max Black Max et la préparation réalisée par Marcel Sands, Yamaha lève le voile sur une série limitée Momo Design apposée sur les X-Max 125 et 250 cm3. Ces deux versions résultent du partenariat entre le constructeur japonais et l'accessoiriste implanté en Italie (réputé pour sa gamme de produits urbain).
BMW est arrivé un peu les mains vides au Salon de Milan, mais la marque à l'hélice a tenu à capter l'attention en investissant l'espace de la communication. A défaut d'inonder de nouveautés la surface dédiée à l'exposition.
Depuis sa première apparition en 2001, le Yamaha T-Max s'est affirmé comme un leader incontesté et incontestable sur le segment des maxiscooters. L'année dernière, la firme nippone présentait au Salon de Milan une nouvelle mouture montrant un design modernisé, un châssis repensé et une motorisation 530 cm3 plus vigoureuse.
Ils ont eu l'occasion de se connaître en 1995 autour d'une machine baptisée BB1 et qui était une sportive mue par le moncylindre de la F650. Un supermono en quelque sorte, développant alors un cinquantaine de chevaux pour 67 kilos. En 2012, ils vont se retrouver pour un missile identifié BB2, un engin qui promet puisqu'il aura un cœur de S 1000RR.
La voilà la matrice d'une inédite Hyperstrada qui se veut plus consensuelle. C'est l'Hypermotard, faite pour les célibataires endurcis qui se délecteront de la même mécanique à refroidissement liquide Testastretta de 821cc. Ducati, afin de répondre à la pour la vocation à sortir comme une balle des courbes serrées, ne s'est pas contenté de mettre le moteur de la 848.
Nostalgique de feue la F6C, addict du six cylindres d'une Goldwing définitivement inaccessible pour vos bourses en l'état, voilà la nouveauté qui devrait vous combler. Le blason ailé vient de voler à votre secours en sortant un jusque là improbable F6B, soit la Gold dépouillée et encanaillée de vos fantasmes.
La Honda CB1000F constitue l'objet de vos désirs, mais la réglementation vous a rattrapé et vous impose un permis A2 synonyme de remise de l'achat aux calendes grecques ? Pas de panique. Le premier constructeur mondial compatit et vous a sorti la moitié de votre fantasme, sans pour autant vous proposer une frustrante demi-portion.
La Honda CB500X fait partie du trio réuni au sein de cette famille du demi-litre que le premier constructeur mondial a reconstitué dans sa gamme, afin de mieux répondre à la conjoncture. Tant économique qu'administrative d'ailleurs, puisque ces CB collent parfaitement aux exigences d'un très prochain permis A2.
De la dernière famille des CB500 reconstituée par Honda, c'est le rejeton qui se veut trublion qui se présente ici sous le sceau sulfureux CBR R. Des lettres de feu qui nous promettent vitesse et sensation. Mais point de précipitation pour autant.
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