Fabien Foret se remet doucement de sa cabriole tchèque qui l'a laissé sur le flanc avec deux vertèbres fracturées. Il faudra du temps avant que le pilote Yamaha ne revienne sur la grille de départ si bien que le team officiel qui s'occupe des R6 en mondial Supersport a dû penser à son remplacement.

Comme on pouvait s'en douter, la découverte de Walker sur une Honda CBR de Superbike a fait l'effet d'un électrochoc pour un Jean Christophe Ponsson qui paie le pilote Anglais pour défendre les couleurs d'un blason Kawasaki dont il représente les intérêts dans le milieu.

Cette saison 2008 n'est décidément pas un long fleuve tranquille pour Jean Christophe Ponsson. Le « Défi Français » tombé à l'eau, voilà maintenant que c'est au sein de son pré-carré Gil Motorsport que viennent, sans prévenir, les défections.

La sportive américaine au cœur européen s'offre pour 2009 un toilettage et de nouvelles couleurs que son blason Buell lui accorde pour affirmer encore un peu plus son caractère dans une catégorie qui n'en manque déjà guère.

La Hongrie s'apprête à se doter d'un nouveau tracé qui risque bien de faire de l'ombre à l'actuel Hungaroring. Un circuit que n'arpente cependant pas le Moto GP, qui se contente de Brno pour assurer son implantation dans l'Europe de l'Est.

Le KERS vient de s’inviter brutalement dans les discussions d’une Formule 1 qui commence sérieusement à s’inquiéter sur sa capacité technique à adopter le système sur ses monoplaces dès la saison 2009. Comme la FIA le lui impose.

Si il est clairement établi que le contrat qui liait Melandri à Ducati jusqu'à la fin 2009 est à présent bel et bien caduque, et ce d'un commun accord, il y a toujours comme un flou artistique sur le devenir du pilote à court terme, soit jusqu'à la fin de la présente saison.

En 2009, la gamme VRSC du blason de Milwaukee s'attache un nouveau pensionnaire tout aussi turbulent que les précédents, et même un peu plus fort en gueule puisque plutôt que de s'appeler simplement « V-Rod » ou poétiquement « Night Rod Special », il se présente froidement comme Monsieur « Muscle ».

Voici le nouvel opus de Buell destiné à semer la terreur dans nos rues. A faire rougir les feux de plaisir à l'arrivée et à les rendre vert de peur à un envol que le blason américain veut assimiler à un décollage.

A la vue de cette vidéo, c'est à croire que Jorge Lorenzo a mangé son pain blanc en tout début de saison, et que le destin, cette fois, s'acharne à lui passer un biscuit d'une teinte radicalement différente. Après les fractures chinoises, les tribulations sarthoises, le traumatisme catalan et la glissade allemande, voici le rêve américain brisé.